J’avais lu que l’âge moyen des morts attribuées au covid était supérieur de 2 à 3 ans à l’espérance de vie !
Ce qui veut dire que le covid n’a pas, statistiquement, réduit l’espérance de vie normale des Français !
Les médias assurent une omerta quasi complète sur les effets secondaires des vaccins. Seuls les réseaux sociaux – quand ils ne pratiquent pas, eux-mêmes, la censure – permettent de s’informer sur ces effets.
Plusieurs articles ont été publiés sur la surmortalité associée aux vaccins et observée notamment chez les athlètes de haut niveau et les pilotes de ligne.
Je relaye aujourd’hui un article du site Covid : faits et chiffres, qui se penche sur la surmortalité des jeunes Français (18-24 ans) :
Quelle hausse de mortalité chez les 18-24 ans ?
Devant une commission du Sénat états-unien en janvier 2022, le cardiologue et chercheur Peter McCullough a réaffirmé que les vaccins anti-Covid à ARNm causaient des myocardites (ce qu’admet aussi la FDA, et que l’étude de Witberg et al. menée en Israël avait mis en évidence), en apportant une précision : la tranche de population la plus touchée par les myocardites post-vaccinales serait les hommes de 18 à 24 ans. Un autre intervenant, le Dr Ryan Cole, expliquait que les Etats-Unis n’allouent pas de moyens pour enquêter sur les événements indésirables post-vaccinaux, parce que les autorités partent du principe que les vaccins sont “sûrs et efficaces”.
N’étant pas convaincu que la France mette davantage de moyens pour enquêter, on a cherché à observer si les données françaises indiquent un impact sensible des myocardites sur le nombre de décès chez les hommes de 18 à 24 ans.
Pour ce faire, on a croisé les données de vaccination en France pour la tranche 18-24 ans avec les données de l’INSEE concernant les décès quotidiens, qu’il a fallu traiter informatiquement pour sélectionner et décompter jour par jour les hommes de 18 à 24 ans décédés en 2019, 2020 et 2021.
Le graphique ci-dessous représente sous forme de barres le nombre de décès quotidien des hommes de 18 à 24 ans (les hommes nés entre 1994 et 2000 inclus pour les décès intervenus en 2019, les hommes nés entre 1995 et 2001 inclus pour les décès intervenus en 2020, ou entre 1996 et 2002 pour les décès survenus en 2021), répartis par lieu de décès (HopCli = Hôpital ou Clinique ; HosMar = Hospice, Maison de retraite ou EHPAD ; Logement ; Autre ; ou Non renseigné). Ce nombre est multiplié par 1 000 000 et divisé par le nombre d’hommes de 18 à 24 ans vivants le 1er janvier de chacune des trois années représentées : 2 738 917 au 1er janvier 2019, 2 757 115 au 1er janvier 2020 et 2 790 735 au 1er janvier 2021. Les barres correspondent donc pour chaque jour au taux de mortalité, exprimé en nombre de décès par million.
Une courbe rouge, reprend la moyenne sur 7 jours glissants de la mortalité représentée par les barres : elle indique, de façon moins erratique et tous lieux de décès confondus, la mortalité de la semaine écoulée (divisée par 7).
On a également représenté la moyenne trimestrielle de la mortalité, par une ligne marron.
Enfin, une courbe violette indique le nombre de doses de vaccin injectées à des personnes de 18 à 24 ans, qu’il s’agisse de 1ère dose, de 2ème dose ou de booster (tous genres confondus, car les données de Santé Publique France concernant les vaccins ne permettent pas de distinguer en femmes et hommes pour une tranche d’âges.) On a aussi ramené ce nombre de doses à la population de la tranche d’âge des deux sexes (5 474 811 au 1er janvier 2021), en faisant là aussi la moyenne sur 7 jours glissants. Par exemple, au pic de vaccination, avec environ de 110 000 doses injectées chaque jour, c’est à peu près 2,2 % de la population de 18 à 24 qui recevait une injection chaque jour.
A noter : les données de vaccination indiquées par Santé Publique France peuvent être enregistrées avec quelques jours de retard par rapport aux dates réelles d’injection, et la courbe correspondant aux doses injectées est donc approximative.
Qu’observe-t-on ?
