L’encre de mon précédent article intitulé :
« Les vaccins tuent plus qu’ils ne sauvent de vies ! »
est à peine sèche que je tombe sur un article de LCI qui semble totalement contredire les conclusions du premier, en indiquant qu’un comité d’experts de la FDA propose même la vaccination des enfants de moins de 12 ans !??!
États-Unis : un comité d’experts recommande
le vaccin anti-Covid de Pfizer pour les 5-11 ans
J’avoue qu’il est difficile de trouver une logique dans la gestion de cette pandémie.
Il me semblait que l’intérêt d’une vaccination s’appréciait en fonction uniquement du rapport bénéfice-risque pour le patient. On m’a assuré que, pour les adultes, même si la vaccination n’empêche ni d’attraper le virus, ni de le transmettre aux autres, elle évite les cas graves (hospitalisation et décès).
Mais pour les enfants qui ne développent quasiment jamais de formes graves de la maladie, le bénéfice est pratiquement nul. Quels arguments va t-on nous donner pour la vaccination de nos chères têtes blondes ?
Néanmoins, malgré mon incompréhension, je relaye ici l’article de LCI par souci de transparence et d’honnêteté :
ÉPIDÉMIE- Les experts ont décidé de recommander l’immunisation des enfants âgés entre 5 et 11 ans estimant que les bénéfices l’emportaient sur les risques.
La campagne vaccinale semble sur le point de s’ouvrir aux plus jeunes aux États-Unis. Un comité d’experts américains s’est prononcé, mardi, en faveur de l’immunisation des 5-11 ans avec le vaccin contre le Covid-19 de Pfizer-BioNTech, présageant d’une autorisation très prochaine de celui-ci pour 28 millions d’enfants américains. L’avis de ce comité n’est que consultatif, mais il est rare qu’il ne soit pas suivi par l’Agence américaine des médicaments (FDA). Si celle-ci autorise effectivement le vaccin pour cette tranche d’âge, les injections pourraient commencer dès début novembre.
Les membres du comité ont estimé que les bénéfices du vaccin pour les enfants de 5 à 11 ans l’emportaient sur les risques (17 votes pour, une abstention). Les enfants « sont loin d’être épargnés par les dommages du Covid-19 », avait rappelé Peter Marks, de la FDA, en introduction. Chez les 5 à 11 ans, plus de 1,9 million de cas de Covid-19 ont été enregistrés depuis le début de la pandémie aux États-Unis, plus de 8.300 hospitalisations et une centaine de décès, a-t-il détaillé.
Les enfants attrapant le virus peuvent développer un syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique (MIS-C), ou encore un « Covid long ». Pour soutenir sa demande d’autorisation, Pfizer a présenté les résultats d’un essai clinique ayant démontré une efficacité de 90,7% du vaccin pour prévenir les formes symptomatiques de la maladie chez les 5 à 11 ans. « Nous pensons que nous avons optimisé la réponse immunitaire et minimisé les réactions », a déclaré le vice-président senior de Pfizer, William Gruber, lors de la réunion.
Le point de débat principal concerne le risque de myocardites provoquées par le vaccin. Cette inflammation du muscle cardiaque est un effet secondaire qui a notamment été détecté chez les adolescents et jeunes adultes (surtout masculins) après Pfizer ou Moderna. Les autorités sanitaires ont confirmé près de 880 cas (plus de 600 restent à évaluer), dont environ 830 ont nécessité une hospitalisation. Au moins environ 790 sont depuis rentrés chez eux, et aucun décès n’a été enregistré.
Parmi les 3.000 enfants vaccinés au total durant les essais cliniques de Pfizer, aucun cas de myocardite n’a été détecté. Les experts pensent que cet effet secondaire devrait être plus rare chez les jeunes enfants, car il pourrait être lié aux niveaux de testostérone. Cela ne veut pas dire que le risque est absent. Mais l’analyse de la FDA prédit que le nombre « de problèmes cliniquement significatifs » liés au Covid-19 évités grâce au vaccin « contre-balancerait clairement le surplus de cas de myocardites ». Le Dr Paul Offit, membre du comité, s’est dit rassuré par le fait que le dosage pour les enfants soit plus faible (10 microgrammes par injection au lieu de 30 pour les groupes plus âgés).
