Décidément, je ne sors pas de l’affaire Obono !
Au risque de vous lasser, je pense que ce qui s’est passé est très représentatif de la décadence, de la perte de valeurs de notre époque, au final, détestable.
Comme dit l’indigéniste Obono, « j’ai mal à ma France ! » Excusez-moi, mais étant de droite, c’est à ma France que j’ai mal avant d’avoir mal à ma République !
Mais je n’ai pas mal à la France de Danièle Obono, à cette France qui se déteste, qui nie son histoire et son identité. Moi j’ai mal à la France millénaire, à la France des Lumières, à la France de la liberté, de toutes les libertés.
Voir des politiques et des journalistes scandalisés par une seule image, jugée raciste, alors que le texte qui l’accompagne est bien plus sincèrement antiraciste que Danièle Obono, elle-même, est révoltant.
Voir LCI, comme aux plus beaux jours du maccarthysme tant décrié par la gauche, virer un journaliste de son antenne, et tout ça dans le silence approbateur de toute la profession est lamentable.
Tous ces gens bien-pensants, idiots utiles de ces indigénistes qui nous détestent, sont la honte de la France car ils foulent aux pieds nos biens les plus précieux :
les libertés d’opinion et d’expression.
Je vous laisse à nouveau avec une excellente vidéo de Greg Toussaint. Soyez concentré pour ne rien perdre des perles qu’elle contient :
Le cas Danièle Obono
A lire aussi l’excellent article d’Aurélien Marq paru dans Causeur :
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