Attendu que des personnes publiques, des journalistes notamment, sont la cible de harcèlement systématique dès qu’elles émettent des opinions non conformes à la bien-pensance,
Attendu que ce harcèlement, y compris judiciaire, est une forme de terrorisme intellectuel qui conduit à une censure, digne des pays totalitaires,
Attendu que cette censure interdit la pleine information des citoyens et le débat indispensable au bon fonctionnement de notre démocratie,
Je manifeste ma vive opposition à ce terrorisme intellectuel et à cette censure dangereuse
Et demande le rétablissement de liberté d’expression dans notre pays,
conformément à l’Article 11 de la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen :
La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Vous venez de lire le texte de la pétition organisée par Boulevard Voltaire pour la défense de la liberté d’expression.
Une liberté gravement mise en cause par les progressistes qui croient que puisqu’ils représentent le camp du bien, ils sont légitimes à clouer le bec à ceux qui leur résistent !
Même si vous trouvez qu’Eric Zemmour est trop extrême, que Ivan Rioufol exagère, qu’Elisabeth Lévy en rajoute et qu’Alain Finkielkraut est obsédé par l’islam, vous devez défendre leur droit à s’exprimer.
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai
jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »
Cette citation, faussement attribuée à Voltaire, parait-il, représente bien le devoir de défendre la liberté d’expression, dangereusement mise en cause par nombre de lois mémorielles et par cette ambiance politiquement correcte qui couvre d’une chape de plomb la parole politique.
Dans la presse, on ne cesse d’entendre le même argument pour approuver le boycott d’Eric Zemmour par certains médias : « Il a été condamné par la justice donc il est légitime de ne plus l’inviter dans les médias ! »
Mais quel est le poids d’une condamnation pour mal-pensance d’Eric Zemmour quand on voit le deux poids de mesure de certaines décisions de justice (6 mois de prison ferme pour les identitaires qui ont tenté de faire respecter la loi au Col de l’échelle et, en même temps, relaxe, avec félicitations du juge, pour ceux qui dérobent des portraits de Macron dans une mairie) ?
Merci de diffuser au maximum cet appel à la défense de la liberté d’expression !
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