Comme une suite logique à mon précédent article sur la décadence de l’Occident, voici une publication parue dans le Club de Valeurs actuelles.
Dans cet article, Cyril de Beketch annonce une bonne nouvelle : le début d’une contre-offensive lancée contre cette plaie mortelle qu’est le wokisme.
Il devient de plus en plus évident que le salut de l’Occident passera par les peuples qui devront s’opposer – éventuellement et malheureusement probablement – à leurs élites corrompues par le droit-de-l-hommisme, le culte des minorités et la haine de l’Occident.
Le wokisme qui gangrène tout est le premier bastion du progressisme à abattre !
Voici l’article de Cyril de Beketch :
Depuis ses origines, il a petit à petit tout contaminé. Néanmoins, si ses domaines de nuisance sont infinis, on observe les premiers assauts contre cette religion du politiquement correct.
C’est au pied d’un arbre, en pleine méditation, que les adeptes du “réveillisme” ont trouvé leur première tête d’affiche en la personne de Bouddha (“l’Éveillé” en sanskrit). Et avec lui, l’idée de la “pleine conscience” dont découle la libération de l’individu. On attendra ensuite 2 400 ans et la sortie du Réveil du Nègre par Booker Washington pour que l’idée de l’émancipation des Noirs par la prise de conscience adopte des allures de manifeste politique. Et l’exercice restera ainsi très concentré autour de l’afro-américanisme jusqu’aux années 2000. C’est d’ailleurs en 2008 que la première utilisation moderne du terme “ woke” apparaît dans un album de la chanteuse de musique soul Erykah Badu. Cependant, contre toute attente, c’est pour s’insurger contre le traitement réservé à des activistes punk en Russie, les Pussy Riot. Voici la genèse (ramassée) quasi officielle du wokisme qui, prenant la suite de la lutte légitime pour les droits civiques des Noirs aux États-Unis, va s’appliquer à identifier toutes les potentielles discriminations que fait peser la majorité sur le champ infini des minorités.
En vérité, cette volonté d’abattre tous les “carcans” de la société au nom de la justice sociale et des libertés trouve son véritable essor dans la culture populaire dès les années 1960. À la télévision, notamment avec des programmes réservés à la jeunesse. Comme dans la série Star Trek où, sous couvert de science-fiction, à partir de 1966, toutes les avancées sociétales, toutes les “expériences” sont proposées et font voler en éclats les tabous de l’époque. Qu’il s’agisse des unions interraciales, de l’homosexualité, de la place de la femme dans la société : tout passe au tamis fin des “libérateurs” de la pop culture télévisuelle.
Pourquoi s’insurger contre ce qui semble n’être que justice ?
Sans doute parce que le wokisme, comme tout mouvement révolutionnaire, ne supporte pas la nuance. Ainsi, “le droit à ne pas être offensé” ne fonctionne qu’avec les minorités, parce qu’elles sont des minorités. Quiconque conteste cette essentialisation doit être détruit. Dans les faits, ce mouvement ne se contente donc pas de réparer les injustices, il en valide d’autres. Par exemple dans les universités, où le simple fait de ne pas s’afficher comme woke – que l’on soit professeur ou étudiant – provoque des phénomènes de harcèlement. À l’image de ce qu’a vécu Peter Boghossian, un professeur de philosophie, poussé à la démission de l’université de Portland dans l’Oregon pour avoir notamment interrogé le bien-fondé des safe spaces , ces “espaces sécurisés” et “non oppressifs” d’où est banni tout ce qui peut être considéré comme offensant, blessant ou hostile par la minorité qui s’y réfugie. Et en fin de compte, des espaces d’exclusion de tout ce qui ne pense pas “comme il faut”.
