Dans ces colonnes, la main mise de la gauche sur l’audiovisuel public a été bien souvent dénoncée.
Le cas de France Inter est particulièrement à noter tant la partialité y est prégnante. A tel point que certains ont surnommé la station : France Sphincter !
Sur la page d’accueil du site web de Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA), on trouve le résumé de la mission de cet organisme, soi-disant indépendant du pouvoir politique :
Le CSA est l’autorité publique française de régulation de l’audiovisuel. Cette régulation s’opère au service de la liberté d’expression dans l’intérêt du public et des professionnels. Elle repose sur le respect et la protection des droits et libertés individuels, la régulation économique et technologique du marché, et la responsabilité sociale.
Mais le CSA est plus occupé à scruter les déclarations d’Eric Zemmour et à transmettre à la justice des informations pour le faire condamner qu’à veiller à la pluralité des opinions sur France Inter !
L’avocat Gilles-William Goldnadel ne cesse lui aussi de dénoncer la partialité de cette station qu’il qualifie de média de sévices publics, comme dans cette intervention sur CNews (voir la vidéo en fin d’article):
Je m’étonne qu’une radio d’Etat – on la paye, c’est la nôtre – soit totalement inféodée à la gauche. Tous les journalistes sont de gauche. A de très nombreuses reprises, les journalistes ont concédé que la radio était de sensibilité de gauche. Déjà ça, c’est totalement anormal. L’ensemble des Français n’est pas de sensibilité de gauche. Quand vous écoutez les humoristes, on est pas dans le rire mais plutôt dans le ricanement. Ils ricanent sur des hommes/femmes de droite. Je dénonce ce qui est un scandale d’Etat. On va gueuler parce que la télévision polonaise serait inféodée au gouvernement conservateur. On s’est habitué tranquillement à ce que la radio d’Etat soit colonisée par la gauche.
Dans la Lettre Patriote, on trouve peut-être une clef pour faire évoluer les choses. Et l’idée vient de Boris Johnson :
L’audiovisuel public est progressiste ?
Boris Johnson prépare la riposte
Pour Boris Johnson, la BBC n’est pas impartiale, le groupe audiovisuel prendrait parti en faveur des anti-conservateurs. Le Premier ministre envisage des mesures qui pourraient avoir un fort impact économique sur le groupe médiatique.
Le week-end qui a suivi les élections législatives, il a demandé à ses ministres de ne pas participer à la matinale de Radio 4, la plus connue du Royaume-Uni. Il aurait même l’intention de leur demander de boycotter le programme dans le futur.
Manque d’objectivité, préférences éditoriales, pour le Premier ministre la BBC ne mérite pas de recevoir des fonds publics. Boris Johnson envisage donc de décriminaliser le non-paiement de la redevance. En effet, c’est actuellement un crime de regarder la BBC sans payer une licence. Ce changement pourrait faire perdre 240 millions d’euros au groupe audiovisuel.
Voilà qui devrait intéresser dans les couloirs de France Inter …
Julien Michel pour La Lettre Patriote.
Afin d’adapter le principe avancé par Boris Johnson à la redevance française, je propose que chaque contribuable français puisse choisisse le média audiovisuel ou presse écrite bénéficiaire de son versement ! Une mesure salutaire qui rebrasserait vraiment les cartes de l’audiovisuel français.
Voici la vidéo évoquée plus haut :
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