Quand les minorités veulent imposer leurs traditions !

C’est la conséquence logique de la substitution, à l’assimilation des immigrés, du droit à la différence, imposée par la gauche à partir des années Mitterrand.

Ce ne sont pas les immigrés qui doivent s’adapter aux moeurs, aux us et coutumes des autochtones mais à ces derniers de reconnaitre, voire d’adopter les moeurs des arrivants.

Mais cela va encore plus loin !

Encore plus loin quand c’est la loi ou le code de la route qu’il faudrait modifier pour autoriser certaines pratiques déviantes des personnes issues de l’immigration !

C’est ce qui se passe avec les mariages de descendants d’immigrés maghrébins qui n’hésitent pas à privatiser la voie publique, et à bloquer la circulation !

Voici un article de la Lettre patriote qui rapporte les mesures que prennent certaines municipalités pour contrôler ces débordements.

On y verra que pour certains, interdire ces débordements confine à la discrimination !

Débordements lors de mariages : afin d’y mettre fin,
des villes optent pour une charte ;
une « stigmatisation » selon un élu d’Argenteuil

À la mairie de Brive, on explique la charte en raison de débordements constatés lors de mariages. “À la marge” indique Carine Voisin,  “sur 150 mariages que nous célébrons par an, il y en a peut-être dix où il y a des débordements.”

L’élue prend l’exemple d’un mariage célébré à la fin du mois d’avril. “22 infractions ont été constatées dans la ville pour un même mariage : non-port de la ceinture de sécurité, circulation sur la voie de gauche, rodéo urbain, vitesse excessive…”

Mais la charte des mariages ne va-t-elle pas à l’encontre de la liberté d’expression ? À Argenteuil, dans le Val d’Oise, c’est ce que pense un opposant municipal. Selon nos confrères de France 3 Régions, Omar Slaouti (DVG) a porté plainte, et en septembre dernier, la justice a annulé la charte. Pour une raison de forme, car elle avait été votée en conseil municipal incompétent en la matière, contrairement à Brive, qui a pris un arrêté.

Pour l’opposant, ce règlement s’inscrit dans la continuité de la loi contre le séparatisme qui stigmatise certaines catégories de la population, dont les Musulmans,

 rapporte le journal Le Parisien.

À Brive, la municipalité se défend d’avoir voulu stigmatiser des habitants en fonction de leurs origines géographiques et de leurs traditions.

Brive n’est pas la seule ville en France à avoir adopté une charte des mariages. On en trouve une à Nice, Clamart, Port de Bouc, Bron, Lille, Sélestat, Conflans Sainte-Honorine, Toulouse … ou encore Limoges.

La charte entrera en vigueur le 1ᵉʳ juillet.

La Lettre patriote.