On ne change pas une méthode qui perd !

Publié par le 29 Déc, 2021 dans Blog | 3 commentaires

On ne change pas une méthode qui perd !

Après une manipulation puissante de la population par la peur, ils nous recommandèrent de nous faire vacciner.

Cela nous permettrait de revenir à la vie d’avant et de retrouver nos libertés, nous disaient-ils ! C’était la solution !

Puis, ils commencèrent à parler du pass sanitaire. Macron et Véran nous rassuraient : utilisé uniquement pour les grands rassemblements, le pass sanitaire ne serait jamais utilisé au quotidien (restaurants, cinéma, voyages …)

Lorsqu’on atteignit la deuxième dose, le pass sanitaire fut requis pour entrer dans les restaurants et les cinémas ! Mais, Véran continuait à nous rassurer : jamais, ô grand jamais le pass sanitaire ne serait appliqué à la troisième dose !

Et pourtant le 15 décembre dernier, mon pass sanitaire (deux doses) a été invalidé et hier, je me suis fait rejeter de mon restaurant favori !

Jusqu’à présent, le pass sanitaire pouvait être validé soit par une vaccination complète soit par un Test PCR négatif. Le gouvernement a commencé par réduire la durée de validité du test de 72 H à 24 H ce qui le rendait caduc de fait !

Et la majorité-godillots va voter comme un seul homme la transformation du pass sanitaire en pass vaccinal, ce qui exclura définitivement la solution du test !

Vous l’avez compris la stratégie du tout-vaccin
est la seule examinée par le gouvernement !

Le pouvoir supprime, dans le pass sanitaire, la seule partie qui apportait une protection absolue contre la contamination : le Test PCR négatif !!!

Et ceci contre toute logique !

Raisonnons par exemple sur le cas des soignants :

– Un soignant vacciné peut quand même contaminer les patients,
– Un soignant testé négatif est inoffensif pour les patients,
– la logique voudrait que pour les soignants, on privilégie le test.
– Pourtant, il y a quelques semaines, Véran a viré comme des chiens les soignants non-vaccinés testés négatif,
– Aujourd’hui, lorsqu’un soignant vacciné est testé positif, on l’autorise quand même à soigner des patients !

Tout ça n’a aucun sens, et ne découle d’aucune logique cartésienne !

Le pouvoir est dans l’idéologie du tout-vaccin et toutes ses actions relèvent plus de la croyance que de la science !

Et pourtant le tout-vaccin est un échec patent !

On pourrait pardonner à des idéologues qui réussiraient mais  ils échouent !

Car comment parler de vaccin pour un simple traitement médical qu’il faut renouveler tous les trois mois ! Et qui plus est n’arrête pas l’épidémie en favorisant, disent certains scientifiques, l’émergence de variants.

Dans de nombreux pays faiblement vaccinés, en Afrique notamment,  l’épidémie est en voie de régression.

Le fait que la vaccination réduit la proportion de cas graves – unique argument encore brandi par le pouvoir – justifie t-il le tout-vaccin ?

On pourrait répondre par l’affirmative s’il n’existait pas d’autres solutions que le vaccin ! Mais, 5 médicaments sont déjà agréés par l’Union européenne et plus personne ne met en doute l’efficacité de l’ivermectine !

Ne pourrait-on pas passer d’une stratégie Tout-vaccin à celle du Tout-test ?

Si on développait la prévention par les tests et qu’on traitait les patients détectés positifs à l’Ivermectine ne parviendrait-on pas à limiter les entrées en réanimation et sans les effets secondaires liés au vaccin ?

Parallèlement, on laisserait circuler le virus et on favoriserait l’immunité collective, qui arrêterait à terme l’épidémie

Mais non ! On ne change pas une méthode qui perd !

Je replace ici un graphique montrant l’efficacité de l’ivermectine en Afrique :

En beige, sont figurés les pays qui vaccinent et qui ne traitent pas les patients à l’ivermectine.

En bleu, sont figurés ceux qui vaccinent peu et traitent à l’ivermectine.

Observez les deux courbes du nombre de morts dans les deux types de pays ! Au moment du pic de janvier 2021, le taux de décès était de 0,015 pour 100 000 pour les pays utilisant l’ivermectine et ….0,21 pour 100 000 pour les pays ne l’utilisant pas !

