Le collectif Reinfo Covid se présente ainsi sur son site web:
Aujourd’hui, la politique de Santé publique française présente des signes de défaillance sévère :
– désorientation des instances officielles,
– comportement irrationnel,
– bouffées anxieuses,
– agressivité et décisions toxiques pour le pays …
Quel est ce mal dont souffre la France, et qui compromet l’équilibre de notre « vivre ensemble », et surtout quel remède lui opposer ?
Car tout mal a son remède.
Nous, soignants, médecins, chercheurs, universitaires, avons créé un collectif pour aller à la rencontre de nos concitoyens, et leur proposer des outils pour questionner, comprendre, sortir de la peur et agir ensemble.
Le pronostic vital de notre Démocratie est engagé …
Depuis quelques jours, le collectif Reinfo Covid a passé la vitesse supérieure en lançant une campagne d’affichage massive dans les rues de Toulouse.
Cette campagne a évidemment fait réagir les autorités devant cette rupture de l’omerta totale des médias sur les effets secondaires des vaccins.
Je relaye la Lettre Alternatif Bien-être de Rodolphe Bacquet qui défend cette initiative de Reinfo Covid en y ajoutant d’autres statistiques :
La saison de la chasse aux sorcières est ouverte
Chers amis,
Depuis fin juillet, la présence de ce panneau sur des emplacements d’affichage publicitaire toulousains fait l’objet d’un feuilleton tragi-comique :
Son affichage public a scandalisé les cerbères de la politique sanitaire officielle du pays :
- Les médecins acquis à la politique vaccinale se sont émus de « désinformation » ;
- Le panneau a immédiatement été tamponné « fake news » par le ministère de la santé ;
- Divers officiels ont demandé à la préfecture de retirer ces affiches …
- … mais comme elles figurent sur des panneaux privés et ne constituent pas un trouble à l’ordre public, c’est le ministère de l’intérieur qui entend les interdire [1]!
C’est à peine si les affiches décollées ne vont pas être brûlées sur la place du capitole !
Ces réactions disproportionnées sont éloquentes.
Elles en disent long sur l’impossibilité d’un débat serein sur cette politique vaccinale anti-covid dans notre pays, et sur l’état de :
- La liberté d’information: la phrase « 1 accident cardiovasculaire pour 100 injections » est une information d’autant plus facilement vérifiable que la source statistique est indiquée sur le panneau même,
- La liberté d’expression: « la santé de nos enfants vaut plus que des vaccins expérimentaux » relève de l’opinion.
Je parle de réactions disproportionnées car, dans le fond comme dans la forme, ce panneau, qui émane du collectif Ré-info Covid et du conseil scientifique indépendant, ne méritait pas autant de haine.
Le fond : une interprétation « soft » de chiffres dramatiques
La source indiquée sur le panneau est la base de données européenne des rapports d’effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation de médicaments.
J’ai moi-même recours régulièrement à cette base de données : elle est aride à lire, et son interprétation est nécessairement subjective car il est mentionné que les effets secondaires relevés sont suspectés seulement d’être liés à l’administration du médicament.
Mais les valeurs indiquées nous disent déjà quelque chose : pour le seul produit de Pfizer, plus d’un million d’effets secondaires ont déjà été détectés au 20 août[2] :
A partir de ce chiffre, vous pouvez voir le verre à moitié plein, ou à moitié vide.
Les défenseurs de la politique vaccinale soutiendront que ces chiffres sont seulement indicatifs, et que le lien avec l’injection n’est pas prouvé.
Les critiques de la politique vaccinale – dont je fais partie – relèveront que ces chiffres ne constituent au contraire qu’une partie de la somme totale des effets secondaires, la majorité d’entre eux n’ayant pas été remontés soit par les patients eux-mêmes, soit par leur médecin ou leur hôpital.
Une façon de débrouiller les choses, c’est de comparer ces taux à ceux de vaccins « classiques ».
Voici le résultat :
C’est la somme de tous les cas rapportés de myocardites ou péricardites suite à une injection vaccinale – tous produits confondus – depuis 2004.
La hausse de ces rapports depuis l’introduction des vaccins anti-Covid – et en particulier du Pfizer – n’est pas seulement édifiante : elle est accablante.
Mais dans ce domaine, nous avons une autre source, française cette fois : le rapport du « suivi des effets indésirables des vaccins covid-19 » de l’ANSM.
