Dans un article précédent intitulé :
Le procès que vous cache la presse française …
j’avais présenté la tenue prochaine de la première audience d’un tribunal constitué en dehors des instances judiciaires officielles et chargé de mener une enquête sur la gestion mondiale de la pandémie de covid-19.
Cette première audience s’est tenue effectivement le 5 février dernier. Voici le communiqué officiel des avocats et juges qui constituent ce tribunal, tel que rapporté dans cet article de FranceSoir :
Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, annonçons par la présente que nous mènerons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du grand jury des États-Unis. Cette procédure du Grand Jury sert de modèle de procédure juridique pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles à ce jour des crimes Covid-19 contre l’humanité à l’encontre « les dirigeants, des organisateurs, des instigateurs et des complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie. Les crimes, objet de l’enquête, englobent tous les actes commis par une personne en vertu d’un dessein partagé de commettre des crimes contre l’humanité et tous ces actes criminels seront condamnés dans les diverses communautés de jurés à travers le monde.
Cette procédure porte sur le peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle est appelée le « Tribunal populaire » de l’opinion publique ». N’ayant pas été en mesure de trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles observées devant les tribunaux du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel, en nous fondant sur le droit naturel. Ceci, à son tour, est fondé sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement faire la distinction entre le bien et le mal, et entre le vrai et le faux.
L’allégation principale repose sur le fait que : « les gouvernements du monde entier sont sous l’influence de structures corrompues et de puissances criminelles. Une entente a été établie afin de mettre en scène une pandémie planifiée depuis des années. Dans ce but, une panique de masse a été délibérément créée, soutenue par de fausses déclarations de faits. Une opération sociale psychologique « psy-ops » a été aussi conçue dont les messages ont été transmis et relayés par le biais des médias corporatifs.
Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccins » qui se sont entre temps révélés n’être ni efficaces, ni sûrs, mais extrêmement dangereux, voire mortels.
Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causé à la population mondiale peuvent être mesurés en quadrillions de dollars.
Cette procédure du Grand Jury sera menée par les avocats susnommés, avec l’aide d’un grand nombre de scientifiques et d’experts hautement respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal.
Ils fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.
L’objectif de l’enquête de la Cour populaire de l’opinion publique est double : d’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations, contre certaines des figures de proue, criminellement et civilement responsables de ces crimes contre l’Humanité. D’autre part, en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique, il s’agit de sensibiliser le public à
- l’effondrement factuel du système actuel, détourné et de ses institutions, et, par conséquent,
- la nécessité pour le peuple lui-même de reprendre sa souveraineté, et
- la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette « plandémie » en refusant de s’y conformer, et
- la nécessité de relancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin que la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions soient rétablis.
La Cour populaire de l’opinion publique fonctionne indépendamment de tout gouvernement et de toute organisation non gouvernementale. Le soutien logistique est assuré par le Comité d’enquête sur le Corona de Berlin : www.corona-ausschuss.de
La première audience du tribunal populaire de l’Opinion Publique s’est tenue le 5 février.
Voici une vidéo qui présente cette première audience :
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2 Réponses à “Des nouvelles du Tribunal de l’Opinion publique”
Honnêtement, l’appellation tribunal populaire a été trop dévoyée au cous de l’histoire pout être sympathique. Sans remonter à la Révolution, les tribunaux populaires de l’Union Soviétique ou le Volksgerichtshof de Freisler, une grande partie des tribunaux d’exception de divers pays se sont réclamés ou se réclament encore du peuple ou populaire. Un autre nom eut été préférable.
Des tribunaux qui ne sont pas « officiellement » valide ?
Si c’est le cas, ca sera du bla bla destiné a faire croire aux gens combien sera proche la fin du macronisme et de macron.
J »ai deja lu des articles de tribunaux sensé juger des hautes personnalités et observé aucun resultat concret a la fin,
si ca se trouve, se sont juste des combines pour faire croire au peuple combien la justice reviendra remettre de l’ordre dans la vie.
Il n’en sera rien,
et en attendant, cela orientera les reseaux sociaux sur de la perte de temps qu aura profité aux progressistes,
puisqu’il qu’il vaut mieux soutenir le meilleur candidat de droite et ses themes.