Elle nous aura donc tout fait !
Finalement, elle est tout à fait raccord avec son gourou de président. C’est à qui cassera le plus de codes !
Elle a rendu compte du Conseil des ministres en pyjama Babygros …
Elle nous a assuré que porter un masque était inutile et que de toute façon nous étions incapables de les mettre, puis elle nous a dit que le port de ces mêmes masques était désormais obligatoire !
Et tout ça avec la même assurance désinvolte.
Et, hier, elle s’est fait piéger, cigarette au bec, au début d’une interview sur BFMTV ! Et ceci, au mépris de la loi de février 2007 qui interdit de fumer dans tous les lieux fermés et couverts !
En plus, c’est d’un distingué, cette cigarette au bec !
Mais s’il n’y avait que sur la forme que Sibeth Ndiaye fait scandale …
C’est pire sur le fond ! Avec mensonge à tous les étages !
Par exemple, quand la porte-mensonge du gouvernement revisite les alertes de l’OMS pour justifier les errements du gouvernement, comme le pointe cet article de Valeurs actuelles :
Invitée sur le plateau de BFMTV dimanche pour évoquer le déconfinement, la porte-parole du gouvernement s’est appuyée sur les données de l’OMS en matière de tests … mais en revisitant le calendrier.
A l’heure du déconfinement, ce lundi 11 mai, la France est encore sous la menace du Covid-19. Alors que la pandémie de coronavirus a fait 26 380 morts tandis que 2 776 patients dans un état grave sont encore hospitalisés en réanimation, l’exécutif a indiqué que des tests massifs seront lancés dans les meilleurs délais. Mais beaucoup se demandent encore pourquoi le gouvernement n’a pas lancé ces tests beaucoup plut tôt. Invitée sur le plateau BFMTV ce dimanche 10 mai, Sibeth Ndiaye a tenté de minimiser les errances de l’Etat en rappelant notamment les orientations de l’OMS. « L’OMS a commencé à dire qu’il fallait tester de manière massive quelque part … de mémoire … au mois d’avril », a affirmé la porte-parole du gouvernement.
« Testez, testez, testez les gens ! »
Mais la vérité est toute autre. Les recommandations de l’OMS en terme de test ne remontent pas au mois d’avril mais au 16 mars dernier. Dès cette date, l’OMS avait en effet appelé à effectuer « un test pour chaque cas suspect »de coronavirus. « Nous avons un message simple à tous les pays : testez, testez, testez les gens ! », avait alors lancé Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS lors d’une conférence de presse à Genève. Selon lui, tous les cas suspects doivent subir un dépistage, sauf ceux présentant des formes légères du Covid-19, qui doivent être isolés. Pour être dépisté en France, il faut soit que les symptômes soient graves, soit avoir eu un « contact étroit » avec un cas confirmé, ou avoir voyagé dans une « zone d’exposition à risque », en France ou à l’étranger, dans les quatorze jours précédents, rappelle le ministère de la Santé.
Valeurs actuelles.
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