Le titre de cet article est la conclusion d’un texte publié dans la dernière lettre confidentielle de Valeurs actuelles.
Il résume bien toute l’arrogance de la gauche, tout le parti pris des médias et tout le deux poids, deux mesures des médias que je ne cesse de dénoncer dans ces colonnes.
Le « Camp du Bien » est incapable de la moindre introspection. Il se sent investi de la grande mission sacrée de défendre ce qui, pour lui est « Le Bien » et donc de combattre toute opinion qui s’éloigne si peu que ce soit de la pensée dominante progressiste.
Comme le dit Eric Zemmour, les journalistes n’informent plus, ils prêchent !
Ils sont devenus les curés des siècles passés ! Pire, certains d’entre-eux font revivre les pires heures de l’Inquisition dans la chasse à l’hérétique conservateur et illibéral !
Pour le « Camp du Bien » , le paysage audiovisuel français est totalement souillé par l’émergence d’une chaine comme CNews ! Il convient donc de tout faire pour la détruire. Pire, il mène le combat au nom du pluralisme en clamant que CNews est une chaine d’opinion.
Les plus virulents, dans ce combat, sont les « journalistes-humoristes » de France Inter qui veulent mettre le feu à la paille dans l’oeil de Vincent Bolloré sans voir les énormes poutres de sectarisme et de partialité plantée dans leurs yeux !
Pour ce « Camp du Bien », voir Europe 1 tomber dans le giron de Bolloré, et devenir une CNews radiophonique, est insupportable.
C’est l’objet de ce texte de Valeurs actuelles :
Libération face à la pluralité des opinions
Libération en perdition.
Le quotidien progressiste consacre sa une du jour à Europe 1, en passe de devenir, selon le journal, le « CNews de la radio ». Dans un paysage politique où la doxa bien-pensante est plus que jamais omniprésente — 74 % des journalistes votent à gauche, selon un sondage d’Harris Interactive de 2012 —, la pluralité des opinions dérange.
Après CNews, devenue en moins de cinq ans la chaîne la plus détestée du microcosme parisien, Vincent Bolloré hérisse une nouvelle fois les poils de la meute journalistique. L’actionnaire majoritaire du groupe Vivendi, conforté dans ses positions par le succès d’audience du canal 16, s’attaque maintenant à la radio, chasse gardée d’une idéologie incarnée à la perfection par Radio France. Devenu actionnaire principal d’Europe 1, l’homme d’affaires veut ressusciter une station au bord du gouffre. Europe 1 a perdu plus de 26 millions d’euros ces deux dernières années, et ses audiences sont à la dérive (5 % d’audience cumulée début 2020).
Pour inverser une tendance morbide, Vincent Bolloré et le groupe Lagardère — qui possède toujours la station — voient les choses en grand. Dès la rentrée, Europe 1 et CNews partageront certains de leurs programmes. Dimitri Pavlenko et Laurence Ferrari, déjà présents ponctuellement sur la chaîne d’information, viendront épauler leur collègue Sonia Mabrouk.
Une “radio d’opinion de droite” sur la bande FM ?
Inconcevable pour les salariés d’Europe 1, qui ont vociféré quand Louis de Raguenel, ex-journaliste de Valeurs actuelles, a rejoint leurs rangs ! Depuis vendredi dernier, la rédaction est en grève. Un mouvement de contestation soutenu par Libération. Dans son dossier de couverture, le quotidien multiplie les allusions ridicules sur les accointances supposées entre le duo CNews-Europe 1 et le mal absolu que représente pour eux l’“extrême droite” et le “populisme”. Une position difficilement recevable de la part d’un média qui a depuis longtemps oublié toute idée de pluralité des opinions et d’objectivité journalistique. Quelques jours avant le second tour de la présidentielle en 2017, le journal appelait ouvertement à « voter Macron ».
Mais bon, un média de gauche n’est jamais un média d’opinion…
Valeurs actuelles.
Causeur aussi s’en prend à Libération :
Pour “Libération”, une chaîne de droite c’est déjà trop!
Voicicomment Pascal Praud défend sa consoeur Laurence Ferrari et sa chaine :
«CNEWS cible de critiques» : l’édito de @PascalPraud dans #HDPros pic.twitter.com/fbKBk9si25
— CNEWS (@CNEWS) June 23, 2021
Suivre @ChrisBalboa78
4 Réponses à “Un média de gauche n’est jamais un média d’opinion”
Si les journal eux gauchisants d’Europe veulent partir, personne ne les retiendra ni ne les pleurera ! Quant à Libé, ce journal pourrissant serait encore capable de polluer mes poubelles.
Les merveilleux journalistes qui émargent à l’un ou l’autre ne sont pas capable de conceptualiser la notion de liberté d’expression ni celle de pluralité d’opinions. Ces individus qui se prétendent seuls détenteurs de la vérité et de la morale me dégoûtent au plus haut pont. Leur ultra gauchisme et leur cécité devraient leur interdire toute expression publique, ce qui est précisément ce qu’ils réclament sans cesse pour ceux qui ne pensent pas comme eux.
A propos de dictature, façon chinoise dont des sénateurs s’inspirent pour la mettre en place et même en forçant les portes, que dénonce Florian Philippot, c’est réel, et compte s’installer définitivement.
https://www.youtube.com/watch?v=cInU4SC_LA0
COVID-19
Gouvernement.fr: dernières informations sur le Coronavirus.
Covid et dictature : l’incroyable rapport du Sénat !
FLORIAN PHILIPPOT
Le journalisme depuis des decennies n’est plus le journalisme,
c’est du militantisme, de la manipulation, du fake new, de l’invention, le tout, tournés contre les opposants qui evidement ont toujours tort, et eux toujours raison.
Enfermé dans cette posture depuis des decennies, ces zozos se faisant passer pour des journalistes, detruisent toutes possibilitées d’obtenir une verité basé sur le reel, le realisme, le bon sens, et l’humain, le vrai…
Depuis longtemps, ( des decennies ) si je pense a la goche ou journaleux, je me pince le nez, et je me rassure lorsque je voit encore les ordures dans les poubelles, qui elles au moins sont plus « propres » que ces pseudo bien pensant »
L Ferrari n’est pas de droite ni du centre, elle fait partie de ceux qui etait pour dsk, celui qui a violé la noire dans un hotel..
De plus l’ayant deja observé, elle est de goche mais essais de cacher son jeu comme bien d’autres…