Depuis 40 ans, depuis que François Mitterrand, Julien Dray et d’autres socialistes ont remplacé l’assimilation par le droit à la différence, la France s’est enfoncée dans une immigration africaine, majoritairement musulmane, toujours plus massive et de moins en moins intégrée.
Pendant de nombreuses années, la gauche, bien aidée par une presse complaisante, a diabolisé toute discussion sur l’immigration et les éventuels problèmes associés.
La droite n’est pas exempte de responsabilité dans ce domaine !
Elle a fait preuve de lâcheté en se soumettant aux diktats de la gauche. Jacques Chirac et surtout Alain Juppé portent une lourde responsabilité dans la situation catastrophique de la France d’aujourd’hui. La fusion RPR-UDF a signé de début du glissement à gauche.
Les conclusions des Etats généraux sur l’immigration, tenus en 1990 par le RPR et l’UDF illustrent, cruellement pour la droite, la trahison de la droite :
Les quatre points de cette conclusion ont tous été reniés par les dirigeants de droite !
Mais depuis 10 ans, l’explosion de la violence dont le pouvoir vient tout récemment de reconnaitre les liens avec l’immigration, a ouvert les yeux et débloqué le débat.
La gauche va se trouver complètement marginalisée, après des décennies de déni du danger de l’immigration et la dérive islamogauchiste et communautarisme de la France Insoumise.
Mais la droite est illégitime à récupérer cette évolution de l’opinion française qui demande massivement l’arrêt de l’immigration.
Seuls les mouvements politiques de la droite nationale et identitaires, le Rassemblement national et Reconquête!, peuvent aujourd’hui tirer parti de ce rejet de l’immigration.
C’est d’ailleurs vrai dans plusieurs pays d’Europe, où les droites identitaires reprennent progressivement le pouvoir.
Voici un article de La Lettre patriote qui fait le point sur ce renversement politique en Europe :
L’explosion de l’immigration offre un boulevard
aux droites nationales européennes
Les droites européennes changent, et avec elles les rapports de force au sein des échiquiers politiques. Nos confrères du Figaro ont publié une analyse des mouvements sur l’échiquier de droite en Europe. Extraits :
Des mouvements dits d’extrême droite, comme les Fratelli d’Italia de la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, se sont « normalisés » avec l’exercice du pouvoir.
Les coalitions de gouvernement entre ces partis et des mouvements de la droite traditionnelle se multiplient en Europe.
Des gouvernements de gauche sont tirés sur leur droite par leurs partenaires de coalition. Ce jeu de chamboule-tout, qui prend à revers les grandes formations des vieilles démocraties occidentales et entraîne les scènes nationales vers la droite, pourrait bien changer la face politique du continent aux élections européennes en 2024.
Le Figaro explique qu’en Norvège, le Parti du progrès, populiste et anti-immigration, a été associé avec les conservateurs dans un gouvernement de coalition jusqu’en 2020. En Suède, la droite gouverne avec l’appui du mouvement nationaliste Les Démocrates de Suède. Longtemps considérée comme un bastion de la social-démocratie, la région est devenue l’une des plus poreuses aux idées et aux politiques de la droite radicale et de l’extrême droite. Au Danemark, même la première ministre sociale-démocrate, Mette Frederiksen, penche à droite, entraînée dans une grande coalition par les libéraux conservateurs.
Plus profondément, l’immigration est le principal moteur de cette transformation politique.
Son rejet majoritaire au sein des populations européennes a conduit les partis traditionnels, y compris les sociaux-démocrates, à s’en emparer. Il a aussi forcé les partis d’extrême droite, qui ont perdu l’exclusivité de leur fonds de commerce, à s’investir dans d’autres sujets. Ces deux mouvements convergents ont ouvert la voie à des coalitions longtemps jugées contre-nature.
En Suède, tout le monde aujourd’hui est contre l’immigration. Les partis ex-populistes et les Démocrates de Suède ne peuvent plus limiter leurs discours à l’immigration, dont tous les partis se sont emparés. Ils investissent aussi désormais dans les programmes économiques,
explique au Figaro le politologue Thibault Muzergues, directeur du programme Europe du think-tank américain International Republican Institute (IRI) et grand spécialiste du concept de « post-populisme ». La première ministre danoise mène une politique migratoire très restrictive. En Finlande, les négociations de coalition se font sur la question de l’immigration.
La Lettre patriote.
Mais la sociologie française reste ancrée à gauche et martèle des contrevérités aux micros complaisants du Service public que l’audiovisuel.
Lisez par exemple cet article de Boulevard Voltaire :
Sur le plateau de « C à vous », festival de fake news sur l’immigration
dont on retiendra cette affirmation que les journalistes de C à vous n’ont pas relevée :
L’essentiel des immigrés, aujourd’hui, sont des universitaires.
Sans doute nos prochains Nobel !
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3 Réponses à “Avec l’immigration, la gauche a creusé sa propre tombe !”
Le peuple connait la verité et d’ou provient surtout la violence, la suede a compris et a juger sainement en prenant les bonnes decisions.
En france c’est le contraire, c’est le peuple qui doit ce taire et subir grace a la pretendu bien pensance pour les tenir et agit en ennemi caché.
Ce n’est plus de la corruption, mais une guerre sournoise excercé contre le peuple et une veritable trahison des pretendu élites qui agissent sans cesse contre le pays et le peuple, mais seulement contre nous, pas contre nos ennemis cachés.
La goche c’est le canniveau dans toute sa splendeur et lhorreur.
Ils continuent de creuser parce que ce n’est pas encore assez profond……..