Ce rapport est régulièrement actualisé. La dernière mise à jour date du 1er août et couvre la période du 17 juin au 21 juillet, et le rapport est public, disponible à l’adresse en source [3].
Je reste sur le Pfizer car, sur près de 150 millions d’injections, plus de 115 millions ont été effectuées avec Pfizer.
Or, que montre ce rapport ? Sur ces 115 millions d’injections, au moins 113 000 cas d’effets secondaires ont effectivement été déclarés.
Les « signaux confirmés » sont l’hypertension artérielle, la myocardite et la péricardite – et un quart de ces cas, oui, UN QUART, sont des cas GRAVES :
Autrement dit, en parlant d’1 cas sur 100, le collectif Ré-info Covid et le conseil scientifique indépendant ont en réalité été prudents et conservateurs : la réalité est, malheureusement et selon toute vraisemblance, plus grave.
Le problème est qu’elle n’est pas traçable autrement que via les collectifs de victimes de ces effets secondaires qui sont en train de se constituer, à l’image de « Où est mon cycle ? [4] »
Effets cardiovasculaires : l’arbre qui cache la forêt
Car la radicalité des réactions des pouvoirs publics est à mes yeux d’autant plus violente, et incompréhensible, que ce panneau reste silencieux sur la nature et la proportion d’autres effets secondaires, sur certaines catégories de la population.
Je vous parlais de « Où est mon cycle » : des centaines de femmes ont alerté sur le dérèglement total de leur cycle menstruel. Soit elles n’ont plus de règles du tout, soit leurs règles sont anormalement longues et hémorragiques. Des femmes ménopausées ont également connu un retour des règles.
La diffusion de ces témoignages a été au mieux taxée par les pouvoirs publics d’exagération, au pire d’antivax (le mot magique pour clore le débat avant qu’il ne commence, vous le savez).
Or en juillet dernier une étude de l’université de médecine de Washington, menée sur 40 000 femmes au schéma vaccinal complet, a révélé que 42 % d’entre elles avaient connu un dérèglement significatif de leur cycle [5].
Soit 4 femmes sur 10. C’est considérable.
Sur ce même sujet, je vous incite à écouter le récit d’une hôtesse de l’air qui a récemment témoigné au parlement européen.
La vidéo dure 7 minutes, elle est édifiante, et bouleversante (lien en source [6]).
Et puis, il y a toutes les « autres » maladies, plus rares… mais dont l’incidence a littéralement explosé depuis la vaccination anti-covid, dont Creutzfeldt-Jakob, également connue comme la « maladie de la vache folle ».
Voici, sur le modèle du graphique que j’ai partagé avec vous plus haut, tous les cas de Creutzfeldt-Jakob déclarés à la suite d’une injection vaccinale, depuis 2007 :
Une fois de plus, ces chiffres sont ceux de la base de données européenne des rapports d’effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation de médicaments.
Vous pouvez toujours vous montrer prudent, et dire que le lien de cause à effet n’est pas prouvé… mais mon avis est qu’à un moment, devant des proportions aussi écrasantes, il vaut mieux avoir le courage de voir le problème en face plutôt que de pourchasser et punir celles et ceux qui veulent alerter les citoyens sur les risques sanitaires associés à ces injections !
Mais, en France – en Europe – nous sommes encore loin d’une telle démarche : les gardiens de la doxa sanitaire pratiquent non seulement l’omerta, mais la censure.
L’inquisition médicale en pleine forme
En toute honnêteté, je ne pensais pas que le gouvernement irait jusqu’à interdire ces affiches toulousaines.
Pour deux raisons :
La première, c’est celle que je vous ai exposée au cours des lignes précédentes : ces affiches exploitent une donnée statistique établie, et exprime une opinion. Elles n’ont donc rien de délictuel.
La seconde, c’est qu’en prenant des mesures aussi spectaculaires pour censurer ces panneaux, l’État leur donne une visibilité sans équivalent !
Je me trouvais moi-même à Toulouse il y a trois semaines, et je n’avais pas vu ces affiches.
En revanche je les ai vues fleurir sur les sites d’information et mes réseaux sociaux dès qu’il s’est agi de les interdire !
Cette censure est donc non seulement complètement disproportionnée, mais absolument idiote : cette campagne d’alerte a en fin de compte rayonné bien au-delà de Toulouse !
Mais cette censure stratégique décrétée par les technocrates de génie qui nous gouvernent a, hélas, une signification plus sombre :
c’est la monopolisation par l’État des outils de communication au service d’une seule politique, d’une seule idéologie.
