Dans les années 80, les années Mitterrand, la gauche a rompu avec la tradition républicaine de l’assimilation.
Une tradition qui avait fait ses preuves avec des générations d’immigrés italiens, espagnols et polonais.
La génération SOS Racisme – Harlem Désir, Bernard Kouchner, Julien Drey en tête – a condamné l’assimilation jugée comme une pratique post-coloniale pour prôner la notion de « droit à la différence ».
François Mitterrand et la gauche portent une responsabilité écrasante dans la situation catastrophique de la France qui voit une partition de son territoire s’étendre tous les jours un peu plus sous ses yeux.
L’école devrait être le premier lieu d’assimilation ou, à défaut, d’intégration des populations immigrées. Cela a fonctionné pendant des décennies. Mais aujourd’hui, quand une classe regroupe 90 % d’élèves musulmans, il devient quasi impossible qu’elle joue ce rôle.
Pour illustrer ce désastre, voici un article paru dans la Lettre patriote qui montre que les problèmes commencent à se poser dès la maternelle :
Quand on demande à certains enfants pourquoi
ils veulent apprendre à lire, on a cette réponse :
C’est pour pouvoir lire le Coran !
Alors que le professeur d’histoire-géographie Samuel Paty a été tué il y a un an, des enseignants se sont confiés à nos confrères de Marianne sur les difficultés rencontrées dans leur classe face à des élèves musulmans prosélytes.
C’est notamment le cas de ce professeur de CM2 de Montreuil qui a répondu à Marianne.
Ici, ça commence dès la maternelle. Quand on demande à certains enfants pourquoi ils veulent apprendre à lire, on a déjà cette réponse : “C’est pour pouvoir lire le Coran.”
Le professeur rencontre régulièrement des problèmes de prosélytisme dans sa classe, souvent lié au fait que les élèves fréquentent une école coranique les mercredis et samedis.
Parmi les cas les plus inquiétants, il cite cette jeune élève de dix ans qui disait vouloir devenir présidente de la République pour « imposer la burqa ». « Cette petite s’enroulait les cheveux dans un foulard, elle attendait visiblement que je réagisse. » Parfois, la confrontation entre élèves non-croyants et croyants tourne à la bagarre :
J’ai déjà vu des élèves se battre parce qu’un garçon non-croyant a vu la pluie et a dit que : ‘C’est dieu qui fait pipi.
Antoine pointe aussi la responsabilité de l’instruction publique qu’ils reçoivent.
Je n’ai jamais eu ce type de réaction avec des élèves, mêmes croyants, qui avaient un bon niveau. Ce sont toujours ceux qui sont en échec, qui ne maîtrisent pas la lecture ou le calcul.
Antoine évoque « une forme d’acculturation. Ils se construisent une identité à côté, dans un monde propre qui est celui de la religion. L’école coranique leur apporte ces réponses-là. » Pour l’enseignant, si ces enfants ne comprennent pas vraiment ce qui se passe à l’école, c’est aussi parce qu’ils sont dans des familles « qui ne sont pas intégrées, voire radicales, il faut le dire. »
Julien Michel pour La Lettre patriote.
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Une réponse à “Pourquoi apprend-on à lire dans certains quartiers ?”
Je cite:
Ici, ça commence dès la maternelle. Quand on demande à certains enfants pourquoi ils veulent apprendre à lire, on a déjà cette réponse : “C’est pour pouvoir lire le Coran.”
Que fait le gouvernement et les merdias contre cette sission ?!!!
Il faut voter E Zemmour !