Nous ne voulons pas la suppression de redevance télé.
Nous voulons la peau du sévice public de l’audiovisuel !

Publié par le 10 Mar, 2022 dans Blog | 2 commentaires

Nous ne voulons pas la suppression de redevance télé. Nous voulons la peau du sévice public de l’audiovisuel !

Emmanuel Macron, lors de sa « confrontation » bidon avec un échantillon de Français soigneusement sélectionnés, a proposé la suppression de la redevance télé.

Ce n’est pas ce que nous voulons !

Car, dans ce cas, le financement de l’audiovisuel public (4 milliards d’euros dont 650 millions pour les seules radios) sera alors transféré sur l’impôt sur le revenu.

Ce sera encore la classe moyenne qui trinquera puisque, depuis François Hollande, c’est moins de la moitié des Français qui paye cet impôt !

Ce que nous voulons, c’est la dissolution du service public de propagande audiovisuelle ou du moins la privatisation de sa partie informations (France 2 et France Inter).

C’est la raison pour laquelle je relaye une pétition lancée par Boulevard Voltaire sur ce sujet :

Chère Madame, cher Monsieur,

Le candidat Macron vient d’annoncer qu’il voulait supprimer la redevance audiovisuelle en cas de réélection. Attention au tour de passe-passe budgétaire ! Si la redevance est supprimée, mais qu' »en même temps », les chaînes dites de « service public » sont maintenues en l’état, non seulement vous continuerez à payer pour les financer mais en plus, la plupart des gens n’auront même plus conscience qu’ils sont ponctionnés pour cela, via l’impôt sur le revenu, la TVA ou d’autres prélèvements obligatoires alors que des sommes folles – 4 milliards d’euros – sont englouties chaque année pour permettre à France Télévisions et Radio France de dénigrer vos idées à longueur de journée !

Plus de 29 000 personnes ont déjà signé la pétition lancée par Boulevard Voltaire pour mettre fin à ce scandale. Vous aussi, signez la pétition pour refuser que vos impôts, quels qu’ils soient,  financent l’audiovisuel public :


Et après avoir signé, s’il vous plaît, transférez ce message à vos amis, pour nous aider à réunir un maximum de signatures supplémentaires.
Vous pouvez aussi partager la pétition sur vos réseaux sociaux, pour lui donner encore plus de visibilité : https://mobilisations.boulevard-voltaire.fr/stop-au-financement-par-nos-impots/

Avec votre aide, nous pourrons réunir très vite 50 000 personnes pour dénoncer le privilège insensé conféré à ces chaînes-là, qui continueront à combattre vos idées, à vos frais, tant qu’il ne sera pas mis fin à leur financement public.

Un grand merci pour votre participation !

L’équipe de Boulevard Voltaire‍‍
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Madame, Monsieur,

Voyez l’inexorable dérive de l’audiovisuel public. On est passé, en quelques décennies d’un lieu de culture, garant de la pluralité de l’information et des opinions – on se souvient des émissions « Alain Decaux raconte » sur Antenne 2, « Radioscopie » de Jacques Chancel sur France inter, « Droit de réponse » de Michel Polac sur TF1 avant sa privatisation – à un accaparement des fonds publics pour faire la promotion des idées « progressistes » et dénigrer, bannir, censurer autant que possible tout ce qui n’est pas politiquement correct.

Cet accaparement s’est fait étape par étape, à coup d’interviews impertinentes envers certains et serviles envers d’autres, de feuilletons ultra militants sur les thèmes de société ou, au mieux, neuneu et bien-pensants, de sélection des informations, d’humoristes au ricanement « engagé », etc.
Et aujourd’hui, la dérive est telle, qu’il est illusoire de redresser la barre.

L’audiovisuel public n’a plus aucune raison d’être.

Son financement obligatoire par les impôts de citoyens bafoués, dont les idées sont ouvertement combattues, est devenu aussi illégitime qu’inacceptable. Signez la pétition pour refuser que nos impôts financent l’audiovisuel public :
Sur l’audiovisuel public, c’est la censure politiquement correcte à tous les étages !

Censure des personnalités qui les dérangent :

France Info a ouvertement boycotté Eric Zemmour. Un journaliste politique de la radio l’assumait ouvertement : « Il n’a jamais… Il n’a pas le droit de venir ici !« .


France 3 a refusé un documentaire sur Jeanne d’Arc parce que … la voix off était celle de Charlotte d’Ornellas, une ancienne journaliste de Boulevard Voltaire désormais à Valeurs Actuelles.


