Encore un scandale sanitaire en vue, lié aux tracasseries administratives que l’équipe d’Olivier Véran impose aux laboratoires de recherche français.
En l’espèce, il s’agit du très officiel Institut Pasteur de Lille, qui voit un médicament anti-COVID financé avec l’aide de Bernard Arnault paralysé par des chipoteries incompréhensibles.
Alors que la France a déjà raté le coche du vaccin mis au point par Valneva, à Nantes, et que les retards de livraison se multiplient dans les vaccins (alors que les Etats-Unis viennent d’obtenir 200 millions de doses supplémentaires), l’administration française joue contre son camp et Olivier Véran semble totalement incapable de la mettre au pas.
Vous venez de lire l’introduction d’un article paru dans le Courrier des stratèges et qui dénonce un nouveau scandale sanitaire du même genre que celui de l’hydroxychloroquine. Il montre, une fois de plus, que tout aura été fait pour nous emmener dans la nasse de la vaccination seule solution imposée :
Nouveau scandale : Véran entrave la recherche
d’un médicament anti-COVID à Lille
Encore un torpillage en beauté de la recherche médicale française, en pleine phase critique, par une administration qui semble bien destinée à couler ce pays ! Le scandale est cette fois révélé par La Voix du Nord, qui explique par le menu comment le ministère de la Santé fait tout pour retarder les travaux de l’Institut Pasteur de Lille, pourtant patronnés par Bernard Arnault, proche d’Emmanuel Macron.
L’Institut Pasteur de Lille torpillé par le ministère de la Santé
Nous avions déjà évoqué, à l’automne, la passivité complète avec laquelle le ministère de la Santé avait traité la recherche de fonds par l’Institut Pasteur de Lille, occupé à préparer un traitement médicamenteux contre le COVID. Nous avions à l’époque fait la liste des médicaments que des laboratoires français développaient dans l’indifférence et le silence total d’un ministère de la Santé obnubilé par les vaccins, dont on connaît aujourd’hui les déconvenues et le désastre global.
C’est finalement l’intervention financière de Bernard Arnault, qui a apporté 5 millions aux travaux de l’Institut, que celui-ci a pu commencer les essais d’un traitement élaboré avec la start-up français Apteeus.
Des blocages jusqu’au bout
Malgré l’absence totale d’engagement du ministère de la Santé dans cette solution, l’Institut a néanmoins pu commencer les tests pour son médicament totalement financé par la recherche privée. Rappelons que l’Institut Pasteur de Lille est totalement privé, même s’il travaille étroitement avec le CHU de la métropole flamande.
En l’espèce, l’IPL travaille surtout avec la start-up Apteeus qui « repositionne » un médicament dont le nom est tenu secret. Autrement dit, ce médicament est déjà autorisé, mais pour un autre usage. Exactement comme l’hydroxychloroquine.
Malgré des évidences, le ministère de la Santé vient de refuser l’accélération des essais cliniques pour cette molécule.
On nous demande de repasser en phase 2 et de mesurer la tolérance du produit et son acceptabilité alors que tout cela est déjà très documenté. Nous travaillons à partir du repositionnement d’un médicament dont la balance bénéfice-risques est bien connue. Selon nous, elle nous permettait d’accéder directement à une étude clinique de phase 3.
Térence Behgyn
Président d’Apteeus
Une bureaucratie sanitaire hors de contrôle
Ce n’est pas la première fois que le ministère de la Santé et sa bureaucratie pléthorique joue contre le camp de la recherche française en multipliant les obstacles réglementaires ou administratifs à des initiatives privées. On l’a vu pour l’hydroxychloroquine, clouée au pilori pendant que le Remdesivir de Gilead, pourtant toxique, était autorisé. On l’a vu pour le vaccin de Valneva, à Nantes, finalement vendu à la Grande-Bretagne faute d’un intérêt quelconque pour ce produit de la part de l’administration française.
S’agit-il de favoriser exclusivement Sanofi et d’entraver le développement d’autres acteurs qui pourraient faire concurrence à ce géant qui vient de tailler dans ses effectifs de recherche ?
La question est ouverte et mériterait une bonne commission d’enquête parlementaire.
Pendant ce temps, les Etats-Unis viennent d’acheter 200 millions de doses supplémentaires de vaccin pour leur campagne de vaccination massive.
Eric Verhaeghe pour le Courrier des stratèges.
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4 Réponses à “Encore un autre scandale sanitaire !”
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Il ne faut pas oublier que le principe de précaution est inscrit dans la Constitution, et que pour se prémunir de la pluie, il convient d’avoir un parapluie, un parasol au dessus du parapluie et un ciré des fois qu’une goutte passe au travers. On ne saurait attaquer en justice une administration qui empile les précautions, c’est pour cela qu’elle met les bâtons dans les roues.
Nous avons oublié ce qu’est la prise de risque, nous en payons le prix, d’autres pays osent et réussissent, mais d’autres échouent aussi. Nous préférons ne rien faire, c’est plus rassurant.
Il s’agirait du Clofoctol, qui est un antibiotique utilisé dans le traitement d’infections ORL et respiratoires. Ce sont les suppos d’Octofène que beaucoup ont connu dans leur enfance, plus commercialisé depuis 15 ans (antibiotique retiré du commerce pour insuffisance d’efficacité). Il a été commercialisé en France jusqu’en 2005. Selon le directeur de Pasteur Lille, son action serait antivirale.
(voir sur le blog du Dr Maudrux)
Voilà.
Je n’ai aucune opinion sur l’efficacité de ce produit sur le SRAS Corona 19 et autres…
Si ce n’est qu’il semblerait qu’il doive être donné au tout début de l’infection, comme l’hydroxychloroquine, et non après une « cure » de « doliprane » qui aurait déjà abîmé des cellules hépatiques et une insuffisance respiratoire bien installée……
Et puis, avec d’autres recherches, on pourrait sans doute le mettre sur la marché plus cher qu’il ne l’était, mais au prix des thérapies géniques appelées « vaccins » cela fait mieux en langue progressiste.
Une fois de plus le comportement du gouvernement lobby est :
Il montre, une fois de plus,
que tout aura été fait pour nous emmener dans la nasse de la vaccination, seule solution imposée !
Comme par hasard !
Il faut se mettre dans le crâne une bonne fois pour toute que ce sinistre et toute la clique qui va avec? ne veulent pas que les malades soient soignés.
C’est confinement, doliprane et ça se passe………..ou ça s’aggrave c’est hospitalisation si l’on veut bien de vous et ensuite réa avec tout ce que cela implique!
La panacée c’est le vrai faux « vaccin » puisque tous nous le disent et même le chantent. Une exhib d’une pseudo vaccination à 40 ans en tant que soignant! Qui va croire que varan fait partie du personnel soignant ………
Le type n’a même pas anticipé de porter un tee shirt sous sa chemise!!!!!!Sans doute un coup de comm de dernière minute.