A chaque jour confiné qui passe,
je sens ma « droititude » s’aggraver !
– Les progressistes m’horripilent !
– Les féministes m’insupportent !
– Les antiracistes m’exaspèrent !
– Les Macronistes me hérissent !
Et, beaucoup plus qu’avant, la lecture de certains articles me fait sortir de mes gonds …
Aujourd’hui, toutes ces colères rentrées se concentrent sur le visage de Rokhaya Diallo :
Par ses déclarations :
- La France n’est plus un pays blanc et chrétien,
- la France change de visage, elle change de religion majoritaire, ce n’est pas grave, c’est arrivé de manière successive pendant plusieurs décennies.
- C’est une évolution qui est normale, qui est liée à la démographie.
Elle ne se rend même pas compte qu’elle valide, par ses propos,
la notion du Grand Remplacement théorisée par Renaud Camus !
Voici quelques extraits d’un article paru dans Causeur qui a motivé ma colère d’aujourd’hui :
Pendant la crise, le business victimaire
de Rokhaya Diallo reste ouvert !
Racistes un jour, racistes toujours
Personnalité médiatique proche du Parti des Indigènes de la République d’Houria Bouteldja, Rokhaya Diallo lutte contre le racisme. De quelle manière ? En justifiant les réunions ou festivals non mixtes, c’est-à-dire sans Blancs :
Les réunions afroféministes non mixtes n’ont en aucun cas vocation à proposer un projet de société ségrégationniste définitif puisqu’elles s’inscrivent dans la temporalité d’un événement ponctuel. Elles offrent à leurs participantes une échappatoire, une zone de respiration dans une société oppressive,
écrit-elle sur le site Slate.fr le 2 juin 2017. Bon. Et lorsque certains lui font remarquer que sa conception de l’antiracisme ressemble furieusement à celle du racisme, Madame Diallo retourne l’argument en citant une spécialiste de la mouvance décoloniale et anti-raciste à la mode des indigénistes, Françoise Vergès :
Ce n’est pas la non-mixité qui dérange, c’est qu’elle soit pratiquée par des femmes noires.
Racistes un jour, racistes toujours, tels sont les Blancs de ce pays qui pratique un « racisme d’État », selon elle.
Passons rapidement sur ce racisme d’État attesté par le CAP de coiffure qui « ne sanctionne que les compétences relatives aux cheveux lisses, [et] n’inclut pas d’apprentissage obligatoire relatif aux cheveux frisés ou crépus », ainsi que par le pansement médical blanc, trop blanc aux yeux de Rokhaya Diallo, et arrivons donc à cette nouvelle démonstration de la réalité des « privilèges blancs » que la crise sanitaire que nous traversons met en évidence …
Le coup du passeport
« Les personnes bénéficiant d’un passeport privilégié découvrent ce que l’on ressent lorsqu’on est limité dans sa liberté de circulation » écrit Madame Diallo qui ne laisse d’abord que sous-entendre ce qu’est un « passeport privilégié » ; mais qui très rapidement nous éclaire : il s’agit du passeport des Européens qui n’ont « jamais eu à se soucier de ce que l’on ressent lorsqu’on n’a pas accès à un pays en raison de son pays d’origine. »
Confondant voyages touristiques, d’affaires ou ethnologiques, et migration de masse, elle n’hésite pas à comparer l’Occidental « considéré comme un expatrié libre et aventureux et admiré pour sa curiosité à l’égard du monde » et le « migrant » considéré, lui, comme un « fardeau » par ceux qui ne l’ont pas invité.
Justice est faite
Mais, nous dit Rokhaya Diallo, justice est enfin faite : un groupe de touristes italiens a été refoulé du sol tunisien et a ainsi vécu le calvaire du migrant refoulé. Quinze autres touristes italiens ont été expulsés de Mauritanie et profiteront sûrement de cette expérience pour accueillir les prochains migrants sur les côtes italiennes les bras ouverts. Au Maroc, ce sont des Français qui ont été bloqués à l’aéroport et ont « provoqué des incidents majeurs ». 130 000 citoyens français sont bloqués hors de leur pays et « beaucoup d’entre eux se plaignent d’être rejetés par la population locale, comme des victimes de la peste », et sûrement commencent à concevoir l’enfer de ces populations qu’égoïstement nous repoussons ou parquons porte de la Chapelle.
Le passeport est un privilège lorsqu’il est occidental car il est un « “sésame ouvert” (sic) magique, tandis que d’autres mènent à des portes fermées. » Madame Diallo va un peu vite et oublie que les migrants se déplacent sans aucun passeport ou pièce d’identité qui pourrait préciser l’âge du migrant ou le pays d’origine, et que c’est ce qui rend par conséquent souvent impossible son renvoi sur la terre natale. Racistes comme jamais, nous les prenons alors en charge médicalement et financièrement à hauteur de nos capacités, lesquelles connaissent, elles, des limites.
Didier Desrimais pour Causeur.
Quand on mesure le degré de haine du blanc que cette femme a atteint, on ne peut que lui donner un seul conseil :
Chère Rockhaya Diallo, partez vivre dans un pays d’Afrique noire. Toutes vos frustrations disparaitront et vous y serez sûrement accueillie comme une reine. Et vous pourrez mettre votre intelligence au service de ce pays.
Elle y sera bien plus utile que sur les plateaux de la télévision française !
Il n’y a aucun racisme dans mon conseil ! Mais, au contraire, beaucoup d’humanité …
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