C’est dit-on Georges Clemenceau qui aurait inventé cet aphorisme à propos de la guerre et des militaires.
Comment peut-on faire confiance à des écolos qui ferme la centrale nucléaire de Fessenheim et doivent aussitôt réactiver des centrales à charbon française ou acheter de l’électricité en Allemagne ce qui émet 60 fois plus de CO2 au Kmh produit ! (Voir ce précédent article : Barbara Pompili la première accusée d’écocide ?)
Le problème le plus urgent pour la planète est-il le traitement des déchets nucléaires ou bien la lutte contre le réchauffement climatique ?
Et il y a pire que la fermeture de Fessenheim !
Il s’agit de la supercherie écologique des véhicules hybrides rechargeables.
Voici un article de XERFI Canal, une revue audiovisuelle de l’économie, de la stratégie et du management qui montre comment une mesure fiscale prétendument « écologique » aboutit à un bilan écologique négatif :
Avec l’hybridation des modèles thermiques, l’industrie auto donne le sentiment d’avoir inventé une nouvelle martingale. Les ventes de voitures hybrides ont en effet explosé en 2020 en Europe tandis que le marché dans son ensemble dévissait. Mais ce n’est pas parce que c’est hybride et rechargeable que c’est écolo… Car oui, l’hybridation rechargeable s’apparente à du greenwashing avec la bénédiction des législateurs…
En effet, les VHR bénéficient d’une réglementation complaisante.
- En 2020 est entré en vigueur un système d’amendes pour les constructeurs ne vendant pas suffisamment de voitures vertes ou assimilées comme telles. Pour se conformer à ce système de quotas de CO2, les constructeurs européens ont alors converti la plupart de leurs modèles les plus polluants en version hybride rechargeable : il fallait en effet à tout prix verdir les gammes pour limiter de lourdes sanctions financières. Et cela a fonctionné !
- Ensuite, il y a eu un effet d’aubaine pour le segment des VHR avec la mise en place ou l’augmentation de primes à l’achat de véhicules plus ou moins verts en Europe, y compris pour les SUV hybrides rechargeables. La France n’a pas fait exception et les aides ont été massives en direction des particuliers.
- Les entreprises ont également répondu « présentes ». Représentant les deux tiers des achats de VHR en France, elles sont contraintes de verdir leur parc d’une manière ou d’une autre. Elles ont d’ailleurs profité elles aussi d’incitations à l’achat de VHR.
Pour les constructeurs, l’hybridation rechargeable est un facteur de rentabilité indirecte.
Sur le papier, cette technologie réunit le meilleur de deux mondes : la sobriété carbone de l’électrique et la grande autonomie du thermique. Et puis son côté rechargeable déculpabilise le consommateur qui a le sentiment d’être au volant d’une voiture électrique … Les constructeurs l’ont bien compris en usant massivement de la technologie hybride rechargeable pour électrifier leurs gros modèles, notamment les SUV à succès. Au-delà de l’avantage de verdir les catalogues et d’éviter de lourdes amendes, ce choix du VHR s’est imposé aux industriels dans la mesure où les coûts de développement de gammes 100 % électriques sont bien plus élevés, que l’hybride non rechargeable (qui a fait le succès de Toyota) n’est pas toujours adapté aux gros véhicules, et qu’il faut bien rentabiliser à tout prix les investissements dans la conception de berlines, crossover et autres SUV.
Le bilan carbone des VHR se révèle cependant calamiteux.
Une étude publiée par l’organisation britannique Transport & Environnement en novembre 2020 dénonçait des émissions 2,5 fois plus élevées que celles publiées officiellement. C’est que les conditions réelles d’utilisation des VHR sont la plupart du temps peu optimales :
- Les entreprises les utilisent en grande partie pour effectuer de longs trajets bien supérieurs à la capacité de la batterie électrique qui offre seulement 50 km d’autonomie.
- Les VHR consomment bien plus qu’un véhicule thermique classique compte tenu de leur poids : outre leur taille souvent importante, ces véhicules transportent un moteur thermique et des batteries électriques soit 200 à 300 kg supplémentaires par rapport à un modèle thermique équivalent.