2 Réponses à “USA: bientôt la vaccination des enfants entre 5 et 11 ans !”
ARTE a regarder
Big Pharma, labos tout-puissants
https://www.arte.tv/fr/videos/085428-000-A/big-pharma-labos-tout-puissants/
Plus riches et plus puissantes que jamais, les firmes pharmaceutiques orientent la recherche et le remboursement des soins. Enquête sur une industrie hors de contrôle, dont les intérêts ne coïncident pas toujours avec les impératifs de santé publique.
On les surnomme les « Big Pharma » : à eux seuls, les suisses Novartis et Roche, les américains Pfizer et Johnson & Johnson, et le français Sanofi contrôlent la majeure partie de la fabrication de médicaments. Pour conserver leur monopole, ces grands laboratoires minimiseraient, voire occulteraient, certains effets indésirables causés par leurs produits. En Europe, la Dépakine, un antiépileptique responsable de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux chez des enfants exposés in utero, est au cœur d’un retentissant scandale. Soupçonné d’avoir tardé à alerter les autorités sanitaires et les consommateurs sur ces risques pourtant connus, Sanofi a été mis en examen pour « tromperie aggravée », « blessures involontaires » et « homicides involontaires ». Aux États-Unis, où la crise des opioïdes fait des ravages (plus de cent morts par jour), les multinationales pharmaceutiques sont accusées d’avoir encouragé la prescription massive de ces antidouleurs en dissimulant leur caractère hautement addictif. En 2019, Johnson & Johnson a ainsi été condamné à payer 572 millions de dollars à l’État d’Oklahoma pour avoir mis en danger la vie de ses citoyens. Alors que l’industrie pharmaceutique bénéficie largement des innovations de la recherche publique, les prix des médicaments atteignent des sommets : facturé 84 000 dollars aux États-Unis, où la tarification n’est pas encadrée, le traitement contre l’hépatite C coûte 24 000 euros en France, quand la nouvelle thérapie génique contre la leucémie commercialisée par Novartis avoisine les 300 000 euros. Entre intense lobbying et ententes illicites, les laboratoires déploient d’efficaces stratégies pour préserver leurs exclusivités, à l’instar du même Novartis, qui est parvenu à imposer sur le marché un médicament contre la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) quarante fois plus coûteux que son concurrent.
Course au profit
À l’heure où la lutte contre le Covid-19 alimente les mastodontes pharmaceutiques, Luc Hermann (Starbucks sans filtre) et Claire Lasko éclairent le nouveau paradigme à l’œuvre dans le secteur, entre concentration, financiarisation et course effrénée aux profits. À l’aide d’exemples documentés et de nombreux témoignages (de médecins, patients, journalistes, victimes et avocats, ainsi que d’un représentant de Sanofi et de l’ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine), leur enquête met en lumière la puissance démesurée des Big Pharma – « comparable à celle d’un État », selon le professeur François Chast –, les menaces qu’ils font peser sur les systèmes de santé publique, mais aussi les élans de résistance qu’ils suscitent, entre multiplication des procédures judiciaires et constitution de collectifs de médecins luttant contre la corruption dans le domaine de la santé.
Réalisation :
• Claire Lasko
• Luc Hermann
Pays :
• France
On a affaire a des salauds qui trafiquent les chiffres,mets sous silence des commentaire de scientifique contre la politique de l’etat…
L’Ivermectine fait du bon travail dans les pays qui l’utilisent, et fait moins d’effet secondaire que les pseudo vaccins.
Le taux de mortalité, sur plusieurs articles passé sur ce site, et ailleurs, demontre que le vaccin a un effet secondaire trop important, le nombre de cas depassent ceux que l’on a l’habitude de voir avec les vaccins traditionnel.
Le vaccin anti covid, fait plus de degats dans les hopitaux, que les NON vaccinés.
Bien entendu une omerta est organisé depuis le debut pour empecher que le peuple ne connaisse les vrais resultats.