2020 : Joe Biden élu grâce à Facebook ?

Publié par le 1 Sep, 2024 dans Blog | 1 commentaire

2020 : Joe Biden élu grâce à Facebook ?

Bien sûr, les réseaux sociaux ne peuvent pas tout !

Mais, ils sont devenus – au grand dam des progressistes – le seul contre-pouvoir à la propagande mondialiste, multiculturalisme et immigrationniste de leurs médias.

S’ils les réseaux sociaux n’étaient pas si importants, ils ne feraient pas l’objet d’une aussi puissante offensive des progressistes pour les contrôler voire les faire taire.

Tout s’accélère depuis quelques années, depuis que Donald Trump est entré en politique et que le populisme progresse dans de nombreux pays.

Une Europe aux mains des progressistes, est en pointe dans le combat contre la liberté d’expression avec aux commandes Ursula von der Leyen et son bras armé Thierry Breton.

Le progressisme ne tolère pas que le peuple entende une autre voix que la sienne !

La crise du covid a vu également une formidable coalition des forces politico-médiatiques pour imposer la vaccination et tuer toute alternative au vaccin ARN.

Après la libération de Twitter, arraché à la main-mise de l’Etat profond et du parti démocrate, par Elon Musk, voici que Mark Zuckerberg, le patron de Meta, maison-mère de Facebook et d’Instagram, vient de se confesser publiquement.

Il reconnait et regrette s’être soumis aux diktats de l’Etat profond américain qui lui a imposé une censure féroce des critiques contre la vaccination anti-covid et une identique censure sur l’affaire de l’ordinateur du fils de Joe Biden qui aurait pu empêcher son élection !

Concernant la crise du covid, les informations suivantes furent censurées sur les réseaux sociaux :

  • l’immunité naturelle existe et la vitamine D renforce le système immunitaire,
  • les vaccins sont expérimentaux, dangereux ou inefficaces,
  • il n’est pas nécessaire de se faire vacciner pour un pathogène semblable à une grippe,
  • l’ivermectine est efficace contre le Covid,
  • les masques et les confinements sont inefficaces,
  • le Covid provient d’un laboratoire,
  • les tests PCR étaient inutiles.

Aujourd’hui toutes ces affirmations sont avérées !

Les responsables de cette censure ont donc du sang sur les mains, celui des morts et blessés entrainés par le vaccin anti-covid !

Voici un article de France-Soir qui reprend la confession de Mark Zuckerberg :

Covid-19 : Mark Zuckerberg révèle que l’administration
Biden a fait pression sur Meta pour censurer des contenus

Le vent tourne, et les langues se délient de plus en plus.

Presque deux ans après les révélations des Twitter Files sur le rôle joué par le gouvernement américain et les agences de renseignement sur l’ancienne équipe de modération de la désormais plateforme X, le groupe Meta à travers Zuckerberg révèle, à son tour, les pressions exercées pour censurer le contenu des utilisateurs. Dans une lettre transmise à une commission parlementaire, le patron de la firme, Mark Zuckerberg de plus en plus sous pression, affirme que l’administration Biden et le FBI ont fait pression “pendant des mois” sur ses équipes pour censurer les contenus, “parfois de l’humour et de la satire”, liés à la pandémie de COVID-19 ou à l’affaire du laptop de Hunter Biden.   

Dans sa lettre, diffusée lundi 26 août 2024, le patron de Meta, maison-mère de Facebook, Instagram, Thread et WhatsApp, mis à mal ces derniers temps, a profité de “l’opportunité” que lui offrait l’enquête d’une commission sur la modération de contenus sur les réseaux sociaux pour décrire, cette fois-ci sans fard, le comportement “inapproprié” du gouvernement, particulièrement l’administration Biden et la Maison Blanche, pendant la pandémie de COVID-19. 

Des pressions “inappropriées” de l’administration Biden  

Mark Zuckerberg a déclaré :

En 2021, des hauts responsables de l’administration Biden, y compris la Maison Blanche, ont exercé une pression continue sur nos équipes, et ce pendant des mois, pour censurer certains contenus liés au COVID-19, y compris de l’humour et de la satire.

Il souligne que ces dirigeants “ont exprimé beaucoup de frustration concernant nos équipes lorsque nous n’avons pas été d’accord” pour que nous cédions à cette pression, qui était, selon ses termes, “inappropriée”. “Je regrette que nous n’ayons pas été plus fermes à ce sujet”, a-t-il déploré, reconnaissant avoir cédé.  

