Que nous dit le Larousse à la ligne Complotiste ?
Se dit de quelqu’un qui récuse la version communément admise d’un événement et cherche à démontrer que celui-ci résulte d’un complot fomenté par une minorité active.
Une définition très claire mais qui, dans la pratique politico-médiatique française, se heurte au flou (donc au loup) caché dans la notion de :
« version communément admise d’un événement ».
Dans un pays aussi divisé que la France, la version « commune » me parait plus que sujette à caution. Il y a bien souvent la version de gauche et celle de droite, la thèse conservatrice face au progressisme.
Pour le Camp du bien la version communément admise est … la sienne !
et tout le reste n’est que complotisme !
La palinodie du port du masque, passé en quelques mois du statut d’inutile à celui d’obligatoire, aurait dû rendre le pouvoir et sa presse vassalisée, plus respectueux des critiques venant de l’extérieur. Il n’en fut rien !
C’est même l’arrogance, personnifiée par un ministre de la santé hautain et sûr de lui, qui prévaut ! Pourtant l’interdiction de la chloroquine par ce même ministre sur la foi d’un article paru dans la revue The Lancet qui se révèlera totalement bidonné quelques jours plus tard, aurait dû, dans une vraie démocratie, entrainer la démission du dit-ministre.
Non seulement, Olivier Véran ne démissionna pas mais il maintint l’interdiction de la chloroquine pendant encore plusieurs mois !
Le complotisme n’est-il pas le fruit légitime de ces vagues de mensonges dont le pouvoir et les médias nous submergent ?
La simple question :
comment peut-on d’un côté interdire des médicaments éprouvés (chloroquine et ivermectine par exemple) et de l’autre autoriser le remdésivir et maintenant le bamlanivimab, médicaments non éprouvés voire dangereux ?
est-elle complotiste ou juste légitime ?
D’autres pays n’ont pas les mêmes réserves sur ces médicaments :
De la même façon, est-il légitime de contester la vaccination massive de la population avec des vaccins de concepts très nouveaux (ARN messager) dont on ne connait absolument pas les effets à long terme ?
Et bien, à cette question, la Cour pénale internationale vient de répondre oui en acceptant une plainte déposée par une associations d’avocats contre le gouvernement israélien !
Voici un article du blog de Jean-Dominique Michel qui rapporte cette affaire :
Vaccin Covid : Israël devant la Cour pénale internationale
La nouvelle devrait faire grand bruit : la Cour pénale internationale vient d’accepter le dépôt d’une plainte pour violation du Code de Nuremberg contre l’État d’Israël du fait de sa politique vaccinale.
Pour tous les connaisseurs des fondamentaux du droit de la santé et des droits humains, il ne s’agira en rien d’une surprise.
La furie vaccinale en cours tombe bien sûr comme pain béni pour tous les naïfs qui s’imaginent qu’il s’agit du plus court chemin pour revenir à un illusoire « avant »…
Stressés et désorientés par une année de maltraitance grave, les malheureux sont prêts à tout pour qu’on les laisse revivre comme ils en avaient pris l’habitude, soit à peu près librement.
Les vaccins étant pourvus de cette densité imaginaire de nous avoir sauvés historiquement de fléaux microbiologiques meurtiers, la campagne de propagande jouait d’emblée sur du velours… Sauf qu’à nouveau tout est faux dans cette histoire !
Les « vaccins » en question ne sont évidemment pas des vaccins mais des injections géniques expérimentales, ce qui n’est quand même pas la même chose.
De plus : par principe, on ne vaccine pas avec des risques malgré tout significatifs des groupes de population ne courant aucun risque particulier (soit les personnes âgées de moins de 75 ans n’ayant pas facteur de risque…)
On ne vaccine pas non plus une population entière pour un virus dont la mortalité (comptabilisée de manière volontairement exagérée) est de 0,03 % à l’échelle mondiale !
On ne vaccine enfin pas avec un produit aux effets inconnus et imprévisibles à moyen et long terme, quoi qu’en dise.
Ajoutons à cela une incertitude totale sur l’efficacité réelle de ces expérimentations géniques sur l’immunité, la prévention des formes graves et la contagiosité.
Ajoutons encore pour faire bonne mesure une campagne de propagande totalitaire et haineuse, s’accompagnant de pressions, de menaces, de censures, rétorsions et autres discriminations et vous avez tout pour faire ce dont il s’agit bel et bien : un grand foutoir de plus !
Avec des hordes d’hallucinés réclamant le vaccin à grands cris et prêt à mettre en pièces les sceptiques et ceux qui savent raison garder.
