La presse a ses têtes, ses espèces protégées !
Nous sommes maintenant tous habitués à ce que la presse nous cache la nationalité ou l’origine des délinquants surtout quand cette origine est maghrébine ou sub-saharienne.
Par contre, lorsque un terroriste s’avère être tchétchène, les médias n’ont aucun scrupule à révéler son origine !
De la même façon, si un délinquant connait quelqu’un dont le cousin a une soeur présente sur une liste électorale du Rassemblement national, il y a dix ans, on pointera immédiatement la responsabilité de l’extrême droite !
C’est souvent par les prénoms que passe la censure de la presse. Le plus souvent, les prénoms à consonance musulmane ou africaine seront passés sous silence.
Mais il y a plus fort encore !
Le site Breizh-info a pointé la pratique pour le moins douteuse du quotidien breton Le Télégramme (de Quimper) qui s’est permis de remplacer les prénoms maghrébins de délinquants par des prénoms bien français :
Le 23 février, dix prévenus poursuivis pour un vaste trafic de drogue comparaissaient devant le tribunal de Quimper. Jusque là, rien d’extraordinaire. Les prévenus en question – quatre femmes et six hommes âgés de 18 à 21 ans – sont originaires de la région parisienne. Là non plus rien que de très banal.
Ce qui interpelle, ce sont les prénoms des prévenus tels que rapportés par la journaliste du Télégramme : Antoine, Éric, Amélie, Anaïs, Alain, Héloïse, Matthieu, Henri… Rien que des prénoms bien français, bon chic bon genre, plutôt portés dans les quartiers huppés de la capitale…
Lisons plutôt :
Il s’agit de Kévin (*) qui serait, avec Antoine (*) à la tête du trafic. On trouve aussi Amélie (*) qui ferait office d’assistante. Âgée de 21 ans, elle est sous contrôle judiciaire dans le cadre d’une affaire d’importation de 5 kg de cocaïne – « 20 kg selon la prévention », précise le procureur – depuis la Colombie. Anaïs (*), âgée de 20 ans, au casier vierge est considérée comme étant le chauffeur en titre et s’occupant de la logistique du trafic.
Le trafic compterait quatre lieutenants, dont un des deux mineurs. Parmi les quatre aussi, Alain (*), âgé de 20 ans, boxeur de haut niveau, considéré comme « un crack » chez les amateurs. Les deux autres, Antoine (*) et Henri (*) (…) sont âgés de 18 ans et sous contrôle judiciaire dans le cadre d’une autre affaire de trafic de stupéfiants traitée par le parquet de Brest.
Parmi les « exécutants », il y a Héloïse (*), âgée de 20 ans et Triss (*), du même âge. Il y a aussi Matthieu (*) et Éric (*). Résidant à Massy (Essonne), ils ont été relaxés de trafic de stupéfiants, après un vice de procédure le 9 février dernier, avec un troisième larron, après un mois de détention provisoire. (…) Les dix prévenus seront jugés le 29 mars, par le tribunal de Quimper. Et ont tous été maintenus en détention provisoire.
En fin d’article, la journaliste du Télégramme tient quand même à précise le sens de l’astérisque : (*) « Les prénoms ont été modifiés. »
On s’en doutait un peu…
Crédit photo : DR
A droite, on sent bien que tout le monde veut nous éduquer : le pouvoir, la gauche, les élites, les médias, les juges et l’Europe veulent à tout prix nous convaincre que l’immigration est un bienfait pour la France.
C’est pas gagné avec moi !
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5 Réponses à “Prénom des délinquants : le grand remplacement …”
Je m’appellerais Héloïse Matthieu ou Antoine, je porterais plainte contre le journaliste pour discrimination.
Les mauvais esprits parlent généralement de Björn, ou tout autre bon prénom fleurant les Vikings.
Ils devraient donner des noms de journalistes et politicien de goche !
ces journaleux, ont un complexe, ils ont peur d’être « trop blancs », et de finir en camp de rééducation. Ecrire qu’un prévenu, ou un condamné s’appelle Mohammed, c’est être raciste, complice du RN, c’est donc insupportable pour un journaliste dont le rôle rappelé par Allende est de « servir la révolution, et non pas la vérité ! ».
Et il y a encore des gens qui achètent ce genre de torchon …
Un journal qui agit en toute impunité et pour lequel la DÉONTOLOGIE n’existe plus. Sait-on encore aujourd’hui ce que ce mot veut dire? et, qui se prête ainsi au MENSONGE éhonté. Insupportable.