Le nationalisme, c’est la guerre !
Le patriotisme amène à l’extrême droite !
Ce sont les rengaines que l’on entend dans les milieux gauchistes mais aussi malheureusement, dans les médias.
Au début de la coupe du monde, on a vu la gauche tenter de mobiliser les Français pour boycotter la compétition au Qatar. Mais le mot d’ordre fit long feu.
Pire, après l’excellent parcours de l’équipe du Maroc, la gauche a oublié le boycott pour saluer cette victoire d’un pays du Maghreb.
Quand au peuple français, il est resté totalement insensible à ces tergiversations de la gauche. Le Foot reste un sport très populaire surtout quand les Bleus gagnent ! Et il réussit à réunir une majorité de Français dans un élan patriotique !
Dans cet article de Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel se demande pourquoi ce patriotisme qui est salué dans le sport reste mal vu en politique.
Patriotisme, sélection, excellence …
ce qui fonctionne pour le foot, si on l’autorisait ailleurs ?
La France a perdu, mais n’a pas démérité. L’équipe de foot nationale a fait rêver, l’espace de deux heures et quart, le pays entier : les familles, toutes générations confondues, étaient réunies sur le canapé. Les personnalités politiques, tous partis confondus, sur Twitter. Allez les bleus, vive la France ! En ces temps de déclassement généralisé, renouer avec le sentiment d’être un GRAND pays. Elon Musk, présent dans les tribunes, note, dans un tweet liké 350.000 fois, que le but de la France – celui qui lui a permis d’égaliser -, a fait l’objet de « 24.000 tweets par seconde, ce qui n’était jamais arrivé pour une coupe du monde ».
Emmanuel Macron a voulu profiter d’une parcelle de gloire, n’hésitant pas, in fine, à se muer en cellule psychologique, numéro vert et Maman consolatrice tout à la fois, pour un Mbappé déçu qui l’a d’ailleurs snobé.
Le Président argentin Alberto Fernandez, lui, avait annoncé dès samedi qu’il ne se rendrait pas au Qatar « suggérant, selon L’Équipe, un facteur superstition, par lequel il ne voudrait pas porter la poisse à la sélection » : « Comme des millions de compatriotes, avait-il écrit sur Twitter, je vais profiter de la coupe du monde à la maison ». Chacun en tirera la conclusion qu’il voudra.
Mais quelles leçons à tirer de cette parenthèse de grâce, quelles recettes à retrouver pour le pays tout entier ?
– Tout d’abord, cultiver sans complexe le bonheur d’être français. Aimer son pays, le soutenir, être fier de lui, se sentir appartenir à un groupe, agiter en chœur le drapeau tricolore procure une joie ineffable qui fait oublier bien des soucis. Mais pour multiplier ces moments il faut cesser de cantonner le patriotisme au ballon rond, arrêter de traiter de facho quiconque arbore le drapeau français en d’autres occasions, et ne pas le laisser détrôner par le drapeau européen qui ne fait vibrer personne sinon peut-être Ursula von der Leyen.
– Reconnaître dans cette équipe les ingrédients de l’excellence, et l’étendre à tous les domaines : gageons que les joueurs n’ont pas été choisis, façon Science Po, sur une lettre de motivation en écriture inclusive et sur un entretien devant un grand jury autour de la transition écologique ou de la masculinité toxique. Ce sont, bêtement, à l’ancienne, sur leurs qualités à pousser le ballon, puisque c’est l’objet, qu’ils ont été évalués. Sinon, ce sont des épigones de Marine Tondelier et Louis Boyard qui se seraient trouvés, en petit short à leur place, sur la pelouse du Qatar. Sans garantie de résultat. De même, Didier Deschamps, osons le dire, n’a pas fait de sentiment. Il a même fait de la discrimination, au sens étymologique du terme. À chacun ses talents. Soit tu es bon, soit tu ne l’es pas. Et il n’a pris que les meilleurs. Ils les ensuite entraînés, et fait durement travailler. Car le don sans la sueur ne suffit pas. Puis il leur a donné des ponts d’or et en a fait les stars que l’on sait. Sélection, travail, mérite, argent, ascenseur social. Tout un vocabulaire aujourd’hui honni.
– Viser le bien commun, c’est-à-dire le succès de la France, dans une démarche holiste en non individualiste. Le jeu a été collectif. Pas de personnalité toxique ou d’ego surdimensionné façon Benzema, qui d’ailleurs a refusé de se joindre à Emmanuel Macron pour assister au match, proférant, sur Instagram, un laconique « Ça ne m’intéresse pas », qui a beaucoup fait gloser.
– Chasser l’idéologie dans tous les domaines où l’on recherche l’unité nationale. Grâce à l’équipe du Maroc qui a capté le capital sympathie de la gauche et attiré comme un piège à guêpes ses obsessions anti-racistes, l’équipe de France a été dépolitisée. Elle n’était plus black blanc beur mais bleu blanc rouge.
Las ce qui est permis, voire salué, dans le foot est interdit ailleurs.
Gabrielle Cluzel pour Boulevard Voltaire.
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4 Réponses à “Le patriotisme honni en France … Sauf pour le Foot !”
Notre vaillant président, premier supporter des Bleus comme il se doit, ne peut pas s’empêcher de tripoter les corps de jeunes hommes noirs.
Mais tout n’est pas négatif dans cette histoire, puisque Benzema a annoncé, le jour de son anniversaire, que l’EDF et lui , c’était fini.
On appréciera l’élégance du personnage, une nouvelle fois.
Benzema, c’était donc bien la mentalité d’une racaille de cité au volant d’une Lamborghini.
Bon débarras et bon retour à Madrid, où il pourra continuer à marquer des buts jusqu’à la retraite et à insulter la France sur son réseau perso.
Comme vous je retiens les tripotages constants et indécents de macron, il faut tout le temps qu’il tripote, c’était pas pour rien qu’il s’était pris une baffe, même si les merdias ont tout fait pour minorer et surtout condamner le gifleur, la vidéo était imparable et montrait bien macron posant sa main sur le bras du gifleur.
Cette sale manie il l’a même envers les chefs d’Etat du monde entier, il ne peut pas serrer la main normalement il faut qu’il passe le main dans le dos ou sur la bras
je vous fais remarquer qu’il patouille uniquement les hommes
Il a peur d’être accusé de viol s’il touche une femme!