La Justice en question !

A quoi sert de faire des lois ?

A quoi sert d’avoir un code pénal ?

A quoi servent tous ces outils démocratiques si des juges peuvent les écarter ou les interpréter à leur façon ?

S’il devait y avoir une 6 ème République, c’est au démantèlement du pouvoir des juges qu’elle devrait s’atteler en priorité.

Quand on voit que des juges peuvent interdire l’expulsion de clandestins sous prétexte que dans leur pays, le réchauffement climatique sévit et que, dans le même temps, ces mêmes juges n’ont rien vu à redire aux mesures liberticides prises par le pouvoir pendant la pandémie, on perd confiance dans la justice.

Sans parler de la collusion entre les médias et certains juges qui a détruit la candidature de François Fillon, privant ainsi de droit de vote une bonne moitié des Français.

Le pire se trouve au sommet de la pyramide judiciaire avec le Conseil d’Etat et le Conseil constitutionnel.

Le premier ordonne de déboulonner une statue de l’archange Saint Michel alors que 94,5 % de la population concernée a voté pour le maintien en place de la statue.

Le second vient de refuser au peuple un referendum sur les retraites demandé par 75 % des Français. Il avait précédemment relaxé un délinquant passeur de clandestins dans les Alpes au nom … du mot fraternité présent dans la devise nationale !

La Lettre patriote rapporte dans cet article un nouveau jugement typique de l’idéologie qui anime certains juges :

Déjà marié en Algérie, il épouse une Française…

Nos confrères de La Manche Libre racontent qu’un homme de 45 ans de nationalité algérienne a épousé à Cherbourg une Française alors qu’il était déjà marié en Algérie ! Il a été jugé par le tribunal judiciaire de Cherbourg le mardi 7 février. Pour son mariage en France, il a fourni de faux renseignements sur sa situation. Sa véritable épouse – algérienne- , avec laquelle il a deux enfants (!), a transmis aux autorités un courrier précisant la situation.

À la barre, le mis en cause, décidément élégant, déclare ne pas la connaître ! Pourtant, un acte mentionne bien qu’il est marié depuis février 2007 en Algérie.

En 2014, il a émis plusieurs demandes de visa pour venir en France ; or, sur les actes de naissance fournis lors de ces demandes, il est fait mention de son mariage en 2007.

La procureure précise :

Il a fait usage d’un faux acte de naissance pour se marier en France. C’est une infraction grave.

Elle requiert douze mois de prison avec sursis, une inéligibilité de cinq ans et une interdiction de territoire français pendant dix ans.

Compte tenu du dossier, le tribunal a prononcé la relaxe du prévenu le mardi 11 avril.

La Lettre patriote.