La montée en puissance de la campagne de vaccination est accompagnée d’une hausse de la mortalité.
Les deux courbes atteignant leur pic en même temps. Le pic de mortalité de juillet 2021 correspond à un record sur les 3 années observées.
Dans ce tableau, tiré des mêmes données et résumant la mortalité par trimestre de 2019 à 2021, on constate que le 3ème trimestre 2021 affiche une mortalité record (168,8 décès par million d’hommes de 18 à 24 ans), avec un taux de mortalité de 11 % supérieur à celui du 3ème trimestre 2020 (151,6), et plus de 50 décès supplémentaires.
Par rapport au 3ème trimestre 2019, c’est une hausse de 14 % du taux de mortalité, avec 67 décès supplémentaires. Le 4ème trimestre 2021 affiche lui aussi une mortalité nettement supérieure au 4ème trimestre des années précédentes, en hausse de 14 % par rapport à 2020 ou de 12 % par rapport à 2019 et de l’ordre de 60 décès supplémentaires.
Une hausse du taux de mortalité de 12% a peu de chances d’être due au hasard.
L’article étudie également la surmortalité chez les jeunes femmes qui ne présente pas, curieusement, la même corrélation avec la vaccination.
En conclusion …
Chut ! Alors que le pouvoir maintient en place, contre toute logique scientifique, le pass vaccinal, il ne serait pas politiquement correct d’avancer l’idée que pour « sauver » des octogénaires pour la plupart victimes de comorbidités, on a accepté une surmortalité de 12 % des jeunes de 18 à 24 ans.
Encore une forfaiture dont devront rendre compte un jour les autorités politiques et sanitaires.
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Une réponse à “Covid : pour sauver des octogénaires a t-on sacrifié des jeunes gens âgés entre 18 et 24 ans ?”
Rendre compte ? vous etes serieux ? quand on voit que la democratie part en lambeau, que les droits du peuple a la liberté sont reçu avec les blindées comme réponse, qu’ils tiennent tous les leviers du pouvoir avec une justice corrompu et a leur botte, une armée qui obeira comme la police, vous croyez qu’ils vont reellement rendre des compte au peuple ?
Ils ont déja tués 10 000 retraité avec le rivotril, vous croyez que des etres pareil ont un état d’ame ?
C’est pourquoi ils refusent tout bon sens et retour d’informations les genant, qu’il refuse les produits qui soignent comme l’ivermectine qui marchent dans d’autres pays, croyez vous que ce soit pour notre bien ?
De meme un produit qui ne soigne meme pas les cas grave et prouvé par les faits scientifiques … mais qu’on nous force a recevoir quand d’autre sont sans danger mais qu’ils refusent, toujours pour notre bien ?
Jusqu’a quand accepterons nous d’etre manipuler, tromper ? pourquoi leur donner notre consentement ? tant qu’ils l’ont, ils continuerons…et tant pis pour les consequences sur notre santé dont ils refusent les rapports en continuant a tuer au passage.
Mais pour eux, cela ne compte pas, aucun coeur, aucune humanité.
Pas étonnant puisqu’ils ont fait assassiner 10 000 retraités avec le rivotril…( faits confirmé sur ce blog ) en plus, ils refusent reellement nos droits a la liberté avec ces convois…en recevant avec les blindés…et on doit leur faire confiance ?
Ceci demontre bien que le peuple ne compte pas.
Continuez a leur donner votre consentement, vous verrez dans quelle societé on vivra tres bientot, on sera obligé d’abandonner bien des libertés fondamentale, cela a deja commencé, bien sur pour nous rouler, au nom de la securité, en attendant ils decident ce qu’ils veulent et qu’importe notre liberté de choisir et les rapports contredisant les effets negatif trop nombreux pour un produit incapable de soigner meme les cas grave, confirmer sur ce blog.
Quand a la vie humaine, elle pese bien peu dans la balance gouvernementale, surtout quand on est capable de tuer 10 000 retraité, et sans aucun remord et refuse de changer sa ligne politique sur la santé malgré les rapports negatifs qu’ils refusent de passer aux informations et d’en tenir compte.
Continuez a consentir, « ils » ne ce generont pas pour continuer…vous verrez la societé de demain…