Jamais, durant ma vie d’électeur de droite, je n’ai ressenti avec autant de force ce sentiment d’injustice et d’hostilité.
L’hostilité vient tout d’abord du sommet de l’Etat … de l’Elysée, avec ce sentiment que ce président joue contre la France, contre son identité, contre ses valeurs.
Je haïssais François Mitterrand et je méprisais François Hollande mais s’ils défendaient leurs idées socialistes, je n’avais pas ce sentiment qu’ils jouaient contre la France.
L’hostilité aussi vient d’une presse généraliste gavée de subventions publiques et totalement aux ordres du pouvoir et de la bien-pensance progressiste.
L’hostilité, enfin, je la ressens du côté de la Justice. Cette justice, aveugle aux intérêts des victimes, pétrie de culture de l’excuse pour les délinquants, qui paralyse désormais le pouvoir politique notamment dans sa maîtrise de l’immigration.
Cette justice qui, à son plus haut niveau, du Conseil constitutionnel et du Conseil d’Etat, s’est couchée devant les atteintes incroyables aux libertés individuelles perpétrées par le pouvoir politique durant la crise sanitaire.
Voici un lettre de l’association Santé non censurée qui dénonce le parti-pris des médias :
Chère lectrice, cher lecteur,
Pour les non russophones, il s’agit du journal soviétique la “pravda” qui, vous le savez peut-être, signifie “la vérité”. À l’époque de l’URSS, ce célèbre journal était la publication officielle du Parti communiste et par conséquent, la voix du pouvoir.
Entendez par là propagande, désinformation mais surtout pensée unique.
Pourquoi je vous parle de ça ?
Car depuis l’apparition du coronavirus il y a maintenant plus de 2 ans, j’ai constaté un glissement.
N’avez-vous pas remarqué ? Du jour au lendemain, certains sujets sont subitement devenus interdits.
Désormais, si des voix discordantes se font entendre, notamment sur les questions vaccinales, elles sont systématiquement traînées dans la boue, traitées de “complotistes”…
… signant de fait l’arrêt de mort médiatique et social de celui qui a “dérapé”.
Fût-il scientifique émérite ou médecin reconnu.
La censure n’a jamais été aussi forte !
Vidéos ou articles supprimés, comptes de réseaux sociaux suspendus … les GAFAM, ces géants de l’Internet et des réseaux sociaux, main dans la main avec nos gouvernants, veillent au grain. Leur mot d’ordre ?
Il n’y a qu’une seule vérité, la leur bien sûr. Point à la ligne.
L’an passé, Facebook a même été jusqu’à censurer un article du très sérieux British Medical Journal (BMJ), une des revues médicales les plus lues du monde1. La raison ? Un “fact-checkeur”, en français un vérificateur de faits, en réalité des commissaires de la pensée unique, a décrété que l’article était une fake news…
Voici le titre de l’article censuré par le salarié de Facebook :
Covid-19 : Un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer [2].
Bien sûr, cet article était rigoureusement exact et sourcé. Le BMJ a d’ailleurs aussitôt dénoncé la situation dans un article intitulé « Facebook contre le BMJ : quand le fact-checking tourne mal » [3].
Cette anecdote révèle à quel point des commentateurs, des journalistes ou des politiciens se croyant détenteurs de la vérité en viennent à utiliser des méthodes dignes d’une dictature.
Ce glissement m’inquiète. Quelle sera la prochaine étape ?
Il est urgent d’agir pour retrouver une information éclairée, pondérée, libre et indépendante.
C’est pourquoi, pour en finir avec la censure, les mensonges et les manipulations, je vous ai préparé un dispositif de réinformation accessible jusqu’à dimanche minuit. Cliquez ICI ou sur le bouton ci-dessous pour y accéder.
Oui, je m’affranchis des médias de masse dès aujourd’hui
Prenez soin de vous,
Thibaut Masco de Santé Non Censurée.
Suivre @ChrisBalboa78
4 Réponses à “La Pravda : modèle des médias d’aujourd’hui !”
La prochaine étape est la dictature en y glissant doucement.
En nous reduisant nos liberté par l’excuse de la securité, de meme avec le pass sanitaire et leur droits maintenant a decider pour les maladies que l’etat decidera grave ou pas maintenir l’etat d’urgence avec la privation temporaire de nos droits, a volonté dans l’avenir.
Deja la commission europeenne, denoncé par Florian Philippot, a sortit des lois pour ce preparer a imposer lentement mais surement a une société a la chinoise avec les bons et mauvais points.
On entre lentement dans la dictature, mais il ne faut pas aller trop vite pour ne pas inquieter les français.
Voila l’avenir qui ce prepare et veulent mettre en place.
Et Florian Philipot le denonce dans ses videos.
Le Soviétique de base décryptait les informations importantes de la Pravda. Comme chez nous quand la presse dit qu’une bande de jeunes a commis un méfait ou lorsque le nom de la personne n’est pas mentionné lors d’un crime. Tout le monde comprend, point n’est besoin d’épiloguer.
Cette comparaison Pravda/médias modernes français ne me paraît pas probante si on compare(c’est moi qui compare ) avec RT France, soit disant très pro Poutine.
Car sur RT, on trouve de l’info brute, genre nombre de tués russes, nombre d’ukrainiens tués…
A nous de lire et d’interpréter si l’un ou l’autre gagne.
Exemple d’aujourd’hui :
A l’occasion de la Journée de la Russie, le 12 juin, le Kremlin organise une cérémonie de remise des prix d’Etat de la Fédération de Russie dans les domaines notamment de la science et des arts.
14h31 CET = Dans un communiqué, le ministère russe de la Défense a indiqué ce 12 juin que «des missiles de croisière Kalibr lancés à partir de la mer […] ont détruit près de Tchortkiv un grand entrepôt de systèmes de missiles antichars, de systèmes portatifs de défense aérienne et d’obus fournis au régime de Kiev par les Etats-Unis et les pays européens».
L’armée russe n’a pas précisé quand a eu lieu cette frappe.
Selon les autorités ukrainiennes locales, une frappe sur cette petite ville de l’ouest du pays a fait la veille au soir au moins 22 blessés, dont des civils, et partiellement détruit un site militaire.
«Hier, à 21h46 heures locales, Tchortkiv a été touchée par quatre missiles, tous tirés depuis la mer Noire», a ainsi affirmé le gouverneur régional, Volodymyr Trouch, lors d’une conférence de presse diffusée sur Facebook, précisant qu’«il y avait 22 blessés, tous hospitalisés». Parmi les victimes, «il y a sept femmes et un enfant de 12 ans», selon le gouverneur.
La diplomatie russe n’a, de son côté, pas commenté ces affirmations.
Informations strictes, sans commentaires tendancieux, genre « les pauvres victimes ukrainiennes » ou « les malheureux russophones » ou autres…
Difficile alors d’épiloguer.
Oui, je suis russophile.
J’avoue
Soljenitsyne : « nous savons qu’ils mentent. Ils savent qu’ils mentent. Ils savent que nous savons qu’ils mentent. Nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent. Et, pourtant, ils persistent à mentir. »