C’est encore dans les universités que le wokisme a engendré l’un de ses plus vils avatars : la cancel culture . Cette “culture de l’annulation” qui vise à effacer toute trace ou toute forme d’héritage d’un personnage incompatible avec les canons du “réveillisme”. Ainsi de romanciers, comme J. K. Rowling, la mère de Harry Potter, accusée de transphobie pour avoir préféré le terme de “femmes” à l’expression woke « personnes qui menstruent ». Mais aussi de personnages de dessins animés devenus indésirables au catalogue de Disney parce qu’ils « véhiculent des stéréotypes racistes ou sexistes ». Ou encore de héros de jadis qui feraient naître des phantasmes de transcendance ou de masculinité toxique. Ou enfin de figures de la nation, comme outre-Atlantique où les statues de Lincoln et Theodore Roosevelt subissent les assauts de manifestants contre le racisme envers les Amérindiens. Idem en France avec les statues de Colbert “l’esclavagiste” ou de Voltaire “l’homophobe, sexiste et antisémite”, dont la statue maculée de peinture rouge au nom de la tolérance a fini par être exfiltrée il y a deux ans du square Honoré-Champion, dans le VIe arrondissement de Paris, où elle trônait depuis 1962. À l’indignation d’Hélène Carrère d’Encausse, secrétaire perpétuel de l’Académie française, la Mairie a répondu que c’était pour lui trouver un emplacement plus propice à sa protection. Dans un des sous-sols de la municipalité sans doute, juste à côté des poubelles de l’histoire.
Mais, entendons-nous bien, les serviteurs de la cause woke, qu’ils le soient par conviction ou par lâcheté, répondent toujours à des “attentes”. Pour “réparer”, pour éteindre des “polémiques”. Ou tout simplement pour devancer les caprices de groupes de pression ultra-minoritaires mais toujours plus audacieux dans leurs exigences. On pense bien sûr à la féminisation des noms de métier, à l’écriture inclusive ou au stupide “celles-et-ceux”… On pense aussi aux délires écolos et à Pierre Hurmic, le maire de Bordeaux, mettant fin à la tradition du sapin de Noël dans sa ville au douloureux motif que c’est « un arbre mort » . Ou à la surenchère féministe du maire de Rouen qui souhaitait substituer à la statue de Napoléon celle de Gisèle Halimi. Ici encore, il s’agit de remplacer une civilisation par une autre.
Mais on pense surtout à tous ces renoncements à ce qui fait notre civilisation, toutes ces attaques contre les usages du quotidien. À commencer par la très orwellienne censure du vocabulaire. Comme avec le mot “race”, banni de notre Constitution en 2018. Dans la même idée, un an plus tôt, le ministère du Travail et le secrétariat d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes publiaient un guide à destination des TPE-PME, les invitant à adopter
un « langage sans stéréotypes », expurgé des « expressions sexistes telles que : chef de famille, mademoiselle, nom de jeune fille, nom d’épouse ou d’époux, nom patronymique, etc. Ces expressions sont bannies du droit français. Monsieur et Madame suffisent ».
Ça, c’était avant que l’administration fiscale ne s’en mêle ! Le 6 juillet, une note interne de la Direction générale des finances publiques (DGFIP), révélée par le Figaro, recommandait à ses agents de ne plus utiliser “madame” ou “monsieur” et de se contenter d’un simple “bonjour” afin de favoriser « une meilleure prise en compte des évolutions de l’identité de genre ». Mais chasser les mots pour en finir avec les maux, ce n’est pas assez.
Les délires du wokisme n’ont pas de limite. Ainsi, on découvrait il y a quelques jours que certains demandent désormais aux anthropologues de ne plus identifier les restes humains comme “masculins” ou “féminins” au motif que cela revient à ignorer l’éventuelle transition de ceux dont on retrouve les ossements.
Le “privilège blanc” : “un ensemble invisible d’avantages non mérités
On le voit, les oppressés sont nombreux. À vrai dire, comme avec Black Lives Matter qui ne pouvait tolérer l’idée du “all lives matter”, le seul à ne pas mériter l’étiquette d’oppressé, c’est celui qui jouit du “privilège blanc”. Le privilégié est blanc, donc. Pas éveillé du tout puisqu’il n’a pas conscience d’être privilégié dans une société où le racisme est forcément systémique et dans laquelle il profite d’ « un ensemble invisible d’avantages non mérités ». Il faut bien comprendre l’état d’esprit du woke : pendant des siècles, l’Occident a été habité par des Blancs, la cité gérée par des hommes et les mœurs globalement hétérosexuelles. Peu importent les histoires individuelles, ce sont donc ces normes qu’il faut abattre pour faire advenir le monde nouveau.