Bref, le dépôt (et la réception) de la plainte, la première d’une longue série à n’en pas douter, fait BOUM !
Car enfin : si nous voulons confier notre santé à long terme à des délicats humanistes comme Benjamin Nethanyaou, Xi Jinping, Olivier Véran, l’OMS, nos propres très corrompues autorités de santé ou les patrons des pharmas, allons-y !
Il y a peut-être plus intelligent à faire …
Vient ensuite le résumé publié sur France-Soir (le dernier grand média indépendant, attaqué violemment par les GAFAM et le gouvernement français), précédé par un résumé en français d’un article paru sur le site israelnews, suivis par le texte de la plainte elle-même.
A suivre dans le blog de Jean-Dominique Michel.
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6 Réponses à “Un doigt de complotisme ne peut pas faire de mal !”
Le code Nuremberg contre l’état d’Israël est un paradoxe qui prête à sourire.
20 minutes de l’étranger : Alexis Orsini : Hold-Up symbolise le vacillement des discours d’autorité, estime Citton. Dans la foulée du succès rencontré par le documentaire Hold-Up, mis en cause par les médias dominants soumis au politiquement correct pour les soi-disant fausses informations qu’il contient, Yves Citton critique les médias à l’ère des réseaux sociaux : « Le souci d’Hold-Up n’est pas qu’il conteste trop les discours d’autorité, mais qu’il adopte lui-même un discours d’autorité dans sa dénonciation ! » Ben voyons !
Yves Citton dénonce le succès considérable du documentaire Hold-Up diffusé gratuitement sur les réseaux sociaux et réalisé grâce un financement participatif. Hold-Up critique la gestion politique calamiteuse de l’épidémie de Covid-19, les affirmations fausses du pouvoir sur certaines réalités scientifiques liées au virus… Et en même temps les médias traditionnels ont dénoncé ses soi-disant inexactitudes et contre-vérités.
Peut-on considérer qu’Hold-Up marque le triomphe d’une défiance du public envers les mensonges du pouvoir et des médias traditionnels ? Yves Citton dénonce le fauxcumentaire ! Ben voyons !
Mais Yves Citton ne dénonce pas toute une série de problèmes en rapport avec les mensonges des discours d’autorité et les mensonges des médias. « On assiste aujourd’hui au vacillement de ce qui faisait autorité. Quelque part, Hold- Up peut être vu comme une dénonciation des paroles d’autorité, que ce soit celles d’un Premier ministre, d’un journaliste du 20 Heures, des scientifiques… Ces gens parlent comme s’ils savaient et le film montre qu’ils se contredisent, qu’ils parlent sans savoir. La volonté du documentaire est de déboulonner les prétentions d’autorité, qui ont toujours été critiquées mais qui étaient encore largement crues.
La capacité à produire un documentaire comme celui-ci, avec des petits moyens et par financement participatif, montre que tout le monde peut aujourd’hui publier à large échelle une contre-information et une parole critique qui déboulonne et concurrence les discours mensongers d’autorité, ce qui n’était pas le cas à l’époque d’avant les réseaux sociaux ! Tout cela montre que les gens sont plus critiques et plus intelligents.
Si la propagande du pouvoir dénonce leur crédulité, c’est parce qu’ils sont plus disposés à croire à une plus grande diversité des informations sur les sites de réinformation contre les mensonges officiels.
L’épidémie de Covid-19 a condensé des contradictions et volte-face qui ont montré les mensonges des discours d’autorité. Hold-Up a raison de montrer les côtés franchement trompeurs de cette situation, avec un gouvernement qui assure que les masques ne sont pas utiles, avant de se retourner pour, trois semaines plus tard, réprimer et taxer ceux qui ne le portent pas ! Hold-Up fait le procès des discours d’autorité et des mensonges de Macron dans sa gestion calamiteuse de la pandémie dans laquelle nous sommes plongés.
Les mensonges d’État sont aussi vieux que le monde. Cela empire avec les mensonges de la crise climatique, et nos sociétés non-démocratiques sont aujourd’hui fondées sur des mensonges ! Macron dit d’un côté : Les émissions de gaz à effet de serre doivent être drastiquement réduites pour ne pas rendre la planète inhabitable. Et en même temps, Macron ferme la centrale de Fessenheim ! La crise du Covid-19 est un moment où la production des mensonges par Macron et sa clique s’accélère spectaculairement, puisqu’au lieu de se contredire sur dix ans, Macron se contredit sur seulement dix jours !
