Comment on endoctrine nos enfants …

Publié par le 20 Nov, 2021 dans Blog | 2 commentaires

Comment on endoctrine nos enfants …

« Décolonialisme, islamo-gauchisme, communautarisme, promotion du transgenrisme : au nom de la « diversité » et de son corollaire pédagogique, l’« inclusion », les idéologies ont pénétré dans le temple scolaire avec la complicité d’une partie du corps enseignant et par le biais des outils pédagogiques. L’écriture « inclusive » tente de s’imposer comme la norme et l’institution est dépassée, malgré la volonté du ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, de lutter contre ces dérives. »

Vous venez de lire l’introduction du dossier que Le Figaro Magazine a consacré à l’endoctrinement de nos enfants dans les écoles de la République.

Cela me rappelle une confidence d’Eric Zemmour. Au sortir d’un débat avec un militant de gauche qu’il avait laminé, il confie que ce dernier lui glisse en aparté : « Vous pouvez bien dire tout ce que vous voulez, nous, nous maitrisons les programmes scolaires ! »

Oui, ce sont les enfants et les jeunes que les idéologues de gauche attaquent de façon à faire basculer, dans dix ans, la France dans le progressisme.

Je me propose de donner, en plusieurs articles, de larges extraits de ce dossier qui fait froid dans le dos.

Partie 1 : la complicité de certains enseignants

Sara est lycéenne dans un établissement sans histoire de la banlieue parisienne. Son lycée n’est ni huppé ni ghetto. L’équilibre du « vivre-ensemble » y est fragile, mais il tient. Sara est métisse, ses camarades sont d’origines diverses. Ils sont blancs, noirs, maghrébins, asiatiques mais pour elle, comme pour eux, la différence n’a jamais été un sujet de débat ni un problème … Jusqu’à ce fameux cours d’éducation morale et civique intitulé : « Le racisme anti-Blancs existe-t-il ? »

Une question qui n’en était pas une, selon la lycéenne, tant l’enseignante a verrouillé les échanges pour imposer sa réponse : « Non, il n’existe pas. »

Les élèves ont été invités à se définir comme « racisés » ou « non racisés » et ont découvert les notions de « privilège blanc », de « racisme systémique », etc. Une véritable initiation à la sémantique décoloniale !

Ce cours a tout changé dans la classe, affirme Sara.

Nous nous entendions bien, il y avait de la solidarité, du respect et de la bienveillance entre nous. Mais certains ont commencé à se voir comme des victimes de racisme, à ne parler que de cela. La boucle Whats App de la classe est devenue un champ de bataille avec deux camps qui s’affrontaient. Il y avait les Blancs accusés de racisme et les « basanés » de la classe qui parlaient d’esclavage, de colonialisme, d’inégalité. Ce cours n’a pas fait réfléchir. Il a installé un climat de haine et transformé en victimes certains de mes camarades qui allaient très bien jusque-là.

Du haut de ses 15 ans, la jeune fille interroge cette notion de racisme à sens unique mais aussi et surtout la démarche de cette prof :

J’ai été frappée par l’impossibilité de discuter cette théorie. Je ne comprenais pas. Pour moi, le racisme, c’est d’abord de la bêtise. Et la bêtise n’a pas de couleur de peau. Heureusement, j’ai pu en discuter avec mes parents qui m’ont rassurée. Ils m’ont expliqué que ce cours était de l’idéologie déguisée. Ils m’ont parlé des thèses indigénistes et racialistes. Dans notre classe, plus rien n’a été comme avant après ça. La prof a changé d’établissement l’année suivante. Elle est partie sans essayer de réparer les dégâts.

L’anecdote ne surprend pas l’essayiste Fatiha Boudjahlat (1). Professeur d’histoire et géographie dans un collège de Toulouse, elle est en colère :

C’est terrifiant ce qu’il se passe aujourd’hui. L’école est gangrenée par des idéologues. Ils avancent masqués, en utilisant leurs cours et leur autorité de professeurs pour faire de la propagande politique sous couvert de générosité et de respect de la diversité. C’est  le complexe du missionnaire en Afrique : Ils veulent « sauver » les gamins en leur révélant leur statut de victimes, en faire de bons indigènes, avec la haine de l’État et de la France. Ce sont des agents du séparatisme.

Propos recueillis par Judith Waintraub.

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2 Réponses à “Comment on endoctrine nos enfants …”

  1. Tout est bon pour démolir la france en manipulant la jeunesse avec la complicité des politiciens qui ne font rien.

    De l’extreme gauche a l’extreme droite ils ont choisi leur camp, laisser detruire et ne rien voir.

    Alors voter… a ce niveau de trahison generale de la classe politique ne changera rien.

  2. Ces personnes là se foutent carrement des enfants et de la société !

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