Depuis de nombreuses années, l’assimilation des populations issues de l’immigration est un gros mot.
La gauche en a décidé ainsi ! Ce serait la France colonialiste qui commettrait un second crime contre des populations d’abord colonisées puis finalement absorbées !
L’assimilation avait parfaitement fonctionné au XIX ème et au XX ème siècles avec les Italiens, les Espagnols,
les Portugais et les Polonais.
On ne peut que constater que l’assimilation était possible avec les peuples européens de même culture et de racines chrétiennes communes mais qu’elle s’est heurtée de plein fouet à l’islam, avec des populations de cultures trop éloignées des nôtres.
Est-ce être raciste que de penser que sur le plan du développement civilisationnel, les pays musulmans en sont au Moyen-Âge de l’Europe ? Saurions-nous « vivrensemble » aujourd’hui avec les serfs et les seigneurs de notre propre Moyen-Âge ?
Beaucoup pensent que l’islam est un frein aux avancées de la civilisation ! La comparaison entre les niveaux de développement des pays musulmans et des autres ne suffit-elle pas pour s’en convaincre …
La langue est l’un des piliers qui fondent une nation. L’assimilation et, à défaut, l’intégration, nécessitent que les nouveaux arrivants maitrisent la langue des autochtones. Cette maitrise est la clef de la réussite sociale des immigrés.
On sait qu’en France, cette non-maitrise de la langue, freine l’intégration des immigrés. La priorité devrait donc être de leur apporter toute l’aide nécessaire à cet apprentissage.
C’est pourquoi le gouvernement vient d’institutionnaliser l’apprentissage de … l’arabe dès l’école primaire !
C’est un article de l’Incorrect qui nous apprend cette bonne nouvelle qui, sans aucun doute, va faciliter l’intégration des jeunes des quartiers « sensibles » comme dit Castaner !
Extraits ;
Profitant de la concentration de l’attention publique sur la crise sanitaire, le gouvernement vient de publier dans l’indifférence générale un décret qui organise l’apprentissage de la langue arabe dans les écoles primaires françaises.
Alors que les morts se comptent toujours par centaine chaque jour, que le plan de déconfinement est encore flou et qu’une crise économique particulièrement violente pointe à l’horizon, les priorités du gouvernement étonnent chaque jour davantage. Déjà il y a quelques jours, plusieurs centaines de milliers d’euros étaient débloqués pour les LGBT « victimes de violences car obligés de se confiner chez des parents homophobes » ; puis c’est un curieux décret qui a été publié au Journal officiel ce jeudi 30 avril, dans le silence le plus total de l’exécutif et des médias.
Une bombe laissée gracieusement par Najat Vallaud-Belkacem …
De quoi s’agit-il ? De l’entrée en vigueur d’un accord entre les gouvernements français et tunisien datant du 31 mars 2017, fruit du travail de Najat Vallaud-Belkacem, alors ministre de l’Éducation aux dernières heures du quinquennat de François Hollande. Cet accord prévoit qu’une heure et demie d’enseignement de la langue arabe soit dispensé de manière hebdomadaire dans les écoles primaires qui en feront la demande, à partir du CE1. Cette enseignement prendra la forme d’une option facultative. Il sera néanmoins assuré par des professeurs tunisiens, rémunérés par le gouvernement tunisien et envoyés spécialement en France pour l’occasion. Il fera « référence à la culture arabe, notamment à des éléments de la culture tunisienne ».
Ce décret (JORF n°0107 du 2 mai 2020) confirme, à la suite de bien d’autres décisions, la continuité entre la politique d’Emmanuel Macron et celle de son prédécesseur. Il est aussi révélateur de l’acceptation profonde de l’éclatement culturel du pays par les pouvoirs publics français, qui font désormais systématiquement le choix d’accompagner ce phénomène plutôt que de tenter de l’endiguer.
Le texte du décret figure dans l’article de l’Incorrect.
Et tout cela au nom d’une fausse bonne raison …
On connait bien la justification avancée par les progressistes pour l’étude de l’arabe dans les écoles de la République :
Il vaut mieux encadrer l’étude de la langue arabe, avec des professeurs sous contrôle, pour éviter que cet enseignement soit donné par des imams non maitrisés et susceptibles de faire de la propagande islamique.
On ose espérer que c’est bien la langue arabe qui sera enseignée à l’école et non la religion musulmane. Ceci étant posé, cela n’empêchera nullement que les imams évoqués précédents développent, à l’extérieur, leur prosélytisme. Le fait que les enfants apprennent l’arabe facilitera même l’action des imams venus de l’étranger avec tous les dangers que cela comporte.
L’urgence est-elle de rapprocher ces populations de nous ou de les ghettoïser ?
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