Il n’y a que la gauche pour ne pas voir que le droit d’asile a été totalement dévoyé et détourné de son objectif initial par l’immigration maghrébine et sub-saharienne.
Comme le dit Eric Zemmour, le droit d’asile a été inventé pour Victor Hugo et Alexandre Soljenitsyne !
Pas pour l’accueil de centaines de milliers de « réfugiés ».
Il n’est pas politiquement correct de faire remarquer que l’immense majorité des migrants venant d’Afrique sont des hommes et d’oser poser une question dérangeante (pour la gauche) :
Ces hommes quittent leur pays à cause de la guerre
mais y laissent leurs femmes et leurs enfants ?
La crise ukrainienne remet à l’ordre du jour cette question quand on observe les frontières de l’Ukraine où l’on voit les femmes et les enfants fuir en Pologne et les hommes revenir de l’étranger pour défendre leur pays !
Un homme politique, Julien Odoul, n’a pas craint de parler de cette réalité comme nous le rapporte Arnaud Florac dans cet article paru sur Boulevard Voltaire :
Réfugiés ukrainiens et réfugiés maliens :
Julien Odoul voit ce que tout le monde voit … et il le dit !
Invité, jeudi 3 mars, sur Sud Radio, l’élu RN bourguignon Julien Odoul a été interrogé sur la vague de migrations venue d’Ukraine. Vous connaissez par cœur, amis lecteurs, cette phrase de Charles Péguy : « Il faut toujours dire ce que l’on voit, mais surtout, ce qui est plus difficile, il faut toujours voir ce que l’on voit. » Nous avons tous vu les vagues d’hommes seuls, « smartphone à la main », comme dit Stéphane Ravier, qui débarquent en Zodiac™ sur les côtes méditerranéennes surchargées. Nous avons tous lu les faits divers concernant des migrants mineurs isolés, qui ne sont ni mineurs, ni isolés. Nous avons vu les vidéos ou écouté les récits des victimes d’agressions sexuelles, à Cologne ou en Italie. Nous avons lu le coût de leur accueil inconditionnel : CMU, logement, carte de crédit, etc. Nous connaissons tout cela. Pour les Européens crédules, fatigués, suppliant l’Afrique de venir les remplacer, c’était ça, l’immigration.
Or, donc, voici que des colonnes de réfugiés ukrainiens arrivent dans les pays de l’Est. La Pologne, la Hongrie, ces pays de fascistes, si l’on en croit certains à l’Union européenne, les accueillent à bras ouverts : normal, ce sont des Européens. Ces colonnes pacifiques, par ailleurs, sont majoritairement composées de femmes et d’enfants. Les hommes les déposent à la frontière et, après un dernier baiser, repartent pour défendre leur patrie. Cette émotion primale touche dans notre peuple hébété une fibre lointaine, endormie par la postmodernité narcotique : nous nous souvenons vaguement que les femmes et les enfants doivent être protégés, et que les hommes doivent repartir se battre pour leur offrir un avenir. Cela nous « interpelle », comme on dit.
Mais revenons au sujet : qu’a dit Julien Odoul ? Au fond, pas grand-chose. L’évidence, même. « J’ai vu des immigrés ukrainiens en France vouloir repartir courageusement en Ukraine pour se battre, j’aurais aimé voir des immigrés maliens repartir se battre au Mali, à la place de nos fils. »On n’est pas loin de penser la même chose. Tout le monde sait – on le dit beaucoup ici, sur Boulevard Voltaire, moi le premier – que Paris est la deuxième ville malienne après Bamako, en population ; tout le monde voit que les Maliens ne se précipitent pas pour retourner défendre leur pays. C’est le moins que l’on puisse dire. En revanche, pour traiter la France de colonialiste, pour salir la mémoire des soldats qui y sont morts, pour exiger le départ des Français, il y a du monde. L’Ukraine ne nous supplie pas d’intervenir comme le Mali le fit en 2013 ; elle nous demande notre assistance mais elle fait également distribuer des armes à sa population.
Julien Odoul ne pousse pas son raisonnement jusqu’au bout. Il faut que nous donnions à cette jeunesse pleine de promesses l’occasion de vivre une aventure à sa mesure, et de faire du Mali, comme elle l’a fait de la Seine Saint-Denis, selon la merveilleuse formule d’Emmanuel Macron, une nouvelle Californie. Ne les laissons pas se morfondre dans un pays qu’ils détestent. Permettons-leur d’être les héros de la reconquête de leur patrie, puisque nous la quittons précipitamment, à coups de pied au c…
Encore une fois, l’Ukraine n’est pas la Grèce de l’Iliade. C’est notamment, entre autres titres d’une discutable gloire, un supermarché de la GPA. Il n’empêche. Ses citoyens, eux, se battent pour leur terre. On attend encore que les Maliens en âge de se battre y retournent, en effet. On risque d’attendre longtemps. Au fait, pour la millième fois, quel conflit fuient les autres arrivants africains que nous sommes forcés d’accueillir ? Et où sont leurs familles ? On risque d’attendre très longtemps.
Merci à Julien Odoul d’avoir remis les choses dans leur contexte.
Arnaud Florac pour Boulevard Voltaire.
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5 Réponses à “Ukraine, Mali, même combat ? Pas du tout !”
Où est donc la force noire du Général Mangin ?
Les peuples européens ont toujours eu en temps de guerre une priorité, mettre à l’abri les femmes, les enfants. Ensuite, les hommes combattent.
C’est ce à quoi on assiste aujourd’hui, quand ils peuvent sortir du pays, avec l’arrivée des femmes et des enfants ukrainiens accueillis par exemple dans un pays aux mains de l’extrême droite, la Pologne !
C’est toute l’imposture des faux refugiés africains et autres qui devrait s’effondrer comme une évidence, je dis bien qui devrait…C’est bizarre chez tous ceux -là, ce ne sont que des hommes qui affluent. Ce sont donc les femmes et les enfants qui combattent pendant que les hommes courent aux abris dans les pays européens. L’évidence est niée par tous ceux dont c’est le gagne-pain.
CNEWS a cherché le bon réfugié a interviewer en Ukraine!
Ecoutez bien le discours voilà voilà voilà, nous dit l’imposteur plutôt décontracté que sa femme et ses enfants soient à Marioupol!
Le journaleux donne les réponses dans les questions.
https://www.facebook.com/CNEWSofficiel/videos/anou-ukrainien-qui-habite-%C3%A0-marioupol-d%C3%A9crit-une-situation-catastrophique-deux-s/5105308096179197/
Le Hazard sans doute!
Une sacré difference entre les refugiés economique voulu par les mondialistes et les refugiés dû a une vraie guerre.
lien intéressant qui montre l’envers du décors manipulatoire occidental
https://www.lesalonbeige.fr/la-meme-methode-de-terrorisme-et-de-mensonge-que-celle-mise-en-oeuvre-lors-de-la-pseudo-pandemie-de-covid/
Il me semble qu’il est intéressant, en effet de montrer des opinions divergentes de celles qui nous sont matraquées dans les médias occidentaux.
Mais ce qui a fonctionné pour la fausse pandémie covidienne semble fonctionner aussi pour ce conflit