Le titre de cet article sera sans doute jugé excessif.
Mais il est à la hauteur de l’horreur et de la colère que nous inspire l’assassinat de Chahinez, jeune femme abattue puis brûlée vive par son mari dans une rue de Mérignac.
Ce mari, prénommé Mounir, avait déjà été condamné en Juin 2020 pour violences conjugales à 18 moins de prison dont 9 mois de sursis probatoire.
Cet homme, connu pour sa violence, avait néanmoins obtenu, trois mois plus tard, une mesure de placement extérieur spécifique pour les auteurs de violences conjugales. Libéré le 9 décembre 2020, il était depuis suivi par le service pénitentiaire d’insertion et de probation de la Gironde. Cette mesure comprenait notamment une obligation de soins, l’interdiction d’entrer en contact avec la victime et l’interdiction de paraître à son domicile.
La justice n’avait pas jugé bon de lui imposer un bracelet anti-rapprochemen. Chahinez non plus ne bénéficiait pas d’un téléphone grave danger (TGD) qui lui aurait permis d’alerter la police.
Une fois encore, la réinsertion des délinquants sera passée avant la protection des victimes !
En mars 2021, sa femme porte plainte après une nouvelle agression de son mari. La police ne parvient pas à le localiser et un avis de recherche est lancé.
Deux mois plus tard, Mounir tire dans les genoux de Chahinez. Lorsqu’elle s’écroule au sol, Mounir l’asperge d’un liquide inflammable et l’immole vivante !
Il est relevé, également, que les armes que détenaient Mounir ne lui avaient pas été retirées à la suite de sa condamnation !
Dans quel état d’esprit se trouvent aujourd’hui, le ou les juges d’application des peines qui ont libéré cet homme réputé dangereux ?
Se sentent-ils peu ou prou responsable de la mort horrible de Chahinez ?
Vont-ils démissionner ?
Ou vont-ils continuer à appliquer dans leurs jugements, l’idéologie de la culture de l’excuse ?
Continueront-ils à penser comme Christiane Taubira le leur a répété lorsqu’elle était Garde des sceaux :
« La prison n’est pas la solution. Elle est le problème ! »
Dans ce cas, combien de femmes seront à nouveau tuées par leur conjoint ? Combien de Français seront encore victimes de multirécidivistes que des juges refusent d’enfermer ?
Combien de temps les Français excédés cèderont-ils à l’envie de faire la justice eux-mêmes ?
On a observé récemment, place Stalingrad, à Paris, des riverains bombarder des drogués et des dealers à coup de mortiers de feu d’artifice ?
Quelle sera la prochaine étape ?
Un nouveau quinquennat de Macron serait, à cet égard, catastrophique quand on voit la politique pénale laxiste menée par un Eric Dupond-Moretti plus préoccupé de combattre le Rassemblement national dans les Hauts-de-France, que les délinquants partout en France !
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4 Réponses à “Brûlée vive à cause du laxisme de la justice ?”
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Emploi en politique
La suppression des JAP est une mesure urgente de salubrité publique.
Par ailleurs, l’Etat est totalement responsable de l’incurie de la justice et du non suivi de ces dangereux criminels lâchés en pleine nature sans précaution ni suivi.
Une honte de plus.
Si le mari avait été membre de GI, il aurait été incarcéré ou du moins avec bracelet. On ne dit pas d’où venaient ses ressources.
papsy, il faut comprendre, le problème, le vrai c’est l’extrême droite et les fachos du RN, ça doit être notre priorité, « quoiqu’il en coûte » comme dirait l’autre …
Mon commentaire n’est qu’en partie ironique, parce que c’est désormais le discours actuel de la majorité des dirigeants LR.
Lorsqu’un mari tire dans les jambes de sa femme soupçonnée d’adultère pour, in fine, l’imoler vive n’est pas qu’un « feminicide », c’est de la barbarie et dans ce cas là, l’application stricte de la charia.
Ce type, en plus de la haine de la femme qui a partagé sa vie, n’a aucune pensée pour ses enfants, aucune humanité.
C’est plus que du patriarcat, cela ne se combat pas avec des mesurettes sur l’égalité homme/femme, ni par la stigmatisation des hommes en général.
Sans ce « sac à merde », cette femme et ses enfants auraient peut-être fait le bout de chemin qui leur restait à faire pour passer de la soumission à la liberté, à l’égalité et à la fraternité.
C’est en ça que l’islam rigoriste est incompatible avec la République, la France a accueilli, fait des efforts pour insérer ces populations, en octroyant la nationalité à tour de bras.
Ceux qui refusent de faire l’effort nécessaire pour devenir citoyens de la République française, qu’ils rentrent au bled!!!
Le « garde des sots » devrait mettre toute son énergie à combattre ce phénomène grandissant plutôt que de mener une lutte acharnée contre le RN qui évolue en permanence pour se dégager du carcan « facho » dans lequel l’ont enfermé ceux qui refusent d’ouvrir les yeux sur les vrais problèmes.
Il est à noter que de plus en plus de politiciens, écrivains, journalistes et personnes médiatiques sont classés chez les fachos et je dois dire que c’est bon signe.
Il faut du courage pour s’exprimer à contre courant de la pensée unique caractérisée par tant d’années de non-dits, mensonges, secrets d’État et mauvais traitements couteux contre le mal.
Mal, qui ne pouvait et, je l’espère, ne peut être éradiqué qu’avec de l’autorité, l’application stricte des lois et une politique extérieure ferme.
Comment peut on projeter nos forces armées en opérations extérieures pour défendre la paix et être incapable de faire pression sur un état pour qu’il récupère ses ressortissants en situation irrégulière ou ayant commis des délits sur notre sol.
C’est justement de courage dont a besoin la France, c’est ainsi que certains militaires outre passent exceptionnellement leur devoir de réserve pour éveiller le peuple de France et notamment ceux qui détiennent le pouvoir afin de réagir aux coups de boutoir qui s’intensifient inexorablement.
Les promesses de campagne vont pleuvoir, le courage des candidats passera par un calendrier stricte des mesures liées à l’insécurité, à l’immigration, au régalien et à la souveraineté.
Pour le reste, en periode de pandémie, le chômage est partiel, les budgets sont illimités, l’emploi est classé essentiel ou non, la liberté de circuler est à mi-temps ou limitée à 10 kms, les relocalisations industrielles en restent à des promesses. Alors je vous le dit, ce quinquennat, comme le précédent est dans le détail, dans la « com », dans la politique politicienne et donc insignifiant, ces ministres, députés et senateurs sont devenus non essentiels dans leur majorité.
La poussière dépasse du tapis, ils proposent de remplacer le tapis par un plus grand. Moi, je propose un grand coup de balai !!!