« L’islam et le judaïsme sont sexuellement transmissibles.
L’un des plus grands problèmes qu’on a avec l’islam, et ce n’est pas le seul malheureusement, c’est que l’islam ne reconnaît pas la liberté de conscience.
C’est quand même absolument terrifiant. »
Quand on sait que, dans le Coran, il est écrit que tout musulman qui renie sa religion doit être puni de mort, des esprits éduqués et honnêtes trouveront que l’apostasie est une atteinte flagrante et inadmissible à la liberté de conscience.
Pourtant, pour avoir énoncé cette vérité évidente, une enseignante est trainée en justice par la Ligue des Droits de l’Homme (LDH) !
Mais dans Ligue des Droits de l’Homme, n’y a t-il pas « Droits de l’homme » ?
Comment peut-on, au nom des droits de l’homme, condamner quelqu’un qui a simplement émis une opinion ?
Michel Tubiana, avocat et ancien président de la LDH justifie l’action contre cette enseignante :
On n’est plus dans la critique, mais dans l’injure. Ce genre de diatribe que l’on pourrait retrouver sur CNews n’est pas une caricature, ça n’a rien à voir avec Charlie Hebdo, c’est un jugement de valeur insultant destiné à blesser.
Il faut avoir perdu tout sens commun et être totalement aveuglé par son idéologie pour ne pas voir dans les caricatures de Charlie Hebdo contre Mahomet ou Jésus, des injures infiniment plus blessantes que la déclaration de cette enseignante.
Toutes ces associations antiracistes nées sous Mitterrand comme SOS Racisme et la Ligue des Droits de l’Homme et utilisées à des fins électoralistes, sont aujourd’hui totalement dévoyées.
Elles sont devenues le bras armé du progressisme et sont entièrement au service de la promotion de l’islam. Elles sont les idiotes utiles de l’islamisme radical en accréditant cette notion entièrement fabriquée de l’islamophobie qui est devenu un étendard derrière lequel ils avancent sans cesse !
Ce sont également les idiotes utiles du pouvoir des juges en scrutant le moindre dérapage verbal des adversaires du progressisme pour les trainer devant les juges de la 17 ème chambre du tribunal de grande instance de Paris.
Et que penser de ce torchon de Mediapart qui n’a pas hésité à publier le nom de l’enseignante oubliant sans doute qu’une identique indiscrétion avait coûté la vie à Samuel Paty ? Une plainte a d’ailleurs été déposée contre Mediapart pour « mise en danger de la vie d’autrui. »
Dans la déclaration de l’enseignante, on pourra juste admettre que le terme sexuellement transmissibles est maladroit puisqu’il pourrait faire penser à une maladie. Son avocat a néanmoins justifié les propos de sa cliente :
Il n’est pas nécessaire d’être docteur en théologie pour savoir que la religion juive se transmet par la mère et la religion musulmane par le père.
Pour être honnête, il faut citer la déclaration de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA), pour qui l’enseignante n’a pas tenu des propos racistes :
Je lis des articles qui donnent le nom de cette enseignante en lui accolant l’étiquette “islamophobe”… Or, je n’y vois en l’occurrence ni racisme ni antisémitisme.
L’air du temps est devenu irrespirable et même puant !
Les libertés de conscience, d’opinion et d’expression sont foulées aux pieds par ceux-là même qui en appellent sans arrêt aux valeurs de la République.
On a pu constater la haine qui s’est déclenchée sur les réseaux sociaux quand une famille versaillaise (buerkkk !) et catholique (pouaahh !) a osé gagner la finale de La France a un incroyable talent (voir cet article).
Mais pour protéger, l’islam, les progressistes sont prêts à toutes les bassesses, tous les reniements …
Triste époque …
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