Soit dans un rapport 14 !

On remarque que ce sont les pays les plus développés d’Afrique (Maghreb et Afrique du Sud) qui utilisent le plus de vaccin et le moins d’ivermectine. Est-ce parce que, comme en Occident, ils sont sous la coupe de BigPharma ?

Devant un tel constat, comment comprendre que, depuis deux ans, le pouvoir macronien et d’autres dans le monde, interdisent les traitements précoces tels que l’ivermectine ?

Il faut se garder de tout complotisme, mais la question reste poser : à qui profite (le crime) de cette interdiction ?

Signez tous la pétition contre le pass vaccinal (déjà plus de 800 000 signatures) :

Merci de tweeter cet article :





3 Réponses à “On ne change pas une méthode qui perd !”

  1. La strategie est d’amener la dictature sanitaire ( prevu par le plan attalie de 1979 dans sa video ) a son maximum en habituant progressivement la population et en faire des moutons parfait et continuer a accentuer de plus en plus l’injection de cette soupe afin de depopulationner ( prévu dans le plan attalie ) dans le temps discretement, voila pourquoi ceux qui contaminent restent et son éjecter comme des malpropres ceux qui sont sain et que sont refusé les bons medicaments contre toute logique apparente.

    Mais eux, ce le reservent, cela a été prouvé sur ce blog.

    Quand on commencera a compter les morts en grand nombre et que les mensonges d’état et mediatique auront finie de tromper, alors la population comprendra que ce n’était pas pour leur biens, mais trop tard.

  2. L’objectif n’a jamais été le même depuis janvier 2020 suivant l’évolution de la crise si ce n’est cacher l’impréparation et les carences du système de santé, l’incompétence et la panique du pouvoir en place et surtout de discréditer les autres facons de voir les choses et de traiter le mal.

    Au début, il fallait paraître « serein » face à une grippette qui sévissait en Asie.

    Ensuite, il fallait cacher les carences en masques et surtout le scandale de l’abandon de l’EPRUS en 2016 sous « Normal 1er » avec comme ministre de l’économie et des finances « manu dernier ».

    Ensuite, cacher le manque d’anticipation et d’organisation du gouvernement et se protéger du risque pénal en décrétant l’état d’urgence sanitaire et en masquant, pas la population, mais les raisons des prises de décisions par l’instauration des conseils de défense.

    Par la suite, axer toute la stratégie sur les vaccins puis sur les vaccins ARNm, par autorisation en fonction des risques (seule mesure cohérente à mon avis) lorsque la logistique ne suivait pas, par incitation, par la contrainte en ouvrant toujours plus de tranches d’âge pensant que la crise s’arrêterait par ce seul miracle.

    De nos jours, et ce n’est qu’une étape supplémentaire, la troisième dose sera quasiment obligatoire pour tous, la quatrième est déjà dans les tuyaux et ce sera au final 4 injections annuelles pour toute la population pour avoir le droit de vivre dans ce nouveau monde (de ouf, si j’ose écrire).

    Je m’oppose donc au titre de l’article,

    il faut absolument changer cette équipe de « loosers de la start-up nation ».

    J’appelle le plus grand nombre d’electeurs à se rendre aux urnes pour éradiquer le virus de la « macronie », à bien observer ceux qui sont susceptibles de nous faire revivre ce cauchemar et favoriser l’election de candidats pouvant enfin nous sortir de cette souricière.

    Ils n’accepteront jamais qu’ils ont eu tord, c’est une escalade d’alpinistes orgueilleux qui sont décidés à gravir à leur manière et uniquement à leur manière, « quoiqu’il en coûte » cette paroi.
    Lorsque les « premiers de cordées » devissent, c’est toute la cordée qui s’écrase sur le plancher des vaches.
    J’appelle donc aussi les seconds de cordées (parlementaires de tous bords conseillers régionaux et autres élus) à se désolidariser de cette escalade folle en refusant d’adopter cette nouvelle loi pour les uns et en faisant pression ou en s’opposant à celle-ci pour les autres.

    Merci par avance aux candidats à l’élection présidentielle d’être clairs sur leur projection sur cette crise sans omettre de traiter des autres crises qui progressent elles aussi à bas bruit sous couvert de celle du COVID si chère au pouvoir actuel pour sa réélection.

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