Le concept pénètre les esprits, bien au-delà de ceux qui revendiquent le wokisme. Ainsi, à une journaliste de l’Express qui lui demandait si être un homme blanc de moins de 50 ans constituait un privilège, Emmanuel Macron répondit : « C’est un fait. Dans notre société, être un homme blanc crée des conditions objectives plus faciles pour accéder à la fonction qui est la mienne, pour avoir un logement, pour trouver un emploi, qu’être un homme asiatique, noir ou maghrébin, ou une femme asiatique, noire ou maghrébine. » Une réponse qui aura sans doute ravi les principaux dénonciateurs du “racisme systémique” à la française : les “indigénistes”, jamais avares quant à eux de saillies borderline . On se souviendra que la porte-parole des Indigènes de la République, Houria Bouteldja, voulait « inculquer l’histoire de l’esclavage » aux « “souchiens”, puisqu’il faut bien leur donner un nom – les Blancs ».
Mais les oppresseurs ne sont pas uniquement responsables de leurs “privilèges” invisibles. Ils sont aussi fondamentalement mauvais. Comment analyser autrement le fait qu’ils se satisfassent de vivre dans une société patriarcale coupable d’alimenter la “culture du viol” ?
Cet autre concept américain nous emmène loin. Sandrine Rousseau affirme par exemple qu’il devrait suffire qu’une femme se sente agressée pour que l’homme souffre d’une présomption de culpabilité. On se souviendra à ce sujet du témoignage de la chanteuse Line Renaud à propos d’Alfred Hitchcock : « J’aurais peut-être pu être victime si j’étais restée aux États-Unis […]. J’ai très bien compris dans son regard que si j’avais continué à le voir et en privé, j’aurais peut-être… Ça se comprenait dans la conversation, la façon dont il s’appuyait sur la cheminée… » Victime, parce que victime potentielle, donc.
En somme, la règle, c’est que toute personne n’appartenant pas à la grande famille des opprimés devient par essence suspecte, tout comme son travail. Raison pour laquelle les maisons d’édition, mais aussi tous les fournisseurs de contenus culturels pour les différents supports, comme le cinéma ou les séries télévisées, se dotent désormais de sensitivity readers, littéralement des “lecteurs de sensibilité”, qui ont pour mission d’identifier les contenus susceptibles d’être offensants pour les minorités, puis de proposer des réécritures.
“Une bonne bouse pseudo inclusive”
Au vrai, le wokisme est moins un outil de dénonciation des discriminations qu’une maladie. Comme un chancre, il s’est étendu à toutes les branches de l’arbre torturé du gauchisme. Et si l’on peut reconnaître une forme de bonne foi à ce dernier, le wokisme qui s’en nourrit finit par le tuer. Confer l’hémorragie d’abonnements chez Netflix dont la clientèle n’en peut plus du bourrage de crâne idéologique auquel s’adonne la plate-forme. Plus aucune production estampillée Netflix n’échappe aux codes de la propagande woke . La dernière en date, Resident Evil , enregistre même des notes inédites et catastrophiques sur les sites de fans dont les commentaires fleurent bon la saturation, comme ici, parmi tant d’autres de la même eau sur AlloCiné : « Une bonne bouse pseudo inclusive et bien-pensante, ça dégouline ça devient insupportable… ».
Mais ce coup de semonce sur les abonnements n’est pas le seul qui inquiète la sphère woke . En effet, sous la pression de ses employés, Bob Chapek, le patron de Disney, a pris position contre la loi sur la protection des droits des parents, qui interdit de parler d’homosexualité dans les écoles primaires de Floride. Et les mesures de rétorsion ne se sont pas fait attendre. Le gouverneur de l’État, Ron DeSantis, a déclaré : « Vous êtes une entreprise avec un siège à Burbank, en Californie, et vous déployez votre pouvoir économique pour attaquer les parents de mon État. Nous considérons cela comme une provocation et nous allons nous battre contre cela », avant de signer le 22 avril dernier une loi, qui entrera en vigueur en juin 2023, retirant au géant du divertissement son statut spécial.
