« Ursula OUT !!! »

Ce sont des Italiens furieux qui, aux côtés de Matteo Salvini, demande la démission d’Ursula Von Der Leyen de la présidence de la Commission européenne !

Ils s’insurgent du fait que cette femme, dont le pouvoir est visiblement monté à la tête, a menacé publiquement le peuple italien de prendre des sanctions s’il ne votait pas « politiquement correctement  » aux élections qui pourrait amener une union des droites italiennes au pouvoir.

Les Italiens sont furieux et ils ont raison !

Il est scandaleux qu’une femme qui n’a aucune légitimité populaire et qui ne doit son poste qu’à un arrangement de couloir entre Angela Merkel et Emmanuel Macron, se permette de menacer tout un peuple. Qui plus est pour l’obliger à voter conformément à la pensée progressiste dominante !

L’intervention d’Ursula Von Der Leyen pourrait bien être contreproductive puisque certains opposants italiens à la coalition des droites craignent que les menaces contre le peuple italien ne se transforment en coup de pouce à la coalition des droites !

Finalement, cette femme aura tout fait pour mériter le surnom que des twittos lui ont donné :

« Ursula von der La Hyène »

La déclaration scandaleuse de la Hyène a entrainé de multiples réactions négatives comme par exemple cet édito au vitriol de Philippe David, animateur sur Sud Radio :

On pourra aussi lire cet article d’Arnaud Florac paru sur Boulevard Voltaire dont voici quelques extraits :

Contre la volonté des peuples, Ursula sort ses outils

On pourrait finir par ne plus prendre garde aux propos d’Ursula von der Leyen. Ce serait dommage. La présidente de la commission européenne, élue par personne et à qui on n’a rien demandé, multiplie les déclarations dans un état que l’on dirait second, appelle à poursuivre l’opposition contre la Russie, à ne surtout pas chercher l’apaisement … et finit, à force de soumission aux États-Unis et de monomanie idéologique, par nous faire très légèrement douter de ce point de catéchisme qui semblait pourtant acquis :

« l’Europe, c’est la paix. » Pas tant que ça, on dirait.

Et voici maintenant le deuxième temps de la déconstruction des fameuses « valeurs européennes ». Figurez-vous que même cette évidence (le caractère démocratique de l’Europe) a sérieusement du plomb dans l’aile. On s’en doutait un peu avec l’exclusion (de moins en moins) tacite des pays du groupe de Visegrad, qui n’avaient pas la bonté d’accueillir ces sympathiques migrants. C’est maintenant officiel. Interrogée sur la perspective d’une victoire en Italie de la coalition de droite, emmenée par Giorgia Meloni, qui dirige Fratelli d’Italia, Ursula von der Leyen a été sans détour :

Si les choses vont dans une direction difficile, nous avons des outils, comme dans le cas de la Pologne et de la Hongrie.

Le seul truc amusant dans cette affaire, c’est cette expression qui, dans les films des années 60, fait trembler les résistants : « Nous avons des outils ». On voit d’ici Ursula, glaciale et glaçante, se promener dans la salle de torture en faisant sonner ses talons, puis dérouler une trousse en cuir garnie d’objets métalliques tous plus contondants les uns que les autres. « Nous avons des outils », dit-elle d’une voix neutre, où affleure une pointe d’accent bavarois. Malgré son brushing de mémère, Ursula, c’est Charlotte Rampling sous pervitine. Elle fout la trouille.

Dommage, simplement, que cette femme soit à la tête de l’Europe.

Arnaud Florac pour Boulevard Voltaire.

Conclusion

La conclusion s’impose : la démission d’Ursula von der Leyen pour que se défasse le couple infernal qu’elle forme avec Emmanuel Macron. Pourquoi pas une démission conjointe ?

Cela aurait de la gueule et ravirait nombre de peuples européens !

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