Il a écrit aux représentants de la commission :

En fin de compte, c’était à nous de décider de supprimer ou non le contenu, et nous assumons nos décisions, y compris les changements liés au COVID-19 que nous avons apportés à notre modération sous l’effet de cette pression.

Dans sa lettre, il fait part enfin de son regret d’avoir pris “certaines décisions que, avec le recul et de nouvelles informations, nous ne prendrions pas aujourd’hui”.  

La pandémie de COVID n’était pas le seul sujet qui “fâchait” l’administration Biden ou les agences de renseignement, particulièrement le FBI, comme le démontraient déjà les Twitter Files.

Il révèle encore :

Le FBI nous a avertis d’une possible opération de désinformation russe concernant la famille Biden et Burisma avant l’élection de 2020. Cet automne-là, lorsque nous avons vu un article du New York Post rapportant des allégations de corruption impliquant la famille de Joe Biden, alors candidat démocrate à la présidence, nous avons envoyé cet article aux vérificateurs de faits pour qu’il soit examiné et l’avons temporairement rétrogradé en attendant une réponse.   

Cet article a donné naissance à l’affaire du laptop Hunter Biden, le fils du président américain, déclenchant une controverse majeure, mettant en question l’intégrité de Joe Biden et soulevant des interrogations sur de potentiels conflits d’intérêts.

Le milliardaire et fondateur de Facebook admet alors que :

il est depuis apparu que ce reportage n’était pas de la désinformation russe, et rétrospectivement, nous n’aurions pas dû rétrograder cet article. Nous avons modifié nos politiques et nos processus pour que cela ne se reproduise plus, par exemple, nous ne rétrogradons plus temporairement des contenus aux États-Unis en attendant les résultats des vérifications.

Mais le mal est fait, sans qu’aucun retour en arrière ni démenti n’aient été effectués sur les réseaux. 

Le vent tourne mais la Maison Blanche se défend, mais Zuckerberg serait “prêt à résister” 

Il a ainsi affirmé que lui et son équipe étaient “prêts à résister” si de nouvelles pressions survenaient :

Comme je l’avais dit à nos équipes à l’époque, je suis convaincu que nous ne devrions pas compromettre nos normes de contenu en raison de pressions provenant d’une quelconque administration. Nos plateformes sont accessibles à tous. Nous promouvons la liberté d’expression et aidons les gens à se connecter de manière sûre et sécurisée. 

Cette lettre intervient à deux mois des présidentielles américaines du 05 novembre, qui opposeront le républicain Donald Trump, ancien président, à Kamala Harris, vice-présidente de Joe Biden et sa remplaçante dans cette course à la Maison Blanche après son retrait. A propos des élections, Mark Zuckerberg affirme que son “objectif est d’être “neutre” et de ne pas jouer un rôle d’une manière ou d’une autre – ou même de sembler jouer un rôle”. 

La Maison Blanche a réagi à sa lettre par un communiqué d’un porte-parole du gouvernement américain :

Notre position avait été claire et constante. Nous pensons que les groupes de la tech et les autres acteurs privés doivent prendre en compte les conséquences de leurs actions sur le peuple américain, tout en faisant des choix de manière indépendante sur l’information qu’ils diffusent. 

Les révélations de Zuckerberg viennent corroborer les informations dévoilées par Elon Musk peu après son rachat de Twitter fin 2022. Des documents liés à l’ancienne équipe de modération ont dévoilé les coulisses de celle-ci et de ses décisions, aussi bien sur l’affaire du laptop de Hunter Biden que sur la pandémie de Covid-19. Les “Twitter Files” ont aussi dévoilé les pratiques de Twitter, comme les filtres de visibilité, le shadow banning et la censure, le tout, sur pression du gouvernement et des agences de renseignement. 

Il semblerait qu’au pays de l’oncle Sam, le quartet Trump, Kennedy, Musk, Carlson, déclenchent des remords.

France-Soir.

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Une réponse à “2020 : Joe Biden élu grâce à Facebook ?”

  1. Bien sur que j biden a ete elu par tous les element de ommunication a 99 a goche ou democrate, comme en europe.

    Tandis que ces meme element sont a 99 % a charge contre D Trump, avec mensonges et manipulations comprises.

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