Rien n’est plus tabou que le coût de l’immigration !
A gauche, le débat est clos depuis quarante ans :
« L’immigration est une chance pour la France ! »
Point barre ! Circulez, y’a rien à voir !
L’évaluation de ce coût est rendu difficile par un Etat qui, depuis toujours, a tout fait pour cacher le coût de l’immigration en interdisant les statistiques ethniques et en rendant les chiffres associés à l’immigration difficiles à trouver.
Dans cet article, Polemia, le site créé par Jean-Yves Le Gallou, nous présente un livre qui fera date dans l’évaluation du coût de l’immigration :
« Immigration, l’heure des comptes »,
un ouvrage dense sur le coût de l’immigration
André Posokhow, l’un des contributeurs les plus précieux de Polémia, vient de faire paraître un ouvrage aussi dense que nécessaire sur une question sensible : le coût de l’immigration. C’est un sujet qu’il maîtrise parfaitement, mais le calcul global reste complexe à réaliser, tant l’omerta est la règle sur cette question. En voici un commentaire par Jean-Claude Philipot, membre du parti Reconquête.
Avec Immigration : l’heure des comptes, André Posokhow, vient d’écrire une véritable somme sur la place des immigrés dans notre pays en distinguant ceux des pays tiers, de ceux originaires de l’Europe au sens large. Celle-ci dresse un bilan, mais constitue aussi une véritable base de données tant au regard des 14 « annexes introductives » qui sont, selon une terminologie moins déroutante comme des tableaux généraux sur les immigrés dans l’économie française , que des 60 annexes de fin d’ouvrage qui détaillent les approches budgétaires, fiscales, sociales de l’immigration, mais aussi les difficultés méthodologiques rencontrées et les choix retenus dans les 11 « parties » de l’ouvrage découpées en chapitres.
Compte tenu des apports des immigrés et de leurs descendants de première génération et de leur coût, l’auteur chiffre pour 2019 à au moins 193 Md€ le déficit annuel pour l’État et les collectivités territoriales imputable aux immigrés des pays tiers et aux descendants de première génération sur un total de coût de l’ immigration européenne et de pays tiers compris dans une fourchette de 256 à 298 Md€ si on intègre l’estimation du manque à gagner par l’Etat au titre des activités de l’économie informelle (42 Md€ d’impôts sur la consommation non perçus). Notons ici par ailleurs que dans ce décompte l’auteur, par prudence au regard des données accessibles sur la nature de ces activités, n’intègre pas dans le total général l’estimation de ce qu’aurait rapporté à l’État les autres types d’imposition (121 Md€).
L’auteur souligne, d’autre part, qu’au-delà des dépenses publiques l’immigration induit également un appauvrissement des particuliers et des assurances au regard des diverses dégradations matérielles privées, un coût humain et sociétal immense. Il explique les liens entre l’organisation d’un marché parallèle au poids financier très important, supérieur à celui de la plupart des régions, qui a des liens avec l’islam et le terrorisme.
André Posokhow décrit enfin la population immigrée et de première génération sous l’angle de l’emploi en montrant les différences qui existent par rapport à la population autochtone, et démonte le leitmotiv de l’immigré nécessaire pour occuper l’emploi dont un Français « de souche » ne voudrait pas. Il chiffre, enfin, à 2,31 millions la possibilité de réduction du nombre de chômeurs en privilégiant pour l’emploi les chômeurs non immigrés et immigrés européens, et en revoyant chez eux les étrangers sans travail (gain de 73 Md€ soit 58 au titre des prestations de chômage et 15 à celui des prestations sociales).
Jean-Claude Philipot
Pour commander ce livre, rendez-vous ici : https://synthese-editions.com/produit/immigration-lheure-des-comptes/.
Suivre @ChrisBalboa78
Une réponse à “« Immigration, l’heure des comptes »”
Compte tenu des apports des immigrés et de leurs descendants de première génération et de leur coût,
l’auteur chiffre pour 2019 à au moins 193 Md€ le déficit annuel
pour l’État et les collectivités territoriales
imputable aux immigrés
des pays tiers et aux descendants de première génération sur un total de coût de l’ immigration européenne et de pays tiers compris dans une fourchette de 256 à 298 Md€
si on intègre
l’estimation du manque à gagner par l’Etat au titre des activités de l’économie informelle (42 Md€ d’impôts sur la consommation non perçus).
Notons ici par ailleurs que dans ce décompte l’auteur, par prudence au regard des données accessibles sur la nature de ces activités, n’intègre pas dans le total général l’estimation de ce qu’aurait rapporté à l’État les autres types d’imposition (121 Md€).
On est tres loin de la rentabilitée que les immigrés apporterait aux etats,
les seuls qui y trouvent leur compte sont les lobbys, et pas les etats et le peuple.
Comme d’habitude,
les medias ont fait un travail de sape pour cacher ces sommes phenomenales qui coutent aux peuple.
A part sur Cnew ou les infos passent mieux, le soir.