Ghislaine Dumesnil, conductrice de bus à la RATP jusqu’en 2015, a raconté dans son livre :
Mahomet au volant, la charia au tournant
les avancées affolantes du communautarisme islamiste au sein de la RATP, entreprise publique qui emploie le plus grand nombre de fichés « S » et où les barbus imposent de plus en plus la loi coranique.
Dans cet article de Novopresse.info, elle avait vertement répliqué à Danièle Obono, pasionaria de la France insoumise, qui prétendait « qu’un chauffeur de bus qui refuse de conduire un bus après une femme ne relève pas de la radicalisation islamiste mais d’un simple sexisme ! » :
Soit elle ne connaît pas le sujet dont elle parle, ce qui est embêtant pour une députée qui prétend défendre l’intérêt des Français. Soit elle cherche à disculper l’islam, ce qui est à mon avis beaucoup plus grave et revient à nier totalement la réalité de la situation. C’est le nouveau « négationnisme ». Pour moi elle sait très bien ce qui se passe et elle est complice.
Je peux donner à Danièle Obono des dizaines de noms de musulmans qui refusaient de nous parler, de nous regarder dans les yeux et de nous serrer la main, au sein de l’entreprise publique de la RATP parce que nous étions des femmes.
Et bien, Ghislaine Dumesnil va pouvoir ajouter un autre chapitre à son livre, à la suite d’un fait divers qui s’est passé tout récemment dans le 19 ème arrondissement de Paris, comme le rapporte cet article de Valeurs actuelles :
Scène surréaliste à Paris. Selon Le Parisien, une jeune femme et son amie se sont vu refuser l’entrée d’un bus parce que le chauffeur a jugé leur tenue indécente.
« Tu n’as qu’à bien t’habiller »
Les faits remontent au mardi 30 avril vers 23 heures. « Elise attendait le bus de la ligne 60 avec une amie, à l’arrêt Botzaris, aux Buttes Chaumont (19e arrondissement) », raconte Kamel Bencheikh, père de la jeune femme et poète algérien. « Lorsque le véhicule est arrivé, elles n’étaient que toutes les deux. Le chauffeur les a jaugées, n’a pas ouvert les portières et a redémarré », poursuit-il avant de reprendre : « Le véhicule s’arrête quelques mètres plus loin à un feu rouge. Ma fille a couru jusque la vitre du conducteur pour demander au chauffeur pourquoi il n’ouvrait pas les portes ». Et selon le poète, « le machiniste lui a répondu, ‘tu n’as qu’à bien t’habiller’ en regardant ses jambes ».
Des excuses publiques demandées
La fille de celui qui est aussi physicien et son amie décident finalement de prendre le taxi. Interrogé par Le Parisien, Kamel Bencheikh est hors de lui : « Ce type qui conduit un bus payé par mes impôts a empêché ma fille, titulaire d’un pass Navigo valide et donc en règle, qui n’a jamais rien eu à se reprocher de monter… juste parce qu’elle portait une jupe », s’insurge-t-il, décrivant l’auteur des faits comme « maghrébin » et « islamiste ». Dans un post Facebook, supprimé depuis, il revendique d’ailleurs « [son] islamophobie ». « Je ne lâcherai rien », assure-t-il, expliquant qu’il allait déposer plainte avec sa fille. « Il faut que la RATP s’excuse publiquement devant ma fille », plaide-t-il auprès du Parisien.
La société de transports a, de son côté, assuré que le conducteur sera entendu dans les prochains jours.
Qu’en conclure ?
Si le témoignage de cet acte n’émanait pas d’un poète algérien, on pourrait même mettre en doute sa crédibilité tellement cette histoire est incroyable !
Incroyable ou édifiante ?
Cela donne une idée du sentiment d’impunité que devait ressentir l’auteur d’un tel acte ! Je terminerai par une seule question :
Où sont les féministes ? Une fois de plus aux abonnés absents ! Seuls les blancs, hétéros et chrétiens subissent leur foudre à la moindre plaisanterie sur les femmes ! Mais voila …
« Elle ne peuvent pas critiquer les musulmans,
car ça ferait le jeu de l’extrême droite ! »
Suivre @ChrisBalboa78