Une semaine après que le ministre de l’Éducation nationale a préféré se défausser plutôt que de répondre sur le fond aux accusations de Valeurs actuelles, votre hebdomadaire lance une pétition pour qu’enfin, le nécessaire débat sur l’Éducation nationale ait lieu.
Vous venez de lire l’introduction d’un texte publié par Valeurs actuelles et signé de son Directeur de la rédaction, Geoffroy Lejeune.
L’école est l’avenir de nos enfants et donc celui de la France !
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que notre école est mal partie. Encore plus depuis que Macron ait confié le ministère de l’Education nationale à un wokiste patenté.
Je vous engage à signer la pétition proposée à la fin de cet article.
Pap au tableau !
Contraignez le ministre à faire face à son bilan
Chaque semaine, l’actualité nous offre une occasion de craindre pour l’avenir de l’école. Entrisme islamique, propagande, baisse du niveau scolaire, endoctrinement, guerre scolaire public-privé, paupérisation des enseignants…
Il y a quelques semaines, Valeurs actuelles s’est fait l’écho de ces craintes en publiant un numéro sur le ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye, que nous avons appelé « le ministre de la destruction nationale ». Parce que l’école est le lieu où se construit l’avenir d’un pays, nous pensions que le sujet était capital.
Ce numéro n’a pas plu au ministre, et c’est normal. Mais il était l’occasion pour nous d’enquêter et de relayer les angoisses de centaines de milliers, de millions de parents d’élèves. Le ministre a été interrogé à ce sujet. Mais au lieu de répondre point par point et de défendre son bilan, il se défausse.
Cette accusation est grave, et vous concerne tous.
C’est devenu l’assurance vie des déconstructeurs : à chaque fois qu’il sont confrontés à leur bilan, ils répondent « extrême droite ». Vous vous plaignez de l’insécurité ? Vous êtes d’extrême droite. Vous trouvez qu’il y a trop d’impôts ou d’immigration? Vous êtes d’extrême droite. Vous pensez que notre pays va mal et vous avez peur pour son avenir ? Vous êtes d’extrême droite.
Cette situation ne peut plus durer.
Nous ne pouvons pas, vous ne pouvez pas continuer a baisser la tête. Cette fois, nous allons obliger le ministre à assumer son bilan et nous ne le laisserons pas esquiver ses responsabilités.
Vous le savez, notre marque de fabrique est de chercher à toujours faire vivre le débat. Nous sommes respectueux, pluralistes, polis et courtois, et nous voulons organiser des arènes spectaculaires où le débat d’idées trouve son meilleur écho. C’est pourquoi nous allons organiser prochainement une grande confrontation avec Pap Ndiaye pour parler de l’école et de tous les maux qui la frappent.
Comment ? Grâce à vous !
Même si le ministre n’a pas très envie de venir défendre son bilan, vous pouvez l’y contraindre. Nous lançons une grande pétition ouverte à tous les Français pour l’organisation d’un débat en public entre Pap Ndiaye et des Français inquiets pour l’avenir de l’école. Ils sont parents d’élèves, professeurs, anciens ministres, intellectuels, et ils seront sur la scène pour poser des questions au ministre. Si vous êtes des milliers, des dizaines de milliers à signer cette pétition, Pap Ndiaye ne pourra pas se défiler.
Aidez nous, relevons la tête, confrontons le ministre à son bilan et ensemble, sauvons l’école pour sauver nos enfants et notre pays !
Geoffroy Lejeune
Directeur de la rédaction de Valeurs actuelles.
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2 Réponses à “Pap Ndiaye : le ministre de la destruction nationale”
C’est toujours les memes coup bas de la goche et des pseudo progressistes,
n’ayant aucun arguments valabke, ils hitlerise tout les opposant,
du simple candide aux extremistes de goche ou de droite, tout le monde est d’extreme droate.
Si un zozo ministre ne peut repondre a une question, celui qui l’aura posé sera un extremiste de droate,
y compris s c’est un extremiste de goche qui aura posé la question.
Le niveau de nullité est tel chez les pseudo progressistes, et ne niveau du mensonge aussi, qu’il n’existe plus d’arguments normaux, ou alors ils doivent allez a l’asile.
pétition signée, on attend de voir, mais je suis circonspect …