En 1991, le sociologue américain James Davison Hunter écrivait dans Culture Wars, The Struggle to Define America, “Guerres culturelles, la lutte pour définir l’Amérique” :
L’Amérique est en pleine guerre culturelle […] La fin à laquelle tendent ces hostilités est la domination d’un ethos culturel et moral sur l’autre.
Dans cet affrontement désormais mondial entre conservateurs et progressistes, la Floride vient de prouver que la guerre n’était pas perdue.
Cyril de Beketch pour le Club de Valeurs actuelles.
Pour terminer, voici un petit micro-trottoir en vidéo qui illustre parfaitement la dérive wokiste et plus particulièrement l’appropriation culturelle dont sont accusés les Blancs.
Notez bien, dans cette vidéo, qui est wokiste et qui ne l’est pas …
On en conclut qu’il y a urgence à combattre le wokisme quand on voit tous ces jeunes blancs déjà pervertis par cette idéologie !
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5 Réponses à “La guerre contre le wokisme a commencé”
Face à la tyrannie woke, nous devons reprendre le contrôle de notre pays
Michel Houellebecq nous raconte l’histoire de la France de la seconde moitié du XXème siècle. Il s’agit d’un homme, qui vécut la plus grande partie de sa vie en Europe occidentale, durant la seconde moitié du XXème siècle. Généralement seul, il vécut en des temps malheureux et troublés. Le pays qui lui avait donné naissance basculait lentement, mais inéluctablement, dans la misère économique de la macronnie.
La France ruinée par la macronnie est devenue un pays pauvre. Fréquemment guettés par la misère, les Français passent leur vie dans la solitude et l’amertume. Les sentiments d’amour, de tendresse et de fraternité humaine ont disparu. Dans leurs rapports mutuels les Français de papier faisaient le plus souvent preuve d’indifférence et de cruauté. Avant sa disparition du second tour de la présidentielle, Éric Zemmour était unanimement considéré comme un journaliste polémiste de tout premier plan, et on pensait à lui pour la présidence de la république. Mais sa véritable importance idéologique ne devrait apparaître que plus tard.
À l’époque où Éric Zemmour se lança dans la campagne présidentielle, on considérait le plus souvent la politique comme dénuée de toute importance pratique, voire d’objet. En réalité, la vision idéologique de gauche la plus couramment adoptée par les élites d’une société détermine son économie, sa politique et ses mœurs. Les mutations idéologiques, c’est-à-dire les transformations radicales de la vision du monde adoptée par le plus grand nombre, sont rares dans l’histoire de l’humanité. On peut citer l’apparition du christianisme.
Dès lors qu’une mutation idéologique s’est produite, elle se développe sans rencontrer de résistance jusqu’à ses conséquences ultimes. Comme le marxisme, elle balaie les systèmes économiques et politiques, les jugements et les hiérarchies sociales. Aucune force humaine ne peut interrompre son cours, aucune autre force que l’apparition d’une nouvelle mutation idéologique. Si on ne peut surtout pas dire que les mutations idéologiques s’attaquent aux sociétés affaiblies, l’idéologie Woke s’attaque aux sociétés déjà sur le déclin.
Lorsque le christianisme apparut, l’Empire romain était au faîte de sa puissance. Il était suprêmement organisé, il dominait l’univers connu. Sa supériorité technique et militaire était sans analogue, mais il n’avait aucune chance. Lorsque la science moderne apparut, le christianisme médiéval constituait un système complet de compréhension de l’homme et de l’univers, il servait de base au gouvernement des peuples.
Il produisait des connaissances et des œuvres, il décidait de la paix comme de la guerre, il organisait la production et la répartition des richesses. Mais rien de tout cela ne devait l’empêcher de s’effondrer.
Le wokisme ne fut ni le premier, ni le principal artisan de cette troisième mutation idéologique, à bien des égards la plus radicale, qui devait ouvrir une période nouvelle dans l’histoire du déclin du monde chrétien.