- Enfin, d’après la plupart des enquêtes, les utilisateurs rechargent rarement leur VHR, ce qui au final en fait de véritables voitures thermiques, en plus polluantes.
Avec un tel bilan, les VHR semblent en sursis.
Certes, la demande pour des SUV et berlines hybrides est réelle. Certes, les constructeurs surfent habilement sur cette vague. Mais d’influentes ONG environnementales sont en embuscades et un tour de vis réglementaire semble inéluctable. Finalement, ces acrobaties pour rendre plus écolo la voiture hybride rechargeable nous rappellent que les constructeurs occidentaux, surtout européens, accusent encore un gros retard dans la motorisation électrique par rapport à Tesla ou des marques chinoises … et que la transition écologique est loin d’être évidente, non seulement pour les constructeurs, mais aussi pour les clients.
Philippe Gattet, directeur d’études, pour Xerfi Canal.
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2 Réponses à “L’écologie est un sujet bien trop sérieux
pour qu’on puisse la confier au écolos !”
Les écologistes, que j’appelle escrologistes, sont en réalité des communistes/ Socialistes/ démocrasses -au choix- qui se servent du prétexte de l’écologie, tout comme ils se servent du prétexte Covid, pour mettre en esclavage les peuples illettrés, ces riens qui, de plus, roulent au diesel en fumant des clopes,
ces connards de populos qu’il va falloir arrêter un moment ou à un autre.
Excusez moi pour ce français quelque peu zonard, mais je ne fais que recopier les paroles de notre Vénéré Président, que la Paix soit sur LUI…
En effet, il faut réaliser que grâce à la fermeture des Centrales Nucléaires, nos zélites zailées (forcément, pour des écolos, avoir des zailes semble logique) nous aurons des coupures de courant…
Le nucléaire est dangereux pour ces fêlés (il est vrai qu’heureux les fêlés, ils laissent passer la lumière).
Fêlés qui, par contre, prennent des bains de soleil sur des rochers de Bretagne ou se baladent en forêt en Auvergne sans réfléchir au fait qu’il y a plus de radio activité qu’aux abords d’une Centrale… Et pourtant ceci sans véritablement de gros problèmes…
Le peuple aura donc froid donc on pourra le mater un peu plus
Grace aux éoliennes, il y aura de nombreux champs bétonnés (l’Europe a décidé qu’il devrait y avoir un quota d’éoliennes par pays, ceci non encore voté, je crois)
Moins de champs, moins d’agriculture (aussi grâce au Covid, moins d’agriculteurs, du fait des nombreux suicides), donc moins de nourriture.
Il semble que les gouvernements réfléchissent sur la pénurie alimentaire qui devrait arriver en fin d’année.
Etc, etc….
Sans oublier le refus des OGM pour les plantes, mais l’obligation pour les humains du risque de devenir OGM avec la thérapie génique (pardon le vaccin ) Pfizzer Moderna and CO , en cas de retranscriptase avec un virus présent dans notre corps, ce qui peut être fréquent, vu que l’on porte en nous nombre de viri (on en respire, environ 1500 par jour)
C’est ce que je dis souvent à ceux qui visitent notre jardin.
Nous sommes respectueux de la nature, mais en aucun cas écologiste, car respect de la nature versus écologie est un oxymoron.
Et la transition écologique est une absurdité allant dans le sens du Grand Reset dont on nous bassine depuis des mois, dans le sens d’un retour vers l’homme des cavernes
Enfin plutôt les LGBTQZ++++ des cavernes qui se battront pour savoir si c’est le XY se sentant femelle qui ira à la chasse (attention, hein, il faudra un quota de lapins).
Ou la XX qui, vivant avec une autre XX, se battra avec son copine (faute de grammaire volontaire) pour savoir qui allumera le feu de bois (attention, hein, sans faire de fumée et sans diminuer le nombre d’arbres, hein…) pour faire cuire les champignons ramassés…
Un article sur l’escrologie, superbe lu sur H16=
http://h16free.com/2021/02/17/67980-un-plan-velo-a-leau-et-lelectrique-cest-pas-fantastique