Bravo Ségolène !

On aura tout entendu sur la façon dont les forces de l’ordre ont traité les lycéens de Mantes la Jolie.

Cela semblait rappeler à certaines bonnes âmes
les heures les plus sombres de notre pays …

Les journalistes ont harcelé les politiques pour leur faire dire que le maintien, à genoux, les mains entravées dans le dos, de lycéens – au demeurant jamais qualifiés de casseurs – était un pur scandale.

Le pire était que dans leurs questions, ils ne rappelaient jamais le contexte et ce qu’avaient fait ces lycéens pour avoir été arrêtés par les forces de l’ordre !

Le titre du reportage sur Francetvinfo est éloquent :

« Choquant », « intolérable » : les images de l’arrestation des 151 adolescents à Mantes-la-Jolie suscitent l’indignation à gauche.

Benoît Hamon, un des derniers représentants de la gauche s’est étranglé dans un tweet :

Ce serait donc ça, la « jeunesse humiliée  » ! Des casseurs qui brûlent des voitures et tentent de faire exploser des bouteilles de gaz !

Dans cette opération de dénigrement de la police, bien dans la manière gauchiste, une voix discordante s’est élevée :

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Même si je na partage pas toutes les positions de Ségolène Royal, je ne peux que saluer sa réaction courageuse et pour beaucoup de Français pleine de bon sens :

Parmi ces jeunes, il n’y avait pas que des lycéens. Il y avait aussi des casseurs qui, avec une sauvagerie incroyable, ont commencé à allumer des feux un peu partout dans Mantes », a-t-elle affirmé ce dimanche. Elle ajoute : « Soyons un peu efficaces et un peu concrets. Ça ne leur a pas fait de mal, à ces jeunes, de savoir ce que c’est le maintien de l’ordre, la police, de se tenir tranquilles. Ça leur fera un souvenir. Et c’est pas mal pour leur redonner le sens de la réalité

Pour plus de détails sur cette arrestation aussi massive qu’efficace, on pourra lire l’article de Céline Pina, paru dans Causeur :

Les « lycéens » de Mantes-la-Jolie ne sont pas des anges

L’indignation sélective d’une certaine presse et des réseaux

dont voici un court extrait :

Indignation surjouée…

Ces « lycéens » ne sont pas de délicieux angelots innocents empêchés de s’exprimer par un Etat fascisant et une police hors de contrôle. Que les journalistes et les réseaux sociaux arrêtent de jouer avec les mots. Rapprocher ces images de scènes issues de la Deuxième Guerre mondiale, expliquer que seuls les nazis se comportaient comme ça, en référer aux tortures lors de la guerre d’Algérie, c’est lamentable et c’est surtout inciter à la violence contre des policiers qui, aujourd’hui, sont les derniers à sembler se soucier de la protection du peuple.

Des casseurs ont été maîtrisés, c’est bel et bien le rôle de la police et les petits voyous n’ont pas été violentés plus qu’il ne faut pour maîtriser un excité. Pas de quoi fouetter un chat donc, mais largement de quoi jeter de l’huile sur le feu quand cela est interprété par certains comme « un retour aux heures les plus sombres de notre histoire ».

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