Et France Inter, par l’entremise de sa journaliste Sonia Devillers, a carrément dressé une liste d’opposants à réduire au silence, dont, vous vous en doutez … Gabrielle Cluzel, directrice de la rédaction de Boulevard Voltaire.

Dénigrement des idées et mouvements qui les dérangent :

« Beaufs », « chemises brunes », « conspirationnistes », la plupart des reportages du service public, sur les Gilets jaunes, n’ont été que caricature et mépris.
 Pour la mobilisation contre le passe sanitaire, cette fois, ce n’était plus du mépris, mais la négation même du l’ampleur du mouvement : France Info évoquait ainsi « plusieurs milliers de personnes » dans les rues après les manifestations du 17 juillet 2021, quand il y en avait… 114 000 selon la police. Et récidivait la semaine suivante avec la même formule malgré, cette fois, 161 000 manifestants, toujours selon la police !

Censure des informations qui les dérangent :

Un exemple parmi cent, France 2 a été la seule chaîne à ne pas ouvrir son JT de 20 heures sur le meurtre du Père Olivier Maire par un clandestin rwandais. Mais pour faire la promotion des idées « woke », christianophobie, multiculturalisme, LGBT…, l’audiovisuel public est un bon petit soldat :
France Info donnait des conseils pour aller aux manifs de Black Lives Matter conduites par Assa Traoré :  « Vous souhaitez manifester malgré l’interdiction ? Voici quelques conseils pour le faire en toute sécurité. »  !


France Inter a refusé une publicité à l’Œuvre d’Orient, parce qu’elle contenait le mot « chrétien ».
 Le feuilleton « Plus belle la vie » sur France 3 est devenu une vitrine complaisante de la bienpensance wokiste et de la GPA, gestation pour autrui. Et ces derniers mois, les reportages banalisant le phénomène transgenre chez les enfants se sont enchaînés sur France 2 et France 5.

Voilà ce que vous financez avec vos impôts !

Alors, si vous aussi, vous en avez marre de payer pour vous faire « cracher dessus », signez la pétition :
France Télévisions, Radio France: Stop au financement par nos impôts !

Après avoir signé la pétition, nous vous demandons de transférer ce message aussi largement que possible, pour nous aider à réunir des signatures supplémentaires. Il faudra des dizaines et centaines de milliers de signatures pour espérer obtenir la fin de ce privilège insensé de France Télévisions et Radio France : bénéficier d’un financement obligatoire, de 4 milliards d’euros en 2021 soutirés aux citoyens par l’impôt pour… combattre vos idées.

Et plus le nombre de signatures à la pétition sera élevé, plus le désaveu de l’audiovisuel public et de son médiatiquement correct triomphal sera grand. Ce qui sera déjà une première victoire.
Vous verrez également : après avoir signé la pétition, nous vous proposons de soutenir cette initiative par un don du montant de votre choix. Même modeste, un don de votre part sera une aide précieuse. Pour la simple raison que, contrairement à l’audiovisuel public qui vit de votre argent pour combattre vos idées, notre média libre Boulevard Voltaire est financé exclusivement par les dons volontaires de personnes qui ont décidé de combattre le médiatiquement correct qui fait tant de mal à notre pays.

En signant la pétition, en transférant ce message, en soutenant financièrement cette initiative de Boulevard Voltaire, vous apporterez une aide décisive pour réduire la propagande bien-pensante par les médias audiovisuels publics, et pour augmenter la force de frappe des médias au service de la liberté d’expression et d’information.

Alors merci par avance pour toute l’aide que vous pourrez consacrer à ce combat déterminant pour l’avenir de notre pays.

Très cordialement,
L’équipe de Boulevard Voltaire

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2 Réponses à “Nous ne voulons pas la suppression de redevance télé.
Nous voulons la peau du sévice public de l’audiovisuel !”

  1. Petition signée contre les extremistes se servant du service public pour manipuler l’information, comme sur toutes les chaines sauf a certaines heures pour une chaine.

    • Présidentielle. Éric Zemmour et Valérie Pécresse s’affrontent ce soir dans un débat télévisé

      Un débat en deux parties

      À partir de 20 h 20, les deux candidats à la présidentielle vont se mesurer sur le plateau de TF1 et LCI jusqu’à 20 h 45, puis exclusivement sur LCI jusqu’à 21 h 30, pour ce premier face-à-face.

      La première partie, prévue sur TF1 entre 20 h 15 et 20 h 45, sera consacrée à l’Ukraine, puis suivie d’un deuxième volet sur LCI jusqu’à 21 h 30, où seront notamment abordés les sujets régaliens et la question du pouvoir d’achat.

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