Les entreprises « woke » ont du souci à se faire !

Publié par le 18 Juin, 2023 dans Blog | 2 commentaires

Les entreprises « woke » ont du souci à se faire !

Avec l’islamisme conquérant, le wokisme est le plus grand danger qui menace la civilisation occidentale.

Partie des campus américains, l’idéologie Woke, doublée de la « Cancel culture » gangrène nombre d’université en France, une partie de la gauche, des médias, mais aussi des entreprises.

Le wokisme qui est une terrible régression civilisationnelle puisqu’il remet en cause l’universalisme en remettant au premier plan le racialisme que nous avions mis des siècles à éradiquer !

On sent chaque jour un peu plus la pression imposée par les progressistes qui eux-aussi poussent le développement du wokisme

Dans les entreprises, le concept de RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) est devenu omniprésent et se nourrit des principes extrêmes du wokisme.

On sent d’ailleurs arriver à la tête des entreprises les premiers wokistes formés dans les universités noyautées par l’extrême gauche.

Mais tout n’est peut-être pas perdu !

Ici et là, des rebelles se lèvent pour rejeter cette idéologie mortifère. Tout récemment, des élèves de l’Ecole alsacienne ont refusé la propagande de militants transgenres qui voulaient leur faire croire que les hommes pouvaient être enceints !

Dans les entreprises aussi, on réfléchit aux effets pervers du wokisme … sur leurs clients.

C’est ce que rapporte cet article paru sur le site Epochtimes.fr :

ANALYSE : Une révolution silencieuse se prépare
contre les entreprises « woke » aux États-Unis.
Voici la stratégie qui la sous-tend :

Illustration empruntée à KAK (L’Opinion)

Les conservateurs trouvent leur kryptonite contre les entreprises « woke » : « Je pense qu’il est clair que les gens commencent à se poser des questions. »

Les boycotts contre des entreprises « woke » telles que Target et Anheuser-Busch aux États-Unis portent leurs fruits et permettent de lutter contre les activismes des causes raciales, sexuelles et environnementales qui s’immiscent dans les entreprises américaines, selon des groupes conservateurs.

Lorsque les clients désertent les entreprises qui se font les chantres des politiques de l’extrême-gauche, les groupes conservateurs s’en trouvent renforcés et seront plus forts pour attaquer ces entreprises devant les tribunaux.

Scott Shepard est membre du Centre national de recherche sur les politiques publiques (NCPPR) et directeur du projet Free Enterprise, un groupe d’actionnaires activistes conservateurs.

Il a expliqué à Epoch Times que le vent est en train de tourner en ce qui concerne la question des ESG (pour Environnement, Social, et Gouvernance).

Nous assistons à quelque chose de très différent cette fois-ci. Parce que ce n’est pas seulement le fait des conservateurs, qui se sont toujours intéressés à ce genre de questions, c’est le fait de l’ensemble du pays.

L’ESG, qui n’était au départ qu’un ensemble de lignes directrices émanant d’organisations tierces, s’est aujourd’hui transformé en un instrument de contrainte qui impose les idéologies controversées de la soi-disant « justice sociale », a-t-il ajouté.

Et si ces entreprises ne parviennent pas à assumer leur responsabilité en termes de retour sur investissement, il existe des organisations comme celle de M. Shepard qui les poursuivent en justice au nom des actionnaires. 

Même si les entreprises perdent des milliards de dollars, comme le fait remarquer M. Shepard, elles continuent d’adhérer à ces concepts au détriment de leurs actionnaires.

Target a été critiqué pour ses rayons du « Mois de la fierté » (Gay pride), notamment ses grenouillères pour bébés aux couleurs arc-en-ciel et ses maillots de bain pour les hommes qui se disent « femmes » (et qui permettent de mieux dissimuler les anatomies masculines).

Un magasin Target à New York

De même, les consommateurs ont boycotté la marque Anheiser-Busch après que l’entreprise a produit un lot de cannettes Bud Light à l’effigie de l’activiste transgenre Dylan Mulvaney, cannettes qui ont enflammé les réseaux sociaux.

