« Les conseilleurs ne sont pas les payeurs ! »
Et c’est bien dommage !
Pourquoi ne pas facturer à certains juges les dommages engendrés par les délinquants qu’ils laissent en liberté ou qu’ils libèrent avant la fin de leur peine ?
Pourquoi ne pas facturer aux législateurs qui ont autorisé les squatteurs à rester dans un logement après 48 heures d’occupation, le coût du relogement des propriétaires ?
Pourquoi ne pas facturer aux associations écologistes les conséquences de leurs actes ?
On pourrait facturer à EELV et au PS (merci Martine Aubry) les conséquences de leur accord électoral scélérat ayant entraîné la fermeture imbécile de la centrale de Fessenheim ! Les deux partis pourraient ainsi dédommager EDF pour l’électricité qu’elle est obligée désormais d’acheter à l’étranger à prix d’or !
Sur le plan local, les dégâts entrainés par les associations écologiques sont abyssaux ! On ne compte pas les retards ou les annulations de chantiers pour des causes improbables comme la gêne occasionnée à des crapauds ou des musaraignes !
Un autre exemple vient de défrayer la chronique sans l’Ariège à propos des dégâts provoqués par les ours dans les troupeaux.
Le site Terres-Ariege.fr nous dévoile toute l’histoire :
A la demande des éleveurs, la préfète de l’Ariège, Sylvie Feucher, avait pris un arrêté autorisant l’effarouchement simple ou par tirs non létaux des ours bruns dans l’estime du groupement pastoral d’Ustou (Con d’Estocs), pour prévenir les dommages aux troupeaux.
L’association One Voice, qui « défend une éthique animale et planétaire » a saisi le tribunal en référé pour suspendre en urgence les autorisations d’effarouchement de l’estive d’Ustou Col d’Escots mais également celles de six autres groupements pastoraux. Par la même occasion, elle a attaqué l’arrêté national signé par les ministères de l’Agriculture et de la souveraineté alimentaire et de la Transition écologique autorisant les préfets à publier ce type d’arrêté.
En un temps record, le tribunal s’est saisi de cette affaire pour juger de son urgence. La requête de l’association a été reçue le 8 juillet par le tribunal qui, déjà, le 27 juillet tenait une audience. N’y a-t-il pas d’autres affaires à traiter qui requièrent l’attention des juges ? Des femmes en danger ? Des meurtres ? Non, cette été la justice a fait le choix de l’ours plutôt que de l’Homme.
Pendant près d’une heure et demie, trois représentants de l’État ont fait face à Hélène Thouy, avocate de One Voice, accessoirement cofondatrice et coprésidente du parti animaliste, pour défendre l’arrêté de Sylvie Feucher initialement pris en faveur des exploitants ariégeois.
Premiers concernés, aucun professionnel n’a été appelé à la barre pour témoigner, qu’il soit éleveur ou berger.
Après huit jours de réflexion, le tribunal a rendu sa décision dans un document de 11 pages ainsi que par le biais d’un communiqué de presse publié sur son site internet : l’arrêté concernant l’effarouchement sur l’estive d’Ustou Col d’Escots est suspendu en raison des doutes sur sa légalité mais également de la perturbation intentionnelle d’une espèce protégée non justifiée.
La vidéo suivante rapporte la réaction des éleveurs :
Pourquoi ne pas facturer à l’association One Voice, les coûts d’indemnisation des éleveurs à chaque bête tuée par un ours ou bientôt par un loup ?
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Une réponse à “Et si on faisait payer les écolos …”
Exellente idée,
de meme faire payer les degats fait par les squatteurs, les racailles, par les juges.