L’islamisation de la France est en marche !
– On le voit dans les rues avec l’augmentation évidente du nombre de femmes voilées …
– On le voit sur les plages avec l’offensive burkini …
– On le voit à l’école avec les repas de substitution …
– on le voit dans les piscines (de gauche !) avec les horaires spécifiques réservés aux femmes …
– On le voit dans certains quartiers de Paris où la djellaba et le hijab règnent en maitres …
Mais tout cela se faisait petit à petit sans qu’aucun cadre règlementaire ou juridique ne contrôle les choses. Cela ne pouvait pas durer et l’Administration a décidé d’agir …
Et c’est l’Association française de normalisation (AFNOR) qui s’y est collée en normalisant, devinez quoi ?
Le Halal !!!
C’est l’objet de cet article extrait du Bulletin Hebdomadaire d’André Noël n°2531 paru le 25 septembre 2017 :
Quand l’Afnor prétend définir ce qui est halal
C’est une curieuse démarche qu’a entreprise l’AFNOR (Association française de normalisation.) Comme son nom l’indique, elle est chargée de certifier pour les consommateurs que les produits ont été élaborés conformément à des normes techniques, hygiéniques ou de sécurité. C’est un organisme public placé sous la tutelle du ministère de l’Industrie. Il est donc censé être laïque.
Or, le 15 septembre, elle a publié la première norme française pour les aliments halal transformés. Elle définit des processus de fabrication, des recommandations à suivre « pour permettre aux industriels de conduire leur analyse des risques en identifiant les étapes critiques qui pourraient rendre leur production non halal » ! De quoi se mêle l’Afnor en donnant des recommandations pour éviter que des produits soient « non halal » ? D’autant que cela va très loin. L’Afnor définit une méthode de production unifiée halal en aval, de la matière brute au produit transformé, qu’il s’agisse de conserves, de plats préparés, de charcuterie, ou encore de confiseries.
Cette norme toutefois n’est pas obligatoire, c’est juste une recommandation. Encore heureux qu’il n’y ait pas de sanction prévue ! On avait cru comprendre que cela relevait des autorités religieuses musulmanes ! L’AFNOR explique que cette norme a été mise sur pied à la demande d’industriels français de l’agro-alimentaire en vue de faciliter l’exportation de certains produits dans les pays musulmans. Il ne s’agirait nullement de religion mais d’économie.
Mais la certification halal, de la mosquée de Paris ou d’une autre instance religieuse,
ne suffirait-elle pas au Maroc, en Tunisie ou en Algérie notamment ?
Pour une fois, nous sommes d’accord avec le Conseil français du culte musulman (CFCM) qui le 18 septembre a dénoncé « avec la plus grande fermeté » la publication de cette norme qu’il qualifie de « manoeuvres d’ingérence » dans « la définition du halal. » Laquelle doit être, affirme le CFCM, « du ressort exclusif des instances religieuses musulmanes ». Le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, s’est « vigoureusement élevé » le même jour « contre la prétention de cet organisme laïc et civil, non religieux. »
L’AFNOR a obtenu un résultat que l’on croyait impossible :
faire l’unanimité des nombreuses obédiences musulmanes … contre elle !
L’AFNOR travaillerait sur d’autres sujets de normalisation :
- Longueur des robes,
- Surface de visage autorisée à la vue,
- Gradation des sanctions à appliquer aux femmes désobéissantes,
- Etc …
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