Car, en termes de fake news et de désinformation, le ministère de la santé, l’Ordre des médecins et les industriels intéressés (Pfizer, AstraZeneca, etc.) nous en ont fait de belles, au cours de ces deux dernières années.
Le seul slogan « Tous vaccinés, tous protégés » est passible du chef d’accusation de mensonge d’état vus les résultats catastrophiques en termes de protection effective !
La conclusion est glaçante : cette affaire des panneaux toulousains nous prouve que l’État, non content de mener une propagande éhontée afin d’injecter massivement un produit expérimental, étouffe toute expression publique d’alerte des dangers associés à ce même produit, chiffres à l’appui.
Nous sommes, réellement, non seulement dans l’exercice d’un pouvoir absolu ne souffrant pas la moindre contradiction publique, mais aussi dans le registre de la religion, puisqu’il est par principeinterdit de blasphémer la sainte parole médico-pharmaceutique !
C’est l’inquisition, ni plus ni moins.
Intolérance
Cette désarmante rétractation de la liberté d’information et d’expression dans notre pays dépasse la seule question des injections anticovid : elle s’est encore illustrée cette semaine avec le « scandale » de doctolib.
Un médecin médiatique s’est en effet ému que l’on puisse, sur doctolib, prendre rendez-vous avec des praticiens de « médecines non reconnues », comme les naturopathes [7].
Argument du médecin : « Je découvre en tapant par hasard que (Doctolib) proposent des consultations … de naturopathie. C’est comme si blablacar avait ouvert une rubrique Emile Louis. Vous voulez exterminer les gens ? Vous vous rendez compte que votre sceau les valide ? »
Outre le caractère insultant de ces propos, ce qui est inquiétant, c’est la prompte réaction de la Confédération des Syndicats médicaux français, qui invite le ministère de la santé à sévir en interdisant ces outrages à la pensée médicale unique et pourchasser leurs auteurs [8]…
Là, nous ne sommes plus seulement dans l’exercice de l’inquisition, mais dans la chasse aux sorcières : les naturopathes ont carrément été accusés d’être dans une dérive sectaire !
Cette dérive-là est bien française, elle n’a cours dans aucun pays voisin, où la naturopathie est une approche thérapeutique complémentaire reconnue et remboursée, comme en Allemagne et en Suisse.
La réaction la plus juste à cette écœurante opération armée par l’intolérance médicale et scientifique qui s’enracine en France, nous la devons au sociologue et philosophe Edgar Morin (qui a fêté le mois dernier ses 101 ans !) :
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet.
En conclusion
Les publications de Reinfo Covid et celles de Rodolphe Bacquet ne font que porter à la connaissance du public les statistiques sanitaires officielles françaises ou internationales.
N’importe quel journaliste des médias de grand chemin pourrait faire le même travail … Mais aucun ne le fait !
Quand on leur met sous le nez par exemple l’augmentation de certaines maladies : myocardite, hypertension, Creutzfeldt-Jakob, etc … depuis les injections des traitements anti-covid, ils s’exclament :
Corrélation ne veut pas dire lien de causalité !
Des statisticiens honnêtes pourraient facilement démontrer la réalité du lien de causalité, mais admettons un instant que ce lien de causalité n’existe pas et que donc l’explosion de ces maladies n’ait rien à voir avec ces injections.
Dans ce cas, comment se fait-il qu’une grande enquête sanitaire n’ait pas été lancée pour déterminer la ou les causes de cette explosion de maladies ?
L’absence de cette enquête prouve la duplicité des laboratoires, des autorités sanitaires et des différents gouvernements.
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7 Réponses à “Afficher la vérité va être interdit en France !”
« la majorité d’entre eux n’ayant pas été remontés soit par les patients eux-mêmes, soit par leur médecin ou leur hôpital. »
Pire que cela : certains médecins n’arrivent pas à se connecter au site du gouvernement concernant les effets secondaires, et quand ils y arrivent ils ont la « joie » de constater que leur déclaration a disparu…
J’ignore le nombre exact, donc des événements indésirables « perdus » dans le labyrinthe du site de l’état, mais autour de moi, de nombreux médecins (et de patients qui ont essayé de leur côté) l’ont vécu.
C’est d’ailleurs pour cela qu’à Réinfo, nous mettons en place une liste de terrain.
Au moins, les derniers retours seront sauvegardés.