Target et Anheuser-Busch se sont tous deux exprimés au fur et à mesure que les boycotts s’intensifiaient, mais jamais pour s’excuser ni pour annoncer la fin de ces campagnes LGBT, et ils n’ont pas au final été en mesure de mettre fin à l’hémorragie de leur clientèle. 

La stratégie de Target a été de communiquer auprès du public sur les menaces qu’ils ont reçues de la part de leurs clients, qui leur demandaient que soient retirés certains de leurs articles les plus controversés ou que les articles LGBT soient au moins déplacés à l’arrière du magasin.

Le 13 juin, les employés d’un magasin Target dans le Tennessee, dont certains portaient des vêtements arc-en-ciel, ont dressé un bilan mitigé de l’impact du boycott sur les ventes.

Un employé a déclaré :

Les dimanches et lundis, il y a eu moins de monde. Cela se remarque si vous travaillez ici depuis assez longtemps. Les dernières semaines ont été plus calmes.

C’est difficile à dire. Les choses sont différentes au jour le jour.

Quant à Anheuser-Busch, ils ont décidé de diffuser des publicités “pro-américaines”, avec des chevaux Clydesdale qui galopent, suite au fiasco de la campagne avec M. Mulvaney.

Brendan Whitworth, PDG d’Anheuser-Busch a déclaré :

Nous n’avons jamais eu l’intention de nous impliquer dans une discussion qui divise les gens. Notre métier est de rassembler les gens autour d’une bière.

Target et Anheuser-Busch ne sont pas les seuls à apporter leur soutien au Mois de la fierté, les géants du monde des affaires tels que Citi, Bank of America, Cisco, HP et Pfizer ont tous changé les bannières de leurs réseaux sociaux pour les remplacer par des logos sur le thème de la fierté LGBT.

Le milliardaire Mark Cuban, propriétaire des Mavericks de Dallas et star de Shark Tank, est même allé jusqu’à dire qu’être woke était « bon pour les affaires ».

Les boycotts, de la kryptonite pour les entreprises woke

Pourtant, les poursuites engagées par les actionnaires pourraient bien parvenir à enrayer la machine ESG, et les boycotts prolongés des consommateurs, en infligeant d’énormes pertes aux entreprises « woke », participent à cette dynamique, a déclaré M. Shepard.

Le 6 juin, America First Legal (AFL) a demandé à Target de lui fournir ses livres de comptes et ses archives, en pleine polémique sur la vente d’articles LGBT à destination des enfants.

Le cabinet d’avocats représente le NCPPR, un groupe de recherche sur les politiques publiques de marché libre, dont M. Shepard est membre.

L’AFL, dirigée par Stephen Miller, un ancien conseiller du président Trump, a accusé la direction de Target d’avoir un « programme politique LGBT radical ayant coûté à l’entreprise plus de 12 milliards de dollars en valeur de marché depuis la mi-mai 2023 », selon un communiqué de presse.

Les boycotts ont eu un impact sur la capitalisation boursière des entreprises, en d’autres termes, leur valeur boursière a chuté.

La capitalisation boursière de Target est passée de 72,52 milliards de dollars à 58,61 milliards de dollars entre le 1er mai et le 10 juin.

La capitalisation boursière d’Anheuser-Busch a chuté encore davantage, passant de 132,06 milliards de dollars à 108,96 milliards de dollars entre le 3 avril et le 2 juin, et a également fait l’objet d’une révision à la baisse.

Les avocats d’AFL se sont dits préoccupés par le risque financier que présente le fait de vendre des articles LGBT, alors même, comme le reconnaît Target, que le gros de sa clientèle est constitué de familles.

Dans un communiqué, l’AFL a déclaré :

Cette perte spectaculaire et soudaine pour les actionnaires est le résultat direct et prévisible d’efforts calculés de la part de la direction, qui cherche à plaire à ses « parties prenantes » d’extrême gauche, dont presque aucun ne fait ses courses chez Target, ce qui montre le mépris de l’entreprise à l’égard de ces principaux clients.

Selon M. Shepard, ces pertes montrent que les conseils d’administration et les dirigeants d’entreprises « woke » se soucient davantage de suivre une idéologie que de rapporter de l’argent à leurs actionnaires. Il a déclaré :

Je pense qu’il est clair que les gens commencent à se poser des questions.

