L’un des piliers de la République et de la démocratie est constitué par la Justice. La V ème République reconnait deux pouvoirs : le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif et une autorité : l’autorité judiciaire qui n’est donc pas un pouvoir de même niveau que les deux précédents.
Cette autorité devrait se contenter de punir le non-respect des lois proposées et votées par les deux pouvoirs.
Mais dans la pratique, la Justice se comporte comme un pouvoir qui, dans bien des cas, et de plus en plus souvent, supplante les deux autres.
J’ai déjà dénoncé cet abus de pouvoir dans ce récent article (L’Etat de droit contre le peuple).
Plus grave encore, on a le sentiment que certains jugements tiennent plus de l’idéologie portée par les juges que par l’application de la loi. C’est particulièrement criant dans le domaine de l’immigration qu’un exemple tout récent vient d’illustrer.
Alors qu’un militant pro-migrant qui faisait passer les Alpes à des clandestins a été blanchi par le Conseil constitutionnel, la justice vient de condamner deux responsables de l’association Génération identitaire à une peine de prison avec sursis et à une amende. Leurs torts ? Avoir critiqué l’immigration !
Critiquer l’immigration est puni mais violer les frontières est autorisé !
Valeurs actuelles, dans cet article, rapporte la condamnation évoquée ci-dessus :
Thaïs d’Escufon, ancienne porte-parole de Génération Identitaire, condamnée à de la prison avec sursis
Jeudi 9 septembre à Saint-Gaudens (Haute-Garonne), Thaïs d’Escufon, ancienne porte-parole de Génération Identitaire (GI) a été condamnée à deux mois de prison avec sursis et 3.000 euros d’amende « pour injures publiques » relate Le Parisien. Jérémie Piano, également membre de GI, a été condamné à la même peine et à la même amende, mais pour le motif de « provocation à la haine raciale ». Tous les deux avaient participé le 19 janvier 2021 à une opération anti-migrants au col du Portillon (Haute-Garonne), à la frontière entre la France et l’Espagne.
Les propos reprochés à Jérémie Piano datent d’une vidéo de l’opération, postée le 20 janvier. Dans celle-ci, le jeune militant parle d’« une invasion migratoire », « des milliers de clandestins déjà en France » dont « probablement des voleurs, des violeurs et des terroristes en puissance ». Les propos reprochés à Thaïs d’Escuffon datent eux du 21 janvier, dans une vidéo portant aussi sur l’opération. Dans celle-ci, l’ancienne porte-parole affirme qu’il est « scandaleux qu’un migrant puisse traverser la frontière ».
Une condamnation « délirante »
A la fin de la tenue du procès, SOS Racisme, qui était partie civile, s’est « félicité » de cette condamnation. De son côté, Thaïs d’Escuffon a déclaré au Parisien : « La peine qui était requise contre moi était complètement délirante, la condamnation ne l’est pas beaucoup moins ». La jeune étudiante toulousaine de 21 ans a attaqué sa condamnation qu’elle a qualifiée d’« atteinte très grave à la liberté d’expression » visant « à servir d’exemple pour criminaliser le discours anti-immigration ».
Valeurs actuelles.
Dans un Etat de droit, que la gauche nous jette à la figure sans cesse, peut-on condamner à la prison quelqu’un qui dit « qu’il y a probablement des voleurs, des violeurs et des terroristes en puissance parmi les migrants clandestins » ?
Oui ou non, n’y a tel pas déjà eu en France des attentas perpétrés par des terroristes infiltrés dans le flot de migrants ?
70 % des délits commis à Paris par des mineurs sont-ils, oui ou non, le fait de mineurs isolés immigrés ?
Il est donc condamnable, en France, d’énoncer des vérités avérées ! Pour l’unique raison que ces vérités ne sont pas politiquement correctes et non-conformes à la pensée dominante !
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2 Réponses à “Il est interdit de parler d’immigration … en mal !”
Cela demontre bien l’anti-democratie en france et le viol de nos droits et des lois.
Devant une telle pourriture en place, car c’est bien le cas, il faut que le peuple ce leve, pacifiquement mais determiné a nettoyer et debarrasser ces pourries du pays qui le detruise VOLONTAIREMENT, au point de mettre tout le pays en danger.
Ceux là, sont nos ennemis qui travaillent de l’interieur, c’est pourquoi le pouvoir des juges a pris une telle ampleur, interpretent a leur façon, frappe durement ceux qui veulent la protection du pays et relache ceux qui participent a sa destruction.
Ces messieurs, pardon, ennemis de la france ( car c’est ce que vous etes en realité ) et ordures morales est plus qualifié, sauront que lorsqu’on pousse un peuple dans ces retranchement, il ce levent ( cela a commencé avec le pass, 3 600 000 estimé par Martine Wronner qui veut retablir la verité face aux mensonges mediatiques ) et que votre tour viendra…ineluctablement.
Tout à fait, et dès qu’on en parle en Mal, on est au choix :
– D’extrême droite,
– Un fasciste,
– Un nazi.
Rayez les mentions inutiles.
Et les gaucho-progressistes sont des champions toutes catégories de la calomnie en la matière.