Des députés fossoyeurs de la liberté d’expression

On finirait presque par regretter le quinquennat de François Hollande, quand on observe les atteintes constantes à la liberté d’expression perpétrées depuis l’élection de Macron.

Ecartons aujourd’hui, la politique liberticide, en grande partie illégale, menée par Macron lors de la crise du covid : Couvre-feux, confinements, passes sanitaire et vaccinal, stigmatisation des non-vaccinés, notamment des soignants.

Intéressons-nous aux députés de la Macronie, mais pas seulement, qui ont oublié le premier terme de la devise de la République :

Liberté, égalité, fraternité !

Je me limiterai à seulement deux exemples tout récents :

1 – Une loi scélérate contre la liberté de s’exprimer dans les médias

Un projet de loi liberticide vient d’être déposé par une coalition de partis politiques qui consiste à interdire dans les médias et sur les réseaux sociaux toute remise en cause du réchauffement climatique et de la responsabilité humaine de ce dernier.

Cette union de partis a exclu le Rassemblement national de ce projet.

Il est jubilatoire de constater que des députés refusent d’inclure le RN quand il s’agit de porter un mauvais coup à la liberté ! Les Français s’en souviendront dans les urnes !

Ce projet de loi est d’autant plus scandaleux que ces députés considèrent que la thèse du GIEC fait consensus chez les scientifiques, ce qui constitue un mensonge effronté.

Il existe un consensus, notamment dans les médias, uniquement parce que les opposants à la cause anthropique du réchauffement climatique n’y sont pas invités !

J’ai publié plusieurs articles montrant que plusieurs groupes de scientifiques vrais spécialistes des évolutions du climat se sont regroupés pour contester la thèse du GIEC.

Notamment ces trois articles :

– Les résistants à la fable climatique s’organisent !
– Non, tous les scientifiques n’approuvent pas le GIEC !
– Consensus ? Vous avez dit consensus ?

Il faut que les pro-GIEC compulsifs soient vraiment peu confiants dans leurs arguments pour refuser de les confronter à d’autres thèses.

Ce projet est une honte pour la République. Elles bafouent ces fameuses Valeurs de la République brandies constamment par ces mêmes députés !

2 – Les prémices d’une dictature numérique

C’est un article de Lionel Mazurié publié dans le blog de Debout la France ! qui m’a alerté et dont voici des extraits :

Les penseurs des plateaux de télévision arguent, et répètent en boucle, la chance de liberté qu’aurait la France, l’Union Européenne, face à des situations politiques extrêmes et dictatoriales dans notre monde.
Et pourtant, de façon sûre, lancinante, nous avançons vers une société canalisée, cadenassée où les médias, l’expression de nos pensées, seront empêchées et ce, officiellement, « modérées », empêchées même pénalisées.
Car, il y aurait une vérité, des ordres au GAFAM & Cie et bientôt à tous les acteurs numériques d’appliquer une censure … C’était déjà la raison du DSA(Digital Services Act) démarré cet été.

Le 15 septembre 2023, un amendement de députés de la majorité présidentielle Renaissance et apparenté mais aussi d’Horizon, le parti d’Edouard Philippe, a été déposé dans le cadre des travaux visant à Sécuriser et Réguler l’Espace Numérique.
Il s’agit de demander à ce que les propriétaires de plateformes numériques soient :

tenus de mettre en place des mécanismes de détection permettant d’identifier les connexions depuis un réseau privé virtuel (VPN) utilisé par les utilisateurs de leur plateforme.

En avril 2023, l’Italie interdisant l’IA générative ChatGPT, les téléchargements de VPN ont explosé de 400 % … Pour un état interventionniste cet outil est un ennemi, une faille de surveillance des masses.
On peut arguer une société aseptisée, tracée, le monde de demain sera un carcan : celui du traçage de ses dépenses avec l’argent numérique, de ses déplacements, de sa consommation énergétique avec différents pass, de son comportement physique (activité sportive) et de santé (vaccination…), tout concours à faire remonter à un état central extranational, l’UE, toute les informations d’un individu et ce sous couvert d’une protection de données et de bienveillance communautaire.

Rejoindrons nous la Turquie, la Corée du Nord, la Chine, l’Irak où les journalistes et lanceurs d’alertes doivent prendre des précautions chirurgicales d’anonymats pour échapper à l’interdiction d’idées, autres que celles des dirigeants ?
Assez chez nous de ces idées et d’un dit « bien commun » hautement liberticide par impact indirect. De luttes contre le crime et l’illégal on glisse vers l’irrespect de l’anonymat du citoyen.
La loi est là pour agir contre le véritable délit mais pas celui de idées.

En conclusion

Voici donc deux projets de loi totalement liberticides qui nous amèneront, avec beaucoup d’autres, vers une société numérique entièrement surveillée par les autorités.

C’est le plus grand danger entrainé par l’idéologie progressiste qui, sous prétexte de représenter le Camp du Bien, s’arroge le droit de faire taire toute parole qui s’écarte de la pensée dominante.

Il faut s’y opposer frontalement.

C’est ce que nous faisons quotidiennement et modestement ici !