Laurent Fabius : ce qu’il prépare pour flouer le peuple

Imaginons qu’Eric Zemmour ou que Marine Le Pen soit élu, au soir du 24 avril, à la présidence de la République.

Il faudrait pour cela que les Français arrivent à triompher du cordon sanitaire tendu par la gauche et surtout par les médias contre ce qu’ils appellent l’extrême droite.

Je vous l’accorde, cela n’est pas gagné !

Mais si on examine cette hypothèse, on doit considérer que l’une de ces deux personnalités sera arrivée au pouvoir :

par la seule volonté du peuple !

L’élection ne se sera pas faire contre un candidat – comme François Hollande contre Nicolas Sarkozy – ni par la coalition médiatico-judiciaire qui tua François Fillon, mais pour le candidat !

Le candidat ainsi élu par le peuple aura
toute légitimité pour appliquer son programme !

Néanmoins, la bien-pensance fera tout pour s’y opposer !

N’imaginez pas que, comme ils l’ont fait servilement en 2017, les médias vont se ranger derrière le candidat démocratiquement élu.

Ce candidat ne sera pas celui du Système et il trouvera contre lui une puissante coalition :

• La gauche et ses syndicats,
• Les médias,
• L’Etat profond,
• La Justice.

Cette dernière, que certains qualifient de gouvernement des juges, se considèrera alors comme le dernier rempart pour défendre leur conception de la démocratie qui, pour eux, n’a rien à voir avec le pouvoir du peuple !

Le Conseil constitutionnel, dont on a pu mesurer depuis des années la dérive morale pétrie d’idéologie progressiste, sera le premier adversaire à l’application du programme du candidat anti-système arrivé à l’Elysée.

D’ailleurs, Laurent Fabius, président du dit-conseil a déjà annoncé qu’il s’opposerait à toute modification par voie référendaire de la Constitution dans le domaine de l’immigration.

On voit ici toute l’arrogance d’une élite totalement déconnectée des problèmes du peuple et qui n’en a que faire de sa volonté !

Or, la clef de voute de la maitrise de l’immigration, proposée aussi bien par Marine Le Pen que par Eric Zemmour, est l’organisation d’un référendum sur l’immigration qui permettra de s’affranchir des obstacles juridiques français et européens qui s’opposent à cette maitrise.

Le noir dessein du président du conseil constitutionnel est clairement expliqué dans la vidéo suivante :

Et on veut donner des leçons à #Poutine ! https://t.co/sE0e09pz50

— CÉSARELLA (@Twystsky) March 3, 2022

C’est clairement une déclaration de guerre dirigée contre le peuple, un véritable déni de démocratie.

On assistera donc à une bataille de juristes pour savoir si l’article 11 qu’a utilisé le général de Gaulle peut être, ou non, réutilisé par un autre candidat !

Je propose pour ma part la tactique suivante  qui utilise le fait que la volonté explicite du peuple est supérieure aux  décisions des institutions.

Il s’agirait de proposer deux référendums successifs :

Le premier proposerait le texte suivant :

Etes-vous d’accord pour que le président de la République, au nom de l’article 11 de la Constitution, propose un référendum sur la politique d’immigration en France ?

Si la réponse est oui, le Conseil constitutionnel ne pourra plus utiliser ses arguties pour bloquer la politique de maitrise de l’immigration, et le référendum sur l’immigration devra être organisé !

Laurent Fabius ferait bien de réfléchir. Il laisse déjà derrière lui la tâche de son implication dans l’affaire du sang contaminé. Il n’est pas certain que s’opposer à la volonté du peuple suffise à redorer son blason !