Voici deux faits divers pleins d’enseignement comme nous le rapporte le site Français de souche (fdesouche.com) :
Le 5 janvier 2021, vers 1 h 25, les gendarmes de Pont-l’Abbé constatent qu’une Mégane Renault noire s’engage à vive allure dans le rond-point pour prendre la Transbigoudène, direction Quimper. Course-poursuite sur la voie express : les fuyards foncent à 170 km/h dans une voiture volée. Au niveau de l’échangeur L’Avantage, elle fait subitement demi-tour sur la voie express et prend à contresens la direction de Pont-l’Abbé. (…)
Au tribunal, ils nient tout, jonglent avec les versions, inventent des histoires à dormir debout. Comme des vrais trafiquants. L’expérience en moins. Face à ce “tissu de mensonges”, la procureure Béatrice Nectoux requiert dix-huit mois d’emprisonnement à l’encontre du plus âgé et une amende de 150 €, un an ferme contre les deux autres, le maintien en détention des trois et l’interdiction de séjourner dans le Finistère et le Morbihan pendant cinq ans.
Coup de théâtre en fin de procès : la présidente, Béatrice Dupuis, après avoir instruit le dossier, accorde finalement l’exception de nullité soulevée quelques heures plus tôt par Me Elma Kraisnik, l’avocate du plus âgé. Pour elle, la géolocalisation de son client est “illégale :
La demande doit être faite par décision écrite et motivée du procureur. Or, ça a été fait par téléphone. C’est une atteinte grave aux libertés individuelles”.
Le tribunal joint le dossier au fond, l’instruit, et relaxe les trois prévenus après trois heures de procès. Surréaliste.
Premier enseignement : le deux poids, deux mesures !
On peut écouter Nicolas Sarkozy pendant des mois. On peut même écouter ses conversations avec son avocat sans soulever l’objection mais mais pour trois dealers, on annule toute la procédure pour un détail de procédure !
Deuxième enseignement à tirer de la presse …
A Quimper, le journal Le Télégramme rapporte que 11 jeunes dont Kevin, Anaïs, Alain,Mattjieu et Henri, venant de la région parisienne ont été jugés pour trafic de drogue.
Sauf qu’après coup, on apprend que ces jeunes se prénommaient Assane, Ali, Anissa, Mohamed et Elhad …
Régalez-vous avec la laborieuse justification du caviardage des prénoms par une journaliste du Télégramme :
La dernière remarque est d’une vacuité hallucinante ! Pendant toute l’instruction de l’affaire des écoutes (Bismut), la journaliste a t-elle bien caché le nom de Nicolas Sarkozy et remplacé par Ali Ben Moktar ?
Décidément, le journalisme est tombé bien bas dans notre pays …
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5 Réponses à “Deux faits divers bretons très instructifs …”
Justice immonde, comme d’hab…
Ca ne l’a pas dérangé de violer la présomption d’innocence de Kevin, Eric et compagnie par contre. Ils ont de plus en plus de mal à argumenter pour protéger leurs hypocrisies, ces gens-là.
C’est quand même désopilant
La journaliste tremble pour son job. Elle sait pertinemment que personne ne va la croire mais si elle laisse penser qu’il s’agit d’allogènes, le proprio du journal n’appréciera pas !
Non plus que le lectorat, constitué d’instits à la retraite et de syndicalistes décattis
En fait, d’après les journalistes du « Le Télégramme », Zemmour avait raison quand il disait à « Hapsatou Sy » que ses parents auraient dû l’appeler « Corinne ».
Des journaleux, en France pensent comme Zemmour, on croit rêver !!!
Pour ne pas être suspectés, Thierry Herzog et Nicolas Sarkozy auraient dû prendre des pseudos de la diversité pour ne pas être inquiétés par la justice.
Le paradoxe français:
Les policiers traquent la diversité, au faciès, qui est ensuite relaxée par les magistrats.
Les policiers protègent les personnalités, celles de droites sont traquées par les journalistes afin d’être lynchées par ceux qui relaxent et relâchent les racailles de la diversité.
C’est devenu une petite mafia, voila pour expliquer ce journalisme et soi disant justice qui invoque des pretextes bidons pour aider la racaille mais sont implacable envers le peuple de souche et font la « guerre » a la droite.