À part les militants de la gauche dure, personne ne veut que les enfants soient ciblés par des campagnes de pub transgenres ; personne ne pense que Target devrait jouer un rôle central dans cette histoire et décider pour nous si nos enfants vont être entraînés dans toutes ces absurdités.

Si les PDG et les membres des conseils d’administration des entreprises continuent à prétendre que passer au woke ne va pas les atteindre financièrement, alors, selon M. Shepard, ils se retrouveront dans une situation dans laquelle ils seront poursuivis en justice à titre individuel.

Selon lui, les dirigeants seront contraints de rembourser le montant qu’ils ont fait perdre aux actionnaires en « dirigeant les entreprises selon des préférences personnelles plutôt que selon les règles objectives et neutres de la gestion d’une entreprise ».

Bud Light en est un bon exemple.

Bien qu’ayant perdu des milliards de dollars, Bud Light a sponsorisé le défilé de la fierté de Cincinnati et a annoncé un don de 200.000 dollars à la Chambre de commerce nationale LGBT.

La raison pour laquelle les entreprises se soucient des scores ESG est que sans ces bons scores elles peinent à attirer les sociétés d’investissement comme BlackRock, qui contrôle quelque 10.000 milliards de dollars d’actifs, explique M. Hild.

BlackRock, dont le PDG Larry Fink est un disciple de l’ESG de la première heure, a lancé une menace à peine voilée en 2018 en direction des entreprises qui ne s’aligneraient pas, selon un article du New York Times.

Dans une lettre destinée aux chefs d’entreprise, Larry Fink leur demande de ne pas se contenter de faire des bénéfices mais aussi de « contribuer à la société » s’ils veulent bénéficier du soutien de BlackRock, selon l’article.

La démocratie est mauvaise pour les affaires

Le raisonnement de M. Fink en faveur d’une application rigoureuse des normes ESG est très simple en apparence : la démocratie n’est pas bonne pour les affaires.

« Les marchés n’aiment pas l’incertitude. Les marchés aiment, en fait, les gouvernements totalitaires », a-t-il dit dans une vidéo de Bloomberg publiée sur Twitter.

Comme BlackRock gère des milliers de milliards de dollars d’investissements dans le cadre de plans de retraite ou de fonds communs de placement, M. Fink a une influence considérable sur des questions telles que la rémunération des dirigeants d’entreprise ou le vote des investisseurs au sein des conseils d’administration, voire même en dehors de ces cercles, a expliqué M. Shepard.

Sous son contrôle, BlackRock a voté le limogeage de trois membres du conseil d’administration du groupe pétrolier Exxon en 2021, qu’il a remplacé par des écologistes « de gauche », selon M. Shepard.

Une fois son conseil d’administration modifié, Exxon a été poussé à vendre un investissement pétrolier à une entreprise chinoise soutenue par l’état communiste, et dans laquelle BlackRock a investi, a expliqué M. Shepard.

La Chine a des lois environnementales laxistes, de sorte que des tonnes de carbone continueront à être rejetées dans l’atmosphère.

M. Shepard a déclaré :

La différence, c’est qu’en imposant cette mesure, Larry Fink et BlackRock se sont fait des amis au sein du parti communiste chinois.

La suite est à lire dans l’article original de The Epochtimes.fr.

Darlene McCormick Sanchez pour The Epochtimes.fr

Merci de tweeter cet article :





2 Réponses à “Les entreprises « woke » ont du souci à se faire !”

  1. Se servir des vérités de la vie pour démolir les sociétés de fond en comble, voila le véritable but de ces lanceurs d’idéologies mortifères avec la culpabilité des états qui laissent faire exprès, car aussi coupables que ces démolisseurs d’un nouveau genre qui veulent pervertir toutes les sociétés en leur faisant perdre la boussole et le bon sens.

    Derrière tout ceci, sous de beaux pretextes de droit mais qui écrase la majorité, se cache l’esprit de destruction totale.

  2. Le wokisme est une regression de l’intellect, que l’etat cherche a imposer en vue de dominer le citoyen normal.

Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *