Quand Justin Trudeau soutient l’insoutenable …

Publié par le 14 Juil, 2021 dans Blog | 1 commentaire

Quand Justin Trudeau soutient l’insoutenable …

« Vous avez aimé Justin Trudeau déguisé en chef indien d’Amérique, en cow-boy, en Superman au Parlement canadien, vous l’avez aimé en foulard traditionnel sikh ou en kamis à la mosquée, vous allez l’adorer en tenue SM.

Sauf que là, le fouet, les menottes ou la laisse sont plus de l’ordre mental que vestimentaire. Trudeau, à l’instar de moult chefs d’État progressistes, est un adepte de l’ethnomasochisme. »

Vous venez de lire l’introduction d’un article de Pierre Mylestin paru sur Boulevard Voltaire :

C’est à se demander si le progressisme n’est pas une maladie mentale et qu’à force de le pratiquer certains deviennent fous ! Car je n’ai pas la faiblesse de croire que les progressistes sont moins intelligents que les Conservateurs ! Ils sont juste beaucoup plus néfaste !

Vous découvrirez dans cet article que pour Justin Trudeau :

« il est parfaitement compréhensible que certains brûlent des églises … »

Justin Trudeau : jamais en retard d’une demande de pardon

Une série d’incendies et de vandalismes ont visé plusieurs églises catholiques et anglicanes au Canada suite à la découverte, par des groupes de militants autochtones, de tombes anonymes sur les sites de trois anciens pensionnats en Colombie-Britannique et dans le Saskatchewan. Plusieurs générations d’enfants autochtones y avaient été placées en vue de leur instruction, leur évangélisation et « assimilation ». Ces pensionnats, développés à partir de 1831 par le gouvernement fédéral canadien, étaient une forme d’enseignement public, dont plus de la moitié étaient tenus par l’Église catholique, et qui ont prévalu pendant plus d’un siècle.

« Le Canada est devenu le centre d’incendie des églises du monde occidental », titrait un rapport qui analyse l’ampleur du phénomène ; depuis sa publication, 23 églises ont été attaquées, au moins cinq ont été complètement détruites par des incendies ; les lieux de culte ne sont, par ailleurs, pas les seuls à êtres visés ; des statues de la reine Victoria, de la reine Élisabeth, du capitaine James Cook et une statue dédiée à la police ont également été saccagées.

Incendies d’églises catholiques au Canada

Certaines réactions ne se sont pas fait attendre, par exemple celle d’Harsha Walia, originaire de Bahreïn et chef de l’Association des libertés civiles de la Colombie-Britannique, dont le but est de « promouvoir, défendre, soutenir et étendre les libertés civiles et les droits de la personne »qui a tweeté, s’agissant des églises : « Burn it all down », que l’on peut traduire par « Brûlez-les toutes ». Heidi Matthews, professeur en droit de la Harvard Law School, interprète ces actes comme « le droit de résister à l’injustice extrême et systémique ».

Une semaine après le début de ces événements, la réaction de Trudeau, non plus, ne s’est pas fait attendre. Trudeau, catholique, déclarait lors d’une conférence de presse qu’il comprenait la colère de nombreuses personnes envers le gouvernement fédéral et l’Église catholique : « C’est réel et c’est parfaitement compréhensible étant donné l’histoire honteuse dont nous sommes tous devenus plus conscients. » Il s’est excusé et a appelé le pape François à en faire formellement de même.

Selon Robert Woodson, activiste afro-américain des droits civils, « le concept de racisme systémique est une arme politique qui se nourrit de la culpabilité blanche » et l’autoflagellation dans le monde occidental post-chrétien est devenu endémique, une condition sine qua nonpour être bien vu par les minorités agissantes et leurs suppôts, notamment financiers. Trudeau, déjà qualifié par Mathieu Bock-Côté de « très petit homme » et de « véritable parangon de vertu diversitaire », thuriféraire de la diversité heureuse, n’échappe pas à cette règle, il en est même la caricature vivante. En dédouanant ces actes de guerre civile et religieuse, il se met à genoux devant les minorités agissantes les plus violentes, acte de soumission qui ne fera qu’exacerber leur extrémisme. Les conséquences de cette attitude peuvent être tragiques venant du chef d’un pays, que Bock-Côté décrit, particulièrement de sa partie anglaise, dans une tribune publiée en novembre dernier dans le FigaroVox, comme « un camp de rééducation à ciel ouvert », « à travers l’accouplement morbide du multiculturalisme canadien et du racialisme américain ».

Il y a de moins en moins de doutes que le monde moderne, dans ses composantes progressiste, multiculturelle, antiraciste et islamo-gauchiste, ne pourra hélas être que conflictuel. Un état de fait qu’il faudra accepter pour, à défaut de s’en prémunir, au moins s’y préparer.

Pierre Mylestin paru sur Boulevard Voltaire

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Une réponse à “Quand Justin Trudeau soutient l’insoutenable …”

  1. Ces pseudo elite sont des aberrations, seuls les autres, et pas leurs peuples ont droit a leur culture…

    On a affaire a des fous !

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