Le docteur Véronique Rogez, installée à Noyon depuis 40 ans, a toujours refusé de se faire vacciner contre le covid.
Depuis le 15 septembre, le docteur Véronique Rogez a interdiction d’exercer la médecine.
Refusant toujours de se faire vacciner, elle a rendu les clés de son cabinet à Noyon (Oise). Voilà qui met définitivement un terme à sa carrière de médecin généraliste.
Elle s’est expliqué sur sa décision vécue douloureusement :
Je ne suis pas antivax. Je vaccine … Comme la grippe par exemple. Mais pour la grippe, on ne vaccine pas quelqu’un s’il a eu la grippe. Alors pourquoi le fait-on avec le covid ? Et sur cette vaccination, il fallait que les médecins puissent prioriser leurs patients à risque. Or là, on vaccine même les jeunes et les enfants qui ne sont pas à risque. C’est aberrant d’administrer un produit à l’état expérimental. D’autant que les effets secondaires sont nombreux. J’en ai déclaré quatre pages : zona, infarctus, troubles du rythme cardiaque …
Le docteur Véronique Rogez a publié une autre vidéo dans laquelle elle nous place tous devant la lâcheté qui nous a fait accepter l’inacceptable.
Les progressistes nous bassinent en permanence avec les valeurs de la République, mais j’ai été personnellement extrêmement bouleversé, durant cette crise du covid, par cette atteinte majeure à nos libertés individuelles et par notre acceptation des mesures souvent contradictoires et incohérentes imposées par le pouvoir macronien.
Voici le verbatim de la vidéo du docteur Rogez qui devait absolument figurer dans ce blog :
La vie a bien changé, notre comportement, aussi ! Comment comprendre un tel état de soumission ? Comment notre consentement, notre obéissance, notre peur du virus en sont arrivés à cette acceptation contre nature.
- On a accepté de rester chez soi avec du paracétamol, même avec des symptômes respiratoires importants,
- On a accepté que notre médecin soit interdit de prescrire, même un antibiotique, et tous ces médicaments peu chers et bien connus qui ont montré leur efficacité,
- On a accepté qu’ils soient interdits d’exercer du jour au lendemain sans même pouvoir se défendre, menacés de prison,
- On a accepté d’être injecté par des injections géniques encore en cours d’expérimentation pour lesquelles l’AMM (autorisation de mise sur le marché) n’est que conditionnelle,
- On a accepté de signer un document donnant notre consentement libre et éclairé, qui n’est ni libre, ni éclairé,
- On a accepté la rupture du secret médical,
- On a accepté de rester enfermé chez soi, d’être verbalisé parce qu’on est sorti en forêt ou sur une plage,
- On a accepté les maltraitances sur les personnes âgées,
- On a accepté de marcher seul dans la rue, masqué, de manger assis et non debout, d’emmener son enfant masqué chez une orthophoniste masquée. On a accouché masquée,
- On a accepté dans les écoles ces règles de distanciation inhumaines. On a culpabilisé les enfants. On les a utilisés dans des publicités en les accusant de tuer éventuellement leur arrière grand-parent,
- On a totalement inversé les valeurs,
- On a accepté tous les mensonges et toutes les incohérences : « Tous vaccinés, tous protégés ! » Le vaccin comme seul sauveur pour un retour à la vie d’avant,
- On a accepté des propagandes honteuses, que l’Education nationale se transforme, à la rentrée, en des promoteurs de vaccin, sans l’accord des parents, peut-être,
- On a accepté de payer 60 millions d’euros par moi pour mettre des vigiles à l’entrée des hôpitaux alors qu’ils manquent cruellement de soignants pour soigner,
- On a accepté tous les conflits d’intérêts et les effets secondaires,
- On a accepté que nos élites mondialistes, grâce à notre peur de la mort savamment orchestrée, fassent croire que tout cela était pour notre bien.
Non, certains se sont levés !
Docteur Véronique Rogez.
PS : Je ne dispose que d’une version incomplète de la vidéo. Si quelqu’un trouve la suite, je suis preneur. Merci d’avance.
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2 Réponses à “On a accepté … l’inacceptable !”
Et maintenant, « L’Université Aix-Marseille punit le président de l’association Réinfo Liberté, Vincent Pavan : un an de suspension assorti de la privation de la moitié de son traitement. » (France Soir.
Honteux!
ce qui l’est encore plus c’est le fait que nombre de médecins et autres soignants (et enseignants chercheurs) ne lèvent pas le petit doigt pour lutter contre cette dictature.
Sur ce coup là, je regrette d’être en retraite, car j’aurais fichu le bazar!
Rien que par principe.
Genre invalidation des ordonnances, refus de distribuer du doliprane (avec les explications!), démission…..
Les lobbys commande, l’etat baisse son froc parce que c’est dans son adn, d’autant qu’il est complice de la mascarade.