Nous vivons aujourd’hui sous un tout nouveau règne, le wokisme et le déclin du monde chrétien. Ce que les hommes d’autrefois ont parfois pressenti au travers de leurs poètes, nous le vivons chaque jour dans la réalité pratique. Ce qui était pour eux du domaine de l’absurdité absolue, nous le considérons comme une simple mutation idéologique et une tyrannie progressiste woke trans-LGBT malheureusement trop connue. Nous savons que les woke portent en eux la haine et la peur, lorsqu’ils se heurtent à la critique raisonnable.
Mais ils n’auraient même pas pu exister sans le déclin préalable du monde chrétien. Aujourd’hui, avec la tyrannie progressiste woke trans-LGBT, nous pouvons vivre l’histoire de la fin de l’ancien monde.
Source : Michel Houellebecq, Les particules élémentaires
Qu’enfin le passé s’engloutisse !
Qu’un genre humain transfiguré
Sous le ciel clair de la Justice
Mûrisse avec l’épi doré !
C’est un couplet de l’Internationale. Le communisme ayant échoué, il fallait trouver autre chose, le wokisme fait l’affaire.
Le nombre de cons est effarant, et c’est ca qui constitue le vokisme.
On notera l’habituelle tactique des goches, manipuler les jeunes pour un soi disant monde meilleurs, quels couillons !
Meme macron est tombé dans le panneau a moins qu’il soit pervers,
avouer ce qu’il raconte c’est avouer qu’il deteste la majorité des francais, mais il n’est pas une une imbecilitée pres ou perversitée pres…
le wokisme sous un pretexte humanitaire pour embrigader le maximum de personne et ne servir que les minorités toujours au detriment de la majorité, curieuse façon de concevoir l’humanitaire, n’est en realité rien d’autre qu’un moyen de destruction de nos sociétés part diverses ideologies par une categorie de personnes haineuses n’hesitant pas a aller jusqu’a l’extreme, la destruction et la degenérénce absolue de la morale, ruiner les fondements de la societé et amener le chaos total et la guerre civile a une échelle planetaire si ce mal allait jusqu’au bout et n’etait arreter par les peuples prennant conscience de ces dangers.
C’est au font agir contre l’interet fondamental de l’humanité, seul des etres denués de consciences morale et humaine peuvent agir ainsi, car le but est la destruction de ce qui fait le ciment de nos sociétés en creant division sur division et de paralyser de plus en plus l’action bienfaitrice des peuples.
On peut constater qu’il y a des conquerants, agissant sur le terrain par des moyens brutaux, ce que l’histoire connait bien, mais il y a aussi un autre genre de conquerant agissant plus subtilement, aux moyens de l’ideologie pour saper nos sociétés, les affaiblir, amener le chaos pour etre remplacer par une autre forme de socité, mais a quel prix et combien de sang versé, car il est certain que ceci ne ce fait pas a l’aveugle et n’est pas un simple hasard, et a été préparé, car la cible, la société, est toujours dans la continuité de leurs actions ou son affaiblissement est le but, et il n’y a aucun doute quand a sa finalité, la destruction.
C’est pourquoi ce genre d’individu est en realité particulierement dangeureux.
Tout ceci repond comme par hasard a la volonté de la franc maçonnerie, et les politiciens et députés sont dans l’ensemble largement FM, de meme macron, c’est pourquoi, toutes ses attaques portées contre notre société ne sont jamais combattu, ni relevé, ils ne vont pas ce combattrent entre eux.
Voila la realité telle qu’elle est.
Pour les cons, c’est bien l’etat qui a tout fait pour cretiniser les enfants, un livre meme la denoncé : La fabrique du cretin, vers 1990, on voit que c’etait deja preparer a l’avance comme l’indiquait le plan FM, cela permet après de sortir nombres d’ideologies aux consequences destructrices mais embellies d’abord par de l’humanitaire.
Voila d’ou viennent nos ennemis cachés, la FM, c’est d’elle que nous avons ces ideologies nauseabondes et la bien pensance pour paralyser les peuples et font fit de la liberté d’expression pourtant inscrit dans la constitution.