« L’hétérosexualité n’est plus tendance »
C’est Santé publique France qui vous le dit !

L’hétérosexualité n’est plus tendance est le titre d’une campagne d’affichage lancée par Santé publique France.

Mais ne perdez surtout pas de vue que cette campagne est financée avec l’argent de vos impôts et cotisations !

Quelles sont donc les missions de Santé publique France ?

On peut trouver la définition de ses missions dans la rubrique « à propos » de son site web : santepubliquefrance.fr :

« Santé publique France est l’agence nationale de santé publique sous tutelle du ministère chargé de la Santé. Notre mission : améliorer et protéger la santé des populations. Cette mission s’articule autour de trois axes majeurs : anticiper, comprendre et agir. »

Avant de se demander dans laquelle de ses missions et dans lequel de ses trois axes s’inscrit la campagne d’affichage actuelle, regardons un peu ces affiches :

A quelle mission se raccrocher ?

En quoi la promotion des pratiques LGBT+ permet-elle d’améliorer et de protéger la santé ?

L’hétérosexualité est-elle dangereuse pour la santé ? Est-elle une maladie ? Pour parler plus crûment : « la pratique de la sodomie est-elle plus hygiénique que le coït vaginal ? »

Continuons la visite de la campagne au pays de Lesbos …

Ce père a l’air ravi de savoir qu’il n’aura pas de (vrais) petits enfants … C’est son droit ! Soyons tolérants comme on nous engage à l’être dans cette campagne !

Dans lequel des trois axes majeurs : anticiper, comprendre et agir, s’inscrivent ces affiches ?

Anticiper ? L’homosexualité est-elle l’avenir de la société ? Cela défierait les lois de la nature qui base la reproduction sur la complémentarité homme-femme.

Comprendre, agir ? Oui à la compréhension et à la tolérance pour les tenants de ces pratiques. Mais non, à ce qu’on les érige en modèles.

Quittons Lesbos pour Sodome et Gomorrhe !

Le comble du bonheur …

Ce qui frappe dans toutes ces affiches, ce sont les visages en plein bonheur extatique de tous ces gens qui découvrent l’homosexualité de leur compagnon ou parent !

On se prend à regretter de ne pas avoir côtoyé plus de transgenres, de lesbiennes et de gays dans notre vie …

Pour conclure …

Pour terminer cet article qui, chez les progressistes, sera qualifié d’homophobe, qu’il me soit permis de m’enfoncer encore plus dans l’ignominie en trouvant scandaleuse cette campagne d’affichage financée par les contribuables.

Même si l’on souscrit au message de tolérance vis-vis des pratiques sexuelles évoquées, on peut dénoncer une campagne que ne démentirait pas le lobbys LGBT+, une campagne qui est de la pure propagande.

Décidément le progressisme fait un entrisme forcené dans toutes les strates de la société.

Qui pour y mettre un terme ?