Un simple fait divers, on vous dit !

En Italie, on a frôlé un drame effroyable !

51 enfants ont failli finir brûlés vifs dans un bus pris en otage par leur chauffeur. C’est abominable !

Il s’en est fallu de très peu que le terroriste parvienne à ses fins puisque le bus a fini par brûler mais juste après que tous les enfants aient pu s’en enfuir.

Cet événement n’a été traité que pratiquement comme un fait divers par la presse française qui, une fois de plus, a censuré une partie de la vérité par souci du politiquement correct et pour ne pas … « faire le jeu du Front National !  »

C’est ce qu’a dénoncé Boulevard Voltaire dans une lettre envoyée à tous ses lecteurs :

Chère Madame, Cher Monsieur,

C’est une effroyable prise d’otage qui a lieu : 51 collégiens ligotés et menacés d’être brûlés vifs dans leur bus, à Milan.

Dieu merci, le drame a pu être évité. Et la presse a largement relayé l’information. Sauf que…

… à de très rares exceptions, les médias se sont bien gardés de donner, dans le titre de l’article, l’information majeure : le chauffeur de bus a tenté d’immoler 51 enfants en soutien aux migrants.

Regardez les titres :

• Personne ne sortira d’ici vivant : en Italie, 51 collégiens sauvés de justesse lors d’une prise d’otages dans un bus,
• Milan: un chauffeur prend un bus de collégiens en otage avant de l’incendier,
• 51 collégiens italiens sauvés après avoir été pris en otage par leur chauffeur de bus,
• Italie : un chauffeur de bus prend en otage des collégiens et incendie son véhicule,
• Italie: « carnage » évité de justesse pour 51 collégiens pris en otage dans un bus,
• Etc …

Il faudrait avoir la naïveté d’un premier communiant pour ne pas voir dans cette longue série de titres neutres la volonté de ne surtout pas donner l’information qui donne à réfléchir !

Un simple fait divers, on vous dit …

Bien sûr, les lecteurs qui ont lu les articles jusqu’au bout, auront bien eu l’information complète :

Le chauffeur disant à ses petits otages : »Je veux en finir, il faut arrêter les morts en Méditerranée. J’ai perdu trois enfants en mer« ,

ou encore, selon le témoignage d’un des gamins rescapés :

« Il nous menaçait, disait que si nous bougions il verserait l’essence et allumerait le feu (ce qu’il a fait). Il n’arrêtait pas de dire qu’il y avait tant de personnes en Afrique qui continuaient à mourir et que c’était la faute de Di Maio et Salvini » (à savoir, les deux vice-Premiers ministres italiens)

Mais les médias ont réussi à cacher aux millions de personnes qui n’ont lu que le titre des articles, l’information majeure : un immigré naturalisé a menacé d’immoler 50 enfants en soutien aux migrants.

Oui, on en est là…

Evidemment c’est un fait divers. Le fait d’un homme traumatisé par le drame de sa traversée en mer pour rejoindre l’Italie.

Mais il est proprement scandaleux que les médias fassent tout pour taire les motivations de vengeance à l’égard des dirigeants politiques qui tentent d’endiguer l’arrivée massive de migrants dans leur pays.

C’est un cas d’école sur les mille et une manières dont nombre de médias censurent et manipulent l’information données à leurs lecteurs.

C’est cette omerta médiatique que nous combattons, jour après jour, sur Boulevard Voltaire.

Et, pour mener ce combat, nous ne pouvons compter que sur des citoyens avisés, conscients de ces manipulations médiatiques à répétition et des ravages qu’ils font sur l’opinion publique et, surtout, sur les politiques menées dans notre pays.

C’est pourquoi nous nous permettons de vous demander de nous aider à mener ce combat contre l’omerta médiatique :