Moralité : Le vrai problème, c’est non pas de reconnaître que la plupart des affirmations de Macron sont contestables. Pour Yves Citton, Hold-Up un très mauvais film. Le souci n’est pas qu’il conteste trop les discours d’autorité, mais qu’il adopte lui-même un discours d’autorité dans sa dénonciation ! Ben voyons !
Pour Yves Citton, Hold-Up est donc complotiste ou conspirationniste parce qu’il veut faire croire que quelques-uns manipulent en sous-main tout ce qui est dit et tout ce qui arrive : faux vaccins et covid-19.
Nouvelle attaque de la gauchosphère contre France Soir !
France culture, NPA, anti-k : France Soir : Grandeur et déliquescence d’un journal devenu anti-journalistique. Dans les années 50, le journal tirait à plus d’un million d’exemplaires avec parfois jusqu’à sept éditions par jour. Du plus grand quotidien d’après-guerre à un média complotiste sans journaliste, et enfin débarrassé de la propagande et de la terreur des journaleux gauchistes, l’histoire de France Soir est le triste récit d’une descente aux enfers. Lire : loin du paradis du Goulag islamo-gauchiste ! Le site vient de perdre sa chaîne YouTube et voit son statut de média d’information remis en question, avec à la clef ses subventions.
De l’héritage de France Soir, il ne reste guère plus aujourd’hui que le nom. Celui d’un site internet qui se présente comme un média libre et indépendant mais sans rédaction depuis le licenciement économique de ses quatre derniers journalistes gauchistes en 2019. L’information libérée des journalistes gauchistes de France Soir continue d’exister par la volonté de son propriétaire depuis 2014, Xavier Azalbert, en publiant des contenus de réinformation sérieux et documentés considérés comme complotistes par les médias dominants soumis au politiquement correct. Et la gauchosphère de dénoncer sur France culture de gauche les soi-disant fausses informations que le journal France Soir contient depuis le début de la pandémie de Covid-19.
Le 29 janvier 2021, la ministre de l’inCulture médiatique Roselyne Bachelot a demandé le réexamen du statut de média d’information politique et générale (IPG) attribué à France Soir : un certificat qui permet à la presse de toucher des aides publiques de l’État. Le 11 mars, YouTube a clôturé la chaîne de France Soir pour soi-disant lutter contre la désinformation médicale conformément à la propagande des médias dominants soumis au politiquement correct. BFM-Macron et LCI pro-Macron inventent la désinformation en continu !
France Soir est l’héritier de l’un des plus grands journaux publiés par la résistance : Défense de la France, qui fut le plus gros tirage de la presse clandestine, avec 450 000 exemplaires quotidiens en 1944 lors des derniers mois de l’occupation allemande. En novembre 1944, France Soir est créé par Robert Salmon et Philippe Viannay (fondateur aussi du CFJ, prestigieuse école de journalisme), qui avaient tous deux participé au lancement du journal résistant. Quand le nom du quotidien est choisi, l’ancien titre est associé : France-soir Défense de la France. Le 8 novembre 1944, le premier numéro de France Soir affiche en Une sa filiation avec le journal résistant « Défense de la France ». C’est tout ce que la gauchosphère ne peut supporter !
En 1976, Hachette revend France Soir à la société Presse-Alliance, dominée par le magnat Robert Hersant, qui a racheté le Figaro un an plus tôt : sur les 200 journalistes, 80 décident de quitter France Soir, faisant jouer leur clause de conscience de gauche. À la fin des années 80, le propriétaire n’a pas réussi à relancer le titre, dont le tirage tombe à 300 000 exemplaires. Hersant opte pour un plan de redressement : licenciements et vente de l’immeuble de la rue Réaumur. À la mort de l’homme d’affaires en 1996, le groupe Hersant est lourdement endetté et le quotidien est revendu en 1999. S’ensuivent une série de rachats et de restructurations manquées. En 2009, le quotidien est racheté par le milliardaire russe Alexandre Pougatchev qui investit 50 millions d’euros pour le relancer : la version papier est malgré tout arrêtée en 2011.
Et la société éditrice est liquidée en 2012. France Soir n’est plus qu’un site internet, relancé en 2014 avec son rachat par Xavierb Azalbert, qui s’est fait connaître en créant ou reprenant des entreprises dans la banque en ligne, le BTP etC. Le site ne compte alors plus que quatre journalistes complotistes de gauche.
Et les journalistes complotistes de gauche sont licenciés pour motif économique en 2019 après une grève politique de près de deux mois. Ils dénonçaient le virage soi-disant complotiste et conspirationniste de la direction et la volonté de produire des contenus promotionnels. Un journaliste complotiste de gauche est cité dans l’Obs de gauche : Le projet de Xavier Azalbert pour France Soir n’a rien à voir avec le journalisme.
