Les cons, ça ose tout …

Publié par le 30 Oct, 2017 dans Blog | 0 commentaire

Les cons, ça ose tout …

Ils nous manquent terriblement !

Les Pierre Desproges, les Thierry le Luron, les Coluche …

La maladie ou l’accident les a emportés mais s’ils avaient survécu, il est fort probable que le politiquement correct les aurait achevés !

« On me dit que des juifs se sont glissés dans la salle, avait osé Pierre Desproges, Vous pouvez rester ! » et il récidivait : « Les rues de Paris ne sont plus sûres. Vous savez que dans certains quartiers de la capitale, les Arabes n’osent plus sortir tout seul le soir ! » et encore ceci à propos d’un épicier arabe : « Pour des feignants, c’est incroyable de voir à quel point ces épiciers arabes se lèvent tôt et se couchent tard … »

Par les temps qui courent, pas sûr également que le sketch de Coluche : Le viol de Monique passerait encore sur les antennes …

Thierry Le Luron en Glandu

Thierry Le Luron faisait dire au personnage d’Adolf Benito Glandu : « y a t-il un socialiste dans la salle ? Vous pouvez vous dénoncer. N’ayez pas peur ! »

Et plus loin dans le même sketch : « La Renault 5, vous savez, celle qui est fabriquée en Afrique du nord, à Aulnay-sous-bois … Pour le débrayage, ils sont imbattables, chez Citroën ! Ils font les trois huits : 8 heures d’arrêt de travail, 8 heures de grève et 8 heures de prière … »

Tous ces humoristes seraient aujourd’hui mis à l’index !

Depuis des décennies on nous a fait croire qu’en gros, la gauche c’est la liberté et la droite c’est l’ordre ! Mais qui de la gauche ou de la droite est responsable de cette chape de plomb qui s’est abattue sur la France. Dans ce pays où l’on ne peut plus défendre la filiation naturelle  sans être taxé d’homophobie, où l’on ne peut critiquer l’islam sans être traité de raciste islamophobe …

Bref on étouffe.

Après ce sinistre constat, voici pour vous détendre quelques citations tirées des dialogues de film de Michel Audiard qui m’on été transmis par Ginette, une groupie de ce blog :

  •  » On est gouvernés par des lascars qui fixent le prix de la betterave et qui ne sauraient pas faire pousser des radis. « 
  • « Si on mettait un point rouge sur la tête de tous les cons, le monde ressemblerait à un champ de coquelicots ! « 
  • « Moi, les dingues, j’les soigne, j’m’en vais lui faire une ordonnance, et une sévère, j’vais lui montrer qui c’est Raoul. Aux quatre coins d’Paris qu’on va l’retrouver, éparpillé par petits bouts,  façon puzzle…
  • « Moi, quand on m’en fait trop, j’correctionne plus, j’dynamite, j’disperse, j’ventile. »
  • « Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît. » (Les tontons flingueurs )
  • « Les ordres sont les suivants : on courtise, on séduit, on enlève et en cas d’urgence on épouse. » ( Les barbouzes )
  • « Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de 60 kilos les écoutent. » (100 000 dollars au soleil )
  • « La tête dure et la fesse molle, le contraire de ce que j’aime. » (Comment réussir quand on est con et pleurnichard)
  • « Un pigeon, c’est plus con qu’un dauphin, d’accord, mais ça vole. » (Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages)
  • « Mais pourquoi j’m’énerverais ? Monsieur joue les lointains ! D’ailleurs je peux très bien lui claquer la gueule sans m’énerver !  » (Le cave se rebiffe)
  • « Quand on mettra les cons sur orbite, t’as pas fini de tourner. » (Le Pacha)
  • « La justice c’est comme la Sainte Vierge. Si on la voit pas de temps en temps, le doute s’installe. » ( Pile ou face )
  • « Si la connerie n’est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille. » (Un singe en hiver)
  • « Deux intellectuels assis vont moins loin qu’une brute qui marche. »  (Un taxi pour Tobrouk)
  • « Vous savez quelle différence il y’a entre un con et un voleur ? Un voleur de temps en temps ça se repose. » (Le guignolo)
  • « Dans la vie, il faut toujours être gentil avec les femmes même avec la sienne. » (Série Noire)
  •  « Je suis pas contre les excuses, je suis même prêt à en recevoir. » (Les grandes familles)
  • « Il vaut mieux s’en aller la tête basse que les pieds devant. » (Archimède le clochard)
  • « Quand on a pas de bonne pour garder ses chiards, eh bien on n’en fait pas.  » (Mélodie en sous-sol)
  • « Plus t’as de pognon, moins t’as de principes. L’oseille c’est la gangrène de l’âme. » (Des pissenlits par la racine)
  • « Deux milliards d’impôts ? J’appelle plus ça du budget, j’appelle ça de l’attaque à main armée. » ( La chasse à l’homme )
  • « Je suis ancien combattant, militant socialiste et tenu un bistrot. C’est dire si, dans ma vie, j’en ai entendu, des conneries. » (Un idiot à Paris)
  •  « Le flinguer, comme ça, de sang froid, sans être tout à fait de l’assassinat, y’aurait quand même comme un cousinage. » (Ne nous fâchons pas)
  •  « A travers les innombrables vicissitudes de la France, le pourcentage d’emmerdeurs est le seul qui n’ait jamais baissé. » (Une veuve en or)

Signé : Michel Audiard 

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