Si nous réchappons de la guerre nucléaire que certains nous promettent, un autre danger mortel pour notre civilisation nous guettera durant les prochaines années !
Le progressisme et ses virus les plus purulents que sont le Wokisme et la Cancel culture ont déjà commencé à pervertir nos universités, la Macronie, une bonne partie des médias et même nos écoles.
La déconstruction de la femme et de l’homme « biologiques » fait rage ! Et les premières victimes en sont bien sûr les enfants plus facilement malléables que les adultes.
Une véritable propagande s’en prend à nos enfants pour les pervertir à la théorie du genre.
Si nous ne voulons pas favoriser le développement du progressisme, il est vital de ne pas reconduire à l’Elysée son chantre principal, Emmanuel Macron !
Je relaye aujourd’hui une lettre de SOS Education qui alerte sur ces dangers qui nous menacent :
Chère amie, Cher ami,
Les auteurs Caroline Eliacheff et Céline Masson décryptent l’idéologie d’autodétermination du genre ressenti dans un livre qui vient de paraître : La fabrique de l’enfant-transgenre.
« En effet, aux États-Unis, mais aussi en Europe, les demandes de changement de sexe chez les enfants et surtout les adolescents augmentent depuis plusieurs années. »
La France, préservée pendant quelques années, est touchée par cette déferlante depuis 5 ans, d’une vague dont nous constatons tous qu’elle se répand dans les familles et à l’école à une vitesse vertigineuse.
Force est de constater, comme l’exposent brillamment Caroline Eliacheff et Céline Masson, que « le poids de la culture LGBTQI et l’influence des réseaux sociaux ont donné une visibilité nouvelle au sentiment d’être né dans le ”mauvais corps” ».
Les manifestations de ces influences sont protéiformes. Elles s’étendent de l’enfant d’une dizaine d’années qui rejette son corps qu’il voit changer, aux adolescents qui se persuadent que tous leurs maux n’ont qu’une explication : être né dans le mauvais corps, et une solution : changer de sexe.
Mais cela passe aussi par la conviction d’une majorité de la jeune génération que se distinguer, s’assumer, se revendiquer femme ou homme est une époque révolue …
Une forme inédite de lutte des genres qui s’inscrit dans le déni des deux sexes.
Précisons qu’actuellement dans nos écoles, certains enseignants et intervenants mettent dans la tête des enfants, parfois dès la maternelle, que le sexe n’est pas une fatalité de genre. Que le petit garçon pourra être une petite fille s’il le veut, et que plus tard il pourra changer de sexe. Que c’est possible.
Souvent, des membres nous interpellent. Ils nous disent : « mais c’est un épiphénomène ? »
Si seulement … Si tout cela pouvait n’être qu’une lubie sans importance, une mode passagère…
Sauf que les conséquences sur la santé psychique et physique des enfants et des jeunes, sur leur intégrité même, impactent leurs rapports aux autres et au monde à un moment clé de leur développement. Une décision trop rapide modifiera de manière irréversible la personne qu’ils sont pour le reste de leur vie.
Pouvons-nous rester les bras croisés, et regarder se déliter le socle commun de notre identité de femmes et d’hommes ?
Bien sûr que non, et c’est pourquoi les psychanalystes Caroline Eliacheff et Céline Masson alertent sur les dérives du « transgenrisme » chez les mineurs, dans un livre salutaire.
SOS Éducation est engagé dans ce combat essentiel pour protéger les enfants d’idéologies qui s’attaquent à leur identité profonde en abusant de la malléabilité propre à leur jeune âge, et sans se soucier de leur souffrance véritable.
C’est en dialogue avec d’autres associations, en France et en Suisse, que SOS Éducation parvient à produire et diffuser des informations documentées et rigoureuses, pour sensibiliser et informer le maximum de familles et de personnels de l’éducation sur ce sujet éminemment sensible.
Ensemble, nous partageons une conviction : les meilleures pratiques d’aide et d’accompagnement d’enfants qui se questionnent sur leur identité de genre sont :
- L’écoute bienveillante et l’attente vigilante ;
- L’étude approfondie, par des professionnels rigoureux, de l’origine du sentiment d’incongruence ;
- L’exploration précise des sources émotionnelles et développementales à même d’expliquer le sentiment de souffrance ressenti par l’enfant.
À l’occasion de la sortie de leur livre « La fabrique de l’enfant-transgenre », les auteurs ont accepté notre invitation d’échanger avec vous, parents, enseignants, directeurs et chefs d’établissement, grands-parents… confrontés de près ou de loin à ce phénomène.
SOS Éducation organise cette rencontre exclusive avec Caroline Eliacheff et Céline Masson, en visioconférence le 17 mars à 20h30. Des membres du Comité de l’association Suisse AMQG (Association pour une approche mesurée des questionnements de genre chez les jeunes) y participeront également.
Les deux auteurs répondront à vos questions et vous donneront des pistes pour une approche mesurée des questions de genre chez les mineurs.
Le nombre de places est limité et la visioconférence ne sera pas enregistrée, afin de garantir à tous une parole libre.
Alors, réservez votre place dès maintenant en cliquant ici.
IMPORTANT :
Afin d’être au plus près de vos besoins, nous vous demanderons au moment de l’inscription, à l’aide d’un formulaire, de nous communiquer les questions que vous souhaitez voir aborder afin que les intervenantes puissent organiser le débat autour de vos questions. Les cas individuels ne pourront pas être traités dans le cadre de cette visio-conférence.
Caroline Eliacheff est pédopsychiatre et psychanalyste. Elle est l’auteur de nombreux livres dont Le Temps des victimes, avec Daniel Soulez Larivière (Albin Michel).
Céline Masson est psychanalyste, professeure des Universités au Centre d’histoire des sociétés, des sciences et des conflits (UPJV), auteur notamment de Crise des repères identitaires, race, sexe, genre (dir.), chez Hermann.
Caroline Eliacheff et Céline Masson coordonnent l’Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent – La Petite Sirène.
Ne manquez pas la conférence en ligne Comment protéger les mineurs des dérives du transgenrisme ?
- Où : en ligne sur Internet – un lien Zoom vous sera transmis 3 jours avant l’évènement
- Quand : le jeudi 17 mars 2022
- À quelle heure : de 20 h 30 à 22 h
Cliquez ici ou sur le bouton ci-dessous pour réserver votre place :
Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation
P.S. : Si ce n’est pas déjà fait, pensez à signer et diffuser autour de vous la pétition de SOS Éducation NON à l’idéologie transgenre à l’école !
Rejoignez les 15 000 signataires :
P.P.S : Si vous souhaitez parcourir le livre La fabrique de l’enfant transgenre, rendez-vous sur le site des Éditions de l’Observatoire.
Suivre @ChrisBalboa78
Une réponse à “Protégeons nos enfants de la propagande transgenre !”
Les fous deconstruisent la société mais aussi les gosses, pour le malheur de la population.