De fait, ces chiffres devraient encore être revus à la baisse.
Le seul slogan « Tous vaccinés, tous protégés » est passible du chef d’accusation de mensonge d’état vus les résultats catastrophiques en termes de protection effective !
Bal tragique à l’Élysée malade après deux injections de propagande anti-Covid
Bal tragique à l’Élysée : la débâcle aux législatives après le décervelage de la propagande du vaccin anti-Covid. Vu le nombre de commentaires sur les réseaux, on peut espérer que les malheurs de cette fabuleuse mystification du faux vaccin anti-Covid toucheront plus de monde que les sites officiels de propagande pour imposer la vaccination. Même difficiles à consulter, les réseaux en alerteront peut-être quelques-uns. Ne serait-ce que pour inspirer le doute. Qu’est-il arrivé lors du bal tragique à l’Élysée après des injections de propagande anti-Covid ? Mais pourquoi ce silence, ces éternels mensonges. Qui y croit encore ?
Novak Djokovic conscient et prudent refuse d’être la victime de la propagande des vaccinés soumis et déclare forfait pour l’US Open. Novak Djokovic, l’ancien numéro un mondial, n’est pas vacciné avec les faux vaccins contre le Covid-19. Il n’a pas l’autorisation d’entrer sur le sol américain. Il a donc annoncé son forfait. Novak Djokovic ne disputera pas l’US Open en raison de sa non-soumission à la vaccination au Covid-19.
C’est un véritable coup dur pour la propagande des vaccinés et pour l’US Open. Non-vacciné contre le Covid-19, le tennisman serbe faisait partie des favoris à la dernière levée annuelle du grand chelem. C’est le deuxième grand chelem de la propagande des vaccinés qu’il évite cette saison après l’Open d’Australie.
« Bonne chance à mes collègues joueurs. Je vais me maintenir en bonne forme et dans un état d’esprit positif en attendant de pouvoir reprendre la compétition », a écrit Novak Djokovic sur son compte Twitter en attendant la fin de la tyrannie des mesures sanitaires imposant la fausse vaccination contre le Covid-19 !
Malgré cela, Novak Djokovic a remporté son 21ème titre du grand chelem à Wimbledon cet été 2022.
La seule vraie coupable est la tyrannie sanitaire qui impose la propagande des vaccinés quand Novak Djokovic, conscient et prudent, est coupable devant tous les médias du monde de refuser d’être la victime de la propagande des vaccinés soumis. D’où une forte chute au classement ATP, mais pas de myocardite !
À la suite de sa seconde injection du vaccin contre le coronavirus, la propagande du faux vaccin anti-Covid serait paralysée et aurait annulé le décervelage de la population soumise à la dictature vaccinale. Mais silence dans les medias, car ce serait la panique chez toutes les victimes de la propagande : les vaccinés.
Bal tragique à l’Élysée : la propagande du faux vaccin anti-Covid est paralysée. Le décervelage de la population des vaccinés, ce n’est pas une mystérieuse maladie liée au faux vaccin contre le Covid. C’est une réalité. La population des vaccinés serait frappée par une maladie appelée décervelage, une pathologie que la France aurait contractée avec Macron, peu après s’être fait vacciner contre le Covid sans que le lien ne soit fait ouvertement avec la propagande du vaccin anti-Covid. Si cette piste du faux vaccin devait se confirmer, la France serait, à l’instar des millions de personnes, victime d’un complot mondial sous un masque sanitaire.
Le décervelage de la population des vaccinés encourageait tout le monde à se faire vacciner parce que Macron veut faire croire que c’est la seule façon de rebâtir une immunité pour tout le monde. Faux !
Qu’en sait-il ? Comment l’Élysée a-t-il pu oser affirmer une telle aberration ? À chacun son travail et ses compétences en matière d’épidémie comme le Pr Didier Raoult.
Le décervelage de la propagande du vaccin anti-Covid via la manipulation des lobbies et des médias doit cesser. Le bal tragique à l’Élysée confirme ce que tout le monde savait ! Macron est désolé de devoir changer ses projets de réforme en faveur de la totale soumission des Français à l’Europe mondialiste. Une première fois, à cause de la pandémie, maintenant, c’est en raison de la débâcle aux législatives après décervelage de la propagande du vaccin anti-Covid. Pour être tout à fait honnête, Macron devrait reconnaître que propagande du faux vaccin anti-Covid n’est pas tout à fait prouvée.