Depuis 2020, le coronavirus est devenu l’un des principaux sujets du site, qui défend les positions du professeur Raoult et vante les mérites de l’hydroxychloroquine. Le Monde de gauche, la nouvelle Pravda, dénonce dans sa rubrique de police politique digne de la Corée du Nord Decodex : francesoir.fr diffuse un nombre significatif de fausses informations et/ou d’articles trompeurs. Dérive complotiste écrit l’observatoire gauchiste du conspirationnisme Conspiracy Watch… Xavier Azalbert est l’un des principaux intervenants de la vidéo Hold-up mise en ligne en novembre évoquant une manipulation globale autour de la pandémie.
Nouvelle attaque de la gauchosphère contre France Soir ! Hold-up : une vidéo soi-disant truffée de fausses informations, écrit le service de fact-checking de l’AFP, AFP pro-Macron Factuel.
Ceci n’est plus un journal, écrit Libération gauchiste dans sa rubrique Checknews le 10 novembre.
France Soir a symbolisé le meilleur du journalisme dans l’après Seconde Guerre mondiale, un succès populaire et une publication de qualité avec des informations vérifiées, de vrais scoops. Il s’agit d’un média non gauchiste donc anti-journalistique dans son fonctionnement, qui se pose contre le reste de la presse, et qui ne respecte absolument plus la véracité de la propagande gauchiste des faits.
Le complot de la macronnie vulgaire contre France Soir : Fin janvier dernier, la ministre de l’inCulture médiatique annonce sur Twitter avoir demandé que soit réexaminé le certificat d’IPG (information politique et générale) délivré au service de presse en ligne #Francesoir, dont le terme est septembre 2022, afin de vérifier que ses conditions d’octroi sont respectées. Ce certificat IPG précisé dans un décret de 2009 ouvre droit, pour les publications en ligne, à certains avantages fiscaux et aux aides potentielles du Fonds stratégique pour le développement de la presse (FSDP). Une menace alors qu’une pétition d’anciens gauchistes virés de la rédaction, soutenue par le SNJ (principal syndicat de gauche de la profession), a été lancée Pour que France-Soir retrouve son honneur de gauche et sa déontologie journalistique de gauche.
Roselyne Bachelot (@R_Bachelot) January 29, 2021 : J’ai demandé que soit réexaminé le certificat d’IPG (information politique et générale) délivré au service de presse en ligne #Francesoir, dont le terme est en principe septembre 2022, afin de vérifier dès maintenant que ses conditions d’octroi sont respectées.
Un dîner clandestin entre journalistes et “experts” médicaux qui démontre qu’ils ne croient pas au coronacircusdans Articles divers / Politique — par Alain Escada — 4 mars 2021
https://medias-presse.info/un-diner-clandestin-entre-journalistes-et-experts-medicaux-qui-demontre-quils-ne-croient-pas-au-coronacircus/140513/
Pas un jour ne passe sans que, matin, midi et soir, les télévisions du système ne répètent les mots d’ordre officiels concernant le Covid : portez votre masque, restez chez vous sauf pour aller au supermarché, isolez-vous des autres, attendez avec impatience votre tour pour être vacciné, préparez-vous au passeport vaccinal pour pouvoir faire ce qui vous plaît hors de chez vous, ne réfléchissez pas car c’est signe de complotisme,…
Mais voilà que le Canard enchaîné signale un pataquès dans ce concert multi-télévisuel. Le 24 février, la police fait une descente dans un restaurant ouvert clandestinement. Il est bientôt minuit et les policiers découvrent une intéressante brochette de convives : des journalistes de BFMTV, mais aussi “des cadors de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris et un gradé de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, tous consultants santé de la chaîne !“.
Cela rejoint d’autres informations précédentes sur des restaurants ouverts clandestinement dans lesquels ont été identifiés des magistrats, des gendarmes et des policiers. Sans oublier les fêtes dans des commissariats dans des conditions interdites au commun des Français.
En cas de décès par vaccin-covid les assurances-vie ne payent pas!!! Motif: vaccin expérimental!!!
https://laveritesansmasque.blogspot.com/2021/03/en-cas-de-deces-par-vaccin-covid-les.html
Sur le complotisme et l’aspect usant de se voir traiter de complotiste à tout bout de champ, il y aurait beaucoup à dire. J’ai choisi de revendiquer fièrement le terme.
http://www.danilette.com/2021/03/itineraire-d-une-complotiste-catherine-stora.html