Joe Biden en pleine confusion …

Voilà plus de deux mois que Joe Biden est entré officiellement à la Maison Blanche et on attendait vainement sa première conférence de presse.

Et les journalistes n’ont pas été déçus !

Le président Joe Biden est apparu très affaibli intellectuellement et a tenu des paroles confuses à plusieurs reprises.

Les médias du monde entier et en particulier les médias français, se sont bruyamment félicités de la défaite de Trump et de la victoire de Biden.

Mais voir la première puissance (nucléaire) mondiale dirigée par un homme aussi diminué a de quoi faire peur ! On peut penser que les jours de Joe Biden sont comptés à la présidence alors que la vice-présidente Kamala Harris est prête à prendre le pouvoir.

C’est sans doute ce qu’escomptaient les progressistes américains et l’Etat profond quand ils ont poussé la candidature de Joe Biden qui n’était sans doute qu’un marche-pied pour l’élection d’un femme non-blanche à la Maison Blanche !

Quand on connait le profil très à gauche de la vice-présidente, on peut craindre la suite.

Vous aurez remarqué que la presse française, fidèle à sa partialité anti-Trump, est restée très discrète sur la mauvaise prestation de Joe Biden !

Voici un article du New York Post qui rapporte la première§-ère conférence de presse de Joe Biden.

Biden semble parfois confus lors de la première conférence de presse officielle

Le président Biden a semblé perdre à plusieurs reprises le fil de ses pensées au début de sa première conférence de presse en tant que commandant en chef, jeudi, demandant aux journalistes s’ils voulaient qu’il entre dans les détails dans ses réponses, oubliant les questions et s’appuyant fortement sur un classeur de fiches qu’il avait apporté.

Le président a répondu à dix questions durant 62 minutes, consultant à plusieurs reprises ses fiches avant de faire appel au journaliste suivant.

Le classeur à trois anneaux contenait également les remarques liminaires qu’il avait prononcées au début du briefing, ainsi que des notes sur des sujets de préoccupation majeure sur lesquels il était susceptible d’être interrogé.

Le premier moment gênant s’est produit alors que le président répondait à une question sur la crise à la frontière sud du journaliste de PBS, Yamiche Alcindor.

Après avoir parlé pendant quatre minutes de la vague de migrants, le 46 ème président a déclaré: « Et l’autre chose que nous faisons, pourrais-je ajouter », avant de s’interrompre pour demander: « Est-ce que je vous donne une réponse trop longue ? Parce que si vous ne voulez pas les détails … »

« Je ne sais pas combien de détails vous voulez sur l’immigration », a-t-il poursuivi en disant: « Peut-être que je vais m’arrêter là. »

Le commandant en chef a ensuite répondu aux questions complémentaires d’Alcindor, dans lesquelles elle s’interrogeait sur les délibérations visant à autoriser les migrants à rester ainsi que sur l’obstruction.

Après avoir répondu à la question d’Alcindor sur les migrants, Biden a dû être rappelé à nouveau au sujet de la requête d’obstruction.

Le président a parlé pendant encore deux minutes du Sénat, où les démocrates intensifient leurs efforts pour abolir la règle législative obligeant 60 membres à mettre fin au débat sur la plupart des sujets et à passer au vote, avant de perdre à nouveau le fil de ses pensées.

« Je n’ai jamais été particulièrement pauvre pour calculer comment faire avancer les choses au Sénat des États-Unis. Donc, la meilleure façon de faire quelque chose, si vous, si vous tenez à vous et que vous aimez pouvoir le faire, de toute façon », dit-il en s’interrompant.

Biden soupira avant de paraître terminer sa réponse, promettant: « Nous allons faire beaucoup de choses, et si nous devons le faire, s’il y a un verrouillage complet et un chaos à la suite de l’obstruction systématique, alors nous devrons aller au-delà de ce dont je parle.

Note du blogueur : l’incohérence des deux phrases précédentes n’est à priori pas due à la traduction (Google) mais à celle de Joe Biden !

À un autre moment, Biden prit une question sur l’action qu’il envisageait de prendre en matière de contrôle des armes à feu.

Il a répondu qu’il envisageait « tout ce qui précède » après avoir été interrogé sur le fait d’agir seul ou avec le Congrès, ajoutant que faire des progrès sur la réforme des armes à feu était une question de « timing » – avant de plonger dans un commentaire de quelques minutes sur l’infrastructure.

Tout en discutant des infrastructures, le commandant en chef a d’abord affirmé que les États-Unis étaient au 85e rang mondial pour leurs ponts et routes en ruine, pour se corriger une fois qu’il avait vérifié ses notes et découvert que les États-Unis étaient 13e au monde.

Il s’est également engagé à discuter de son dernier effort plus « demain » lors de son voyage prévu à Pittsburgh, en Pennsylvanie, malgré le voyage prévu pour mercredi prochain.

La date de son voyage n’était probablement pas incluse dans le classeur de Biden.

Conformément à une grande partie de la conférence de presse, il y eut plus de confusion à la fin de celle-ci.

Le président a dit qu’il prendrait une dernière question, y a répondu, puis s’est éloigné sans attendre le suivi de la question, disant rapidement aux journalistes : « Eh, les gars, je pars » avant de sortir.

Emily Jacob pour le New York Post.

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