Ce matin, l’écoute de la matinale de RTL m’a offert sur un plateau une introduction à un article sur « l’affaire Biden » !
En effet, on a vu s’enchainer à l’antenne :
– une interview par Alba Ventura de la nièce de Donald Trump qui vient de publier un brûlot contre son oncle,
– un reportage sur le meeting qu’a tenu Barack Obama en soutien à Joe Biden …
Rien en contrepartie sur la campagne de Trump !
Les médias français soutiennent outrageusement la candidature de Joe Biden par des reportages incessants à charge contre Trump.
Voici un article de l’IREF qui dénonce le parti pris des médias français qui cachent, ou relayent à minima, le scandale concernant les Biden, père et fils :
Les (très) suspectes et lucratives affaires de la famille Biden
La grande majorité des médias a fait semblant de ne rien voir et ne rien entendre.
Certains réseaux sociaux ont même empêché la diffusion de l’information. De quoi s’agit-il ? Il y a quelques jours, le New York Post a publié des dizaines de mails du fils de Joe Biden, Hunter, grâce auxquels on apprend beaucoup sur ses activités en tant que « consultant » pour le compte des entreprises ukrainiennes et chinoises. Des affaires très lucratives car il est question de millions de dollars. Les mails nous donnent aussi plein d’autres informations croustillantes sur les relations de Hunter Biden et sur le rôle qu’aurait joué son père. Certains mails semblent indiquer que Joe Biden, candidat à la présidence des Etats-Unis, aurait même profité financièrement des « affaires » de son fils.
Joe Biden commence à s’occuper de l’Ukraine en février 2014 et son fils devient « consultant » trois mois après !
Les mails révèlent qu’à l’époque où Joe Biden était vice-président et en charge de l’Ukraine (depuis février 2014), son fils Hunter l’a présenté à un haut dirigeant d’une entreprise énergétique ukrainienne (Burisma). A noter que Hunter est devenu membre du Conseil d‘administration de la société Burisma trois mois seulement après qu’Obama ait demandé à son père, Joe Biden, de s’occuper de l’Ukraine. La réunion de Joe Biden avec l’un des dirigeants de la société ukrainienne, jamais rendue publique et niée par l’équipe Biden, est mentionnée dans un mail de Vadym Pozharskyi, un membre du conseil d’administration de Burisma, envoyé à Hunter Biden le 17 avril 2015, environ un an après que celui-ci ait rejoint ce conseil d’administration pour un salaire de plus de 50 000 dollars par mois. Moins d’un an après cette réunion, Joe Biden exerçait des pressions sur les fonctionnaires du gouvernement ukrainien pour qu’ils licencient un procureur qui enquêtait sur cette entreprise (Burisma). Hunter Biden n’avait absolument aucune compétence pour faire partie de cette société ukrainienne. On lui a juste demandé et cela dès le mois de mai 2014 comme le montrent les mails, d’utiliser son « pouvoir d’influence afin d’aider la société ».
10 millions de dollars pour Hunter Biden et 10 % pour le « big guy » (Joe Biden ?)
D’autres mails (2 août 2017) concernent les liens entre le fils Biden et une entreprise chinoise qui devait le rémunérer environ 10 millions de dollars par an en échange de son carnet d’adresses. Un des mails de Chine reçu par Hunter Biden le 13 mai 2017, avec la ligne d’objet « Attentes », comprenait des détails sur les « packages de rémunération » pour six personnes impliquées dans une entreprise commerciale non spécifiée. Selon le Post, l’e-mail suggère que les participants envisageaient de réserver 10 % du capital de la transaction au « big guy ». Qui pourrait bien être ce « big guy », sinon… Joe Biden ? De plus, dans un autre mail adressée à sa fille, Hunter Biden affirme « reverser 50 % de ses gains (dans ses affaires) à son père… ».
Très bizarre aussi de découvrir qu’un milliardaire chinois, lié au plus grand secteur pétrolier et gazier privé de Chine, Gongwen Dong, a fait des dépenses de l’ordre de 100 000 dollars pour Hunter Biden, James Biden (le frère du vice-président) et Sara Biden (la belle-sœur du vice-président).
La censure médiatique et sur les réseaux sociaux est scandaleuse
Le candidat Joe Biden à la présidence des Etats-Unis avait dans un premier temps affirmé qu’il n’était pas au courant des affaires de son fils. Pourtant, on sait maintenant que des conseillers l’avaient informé et mis en garde. On sait aussi que Chris Heinz, le beau-fils de John Kerry, secrétaire d’Etat à l’époque, était un « business partner » de Hunter Biden. Comment le secrétaire d’Etat aurait-il pu ignorer les activités internationales de son beau-fils ?
On ne sait toujours pas comment le New York Post s’est procuré le disque dur de l’ordinateur (des ordinateurs) contenant tous ces mails. Par contre, on sait que le FBI a pris possession de ce matériel en décembre 2019 et qu’il doit répondre à une injonction du Sénat américain à propos de son authenticité et de son contenu.
Ce qui est certain, c’est qu’une censure médiatique cherche à étouffer l’affaire.
Tout comme les réseaux sociaux : Twitter et Facebook ont empêché la diffusion de l’article du NYP en invoquant le manque de crédibilité (fake news). Quelle louable prudence ! On s’étonne un peu qu’elle ne s’exerce pas à l’encontre des tombereaux d’insultes et autres fake news accablant Trump et on regrette infiniment qu’elle n’ait pas été plus efficace concernant les horreurs qui ont circulé sur le juge Kavanaugh.
Leur attitude – et celle des médias classiques – est inadmissible, d’autant plus que les Biden n’ont pas contesté l’authenticité des mails. Difficile de le faire, en plus des mails, on a trouvé des factures signées par le fils Biden et de nombreuses photos et videos « personnelles ».
Nicolas Lecaussin pour l’IREF.
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