Le décervelage des vaccinés commence à devenir extrêmement inquiétant.
Il y a quelque chose de majeur. Des millions d’euros sont en jeu. Il va falloir se poser la question.
Est-ce que Macron va pouvoir remonter la pente ? Le décervelage de la population des vaccinés agit de façon involontaire et prolongée. Tous les commentaires sur les réseaux confirment la grande probabilité d’une maladie liée à la propagande vaccinale. Ce qui a d’autant plus choqué et a été nié pendant un temps.
Macron s’est fait l’avocat tenace de l’injection expérimentale jusqu’à vouloir emmerder tous les non- vaccinés. Bal tragique à l’Élysée : Macron victime de sa croyance ! La Vaccination devenue religion officielle.
Quelle aberration ! Comment l’Élysée, loin de la vraie médecine, et probablement trop proche des délires journalistiques imposés par des labos avides de vendre, peut-il imposer cette manipulation ?
La corruption ne se limite pas à la corruption financière mais elle touche toutes les facettes de l’âme humaine, désir de plaire, de conseiller, de jouer les sauveurs. Tragique histoire à l’Élysée qui se répète au fur et à mesure que l’effet toxique de la propagande du faux vaccin anti-Covid et que l’effet toxique de ces produits expérimentaux s’incruste dans le corps avec l’appui pour une triple vaccination de von der Leyen, présidente de la Commission européenne, avant la quatrième et le cinquième vaccination, etc. On imagine la capacité d’influence du décervelage de la population des vaccinés eux-mêmes manipulés par le Big Pharma.
Le bal tragique à l’Élysée avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications du décervelage de la population des vaccinés qui ont souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. Espérons que ces gens se poseront des questions et hésiteront à se faire injecter une nouvelle dose. Par quel mécanisme de pensée tortueuse Macron s’est-il transformé en marchand d’injection, dont il ne connaissait rien, d’autant que tous les éléments étaient cachés par les labos ? La seule certitude vérifiable était que ces substances étaient expérimentales comme le démontrait d’emblée le site clinicaltrials.gov.
Et elles le sont toujours et il faudra attendre 2023 pour obtenir les données officielles des essais. Mais actuellement nous disposons grâce à la justice américaine d’une partie des documents cachés par Pfizer qui dévoilent la tricherie qui devrait faire interdire la poursuite des injections. Et les données anglaises données par l’ONS anglais démontrent aussi le danger létal des injections pour la population.
Et en même temps la maladie du décervelage de la population des vaccinés s’aggrave. Macron n’a donné aucun détail sur la mystérieuse maladie à l’Élysée. Quoi qu’il en soit, la France est défigurée par les complications de la vaccination anti-Covid. La présenter sous le nom de décervelage ne change rien au fait.
Quel malheur d’avoir rendu malades ces vaccinés qui avaient l’avenir devant eux et qui ont cru utile de conseiller aux autres ce délire absolu. Il faut exiger des instances sanitaires mondiales un arrêt complet de ces injections dangereuses dont on commence à connaitre les drames à court et moyen terme (myocardites, mort subite de sportifs en course etc., maladie proche de la vache folle) et inconnus à long terme.
L’évolution fatale de cancers guéris depuis de nombreuses années ou de cancers récents se constate de plus en plus après les injections, particulièrement après la troisième. Rappelons que dans la première phase de la vaccination, seulement 5 % des lots ont été concernés par les accidents vaccinaux.
Placebos, dosages et ingrédients différents ? On ne le sait pas. Ce qui est certain, c’est que depuis la troisième dose dite booster, les accidents paraissent plus fréquents et plus précoces, même si on peut aussi distinguer des variétés géographiques, ce qui laisse supposer des différences dans les lots.
Source : Mondialisation (Canada)
Avec Éric Zemmour : Nous devons reprendre le contrôle de notre pays !
Je viens d’apprendre que je fais partie d’une secte!
J’ai la chance d’avoir certains dons (brûlures, coups de soleil, zona, dermatose).
Les « amis » qui viennent me voir et m’adressent leurs « amis » peuvent témoigner de la pertinence de cette aide que je n’appelle pas médecine.
Je dis le terme « amis » car il n’est pas question d’argent.
Mon père m’a dit « tu dois mettre ce don au service des autres ».
Nous sommes deux ici.
C’est sympa.
Et non vaccinées!
En plus exact.
Et ensuite tellement jeunes dans notre tête (et même dans notre corps.
Géniales sommes nous.