Les « juges rouges » ne se cachent même plus !
Le Syndicat de la magistrature a participé à une table ronde sur les « violences policières » à la fête de l’Huma.
Il a même défilé lors de la manifestation du 23 septembre contre les mêmes « violences policières » !
Ce syndicat représentent au moins un quart des magistrats.
Dans quel état d’esprit peut bien se trouver une personnalité de droite qui se retrouve face à un juge de ce bord politique ?
Et c’est pire si l’accusé est un policier !
Si l’on rapproche certaines décisions judiciaires récentes, la partialité de la justice est patente !
J’en prendrai juste trois exemples :
1 – Douze militants en garde à vue pour une simple banderole !
Un groupe de militants de l’association identitaire Argos a été mis en garde à vue, puis en comparution immédiate et sera finalement jugé – probablement avec la sévérité habituelle réservée aux associations identitaires – le 16 octobre prochain.
Leur crime : avoir déroulé une banderole réagissant au viol et aux actes de barbarie contre la malheureuse Mégane à Cherbourg :
Ce fait divers illustre parfaitement le soupçon qui pèse sur la justice :
Laxisme pour les délinquants et les criminels, répression pour les autres !
2 – Trois militants en garde à vue pour une simple affiche !
Parc fermé : raison de fermeture, risque élevé de se faire poignarder. Protégeons nos familles de l’immigration.
C’est ce qu’on pouvait lire sur une affiche apposée sur l’entrée d’un parc à Albi, le samedi 10 juin dernier. Cette action émanait d’un groupe identitaire local, Patria Albiges.
Trois des militants ont été arrêtés puis placés sous contrôle judiciaire pour le motif suivant :
Ce délit équivaut à une incitation à la violence, il ne peut être exclu que cette incitation puisse conduire à un passage à l’acte …
Damien Rieu a défendu ces militants par un tweet :
Ils ont agressé ? Violé ? Volé ?
Non, ils juste ont installé une pancarte sur la grille d’un parc pour dénoncer l’insécurité.
Et depuis la justice d’extrême-gauche les persécute et les met sous contrôle judiciaire. Quelle honte.. pic.twitter.com/csjS3K0OtB— Damien Rieu (@DamienRieu) September 27, 2023
3 – La justice protège t-elle les militants anti-flics ?
Ce dernier exemple va trancher, de manière spectaculaire et édifiante, avec les deux cas précédents !
En effet, à Besançon, lors de la manifestations (scélérate ?) contre les « violences policières », une manifestante masquée portait la pancarte suivante :
Le préfet du Doubs avait signalé ce fait au procureur de la République en dénonçant :
Un appel au meurtre de policiers !
Mais, contre toute attente (républicaine), le Parquet de Besançon a classé sans suite la requête du préfet !
La « justification » de sa décision par le procureur laisse pantois :
Le parquet […] doit être en mesure de démontrer la volonté […] d’appeler au meurtre de policiers. Or, la gardée à vue a déclaré que ce slogan n’était pas un appel au meurtre. Elle a dit avoir voulu signifier que les policiers étaient susceptibles de représenter un danger pour la société, ajoutant que les armes lui font peur et encore plus lorsqu’il y a une personne derrière.
En conclusion
Le rapprochement de ces trois cas doit nous convaincre qu’en France, la Justice est devenue un problème majeur qui met en danger la démocratie alors qu’elle est censée en être l’un des piliers !
Qui peut comprendre que, si de simples banderoles anodines sont interprétées par la justice comme des appels à la haine, voire au meurtre, l’appel clairement exprimé au meurtre des policiers par le vocable sans équivoque : Un flic, une balle, n’est pas considéré comme tel ?
La Justice est devenue une justice politique qui appelle un changement drastique de majorité propre à refonder totalement cette institution dévoyée.
J’ajoute quelques infos sur la militante « tueuse de flic » (en pensée) :
Il s’agit d’une jeune femme de 20 ans, étudiante en lettre à la faculté de de Besançon, qui s’est politisée assez tôt (elle avait déjà pris la tête d’un mouvement de contestation dans son lycée contre le bac « en présentiel », lors de la crise sanitaire).
Elle était fichée par les services de renseignement comme appartenant à la mouvance de l’ultra-gauche depuis la manifestation du 1er mai, à Besançon.
Elle a été arrêtée deux jours après la manifestation après une minutieuse enquête, durant laquelle les policiers ont notamment retracé son parcours lors de la manifestation via les images de vidéo-surveillance.
Elle a été interpellée à son domicile, ce qui n’a pas été chose aisée puisqu’elle déclarait plusieurs adresses.
En garde à vue, où elle est restée quelques heures, elle a expliqué que « un flic, une balle » ne voulait pas dire qu’il fallait mettre une balle dans la tête de chaque policier (donc un appel au meurtre), mais que c’était un slogan pour militer contre le désarmement de la police, parce que chaque policier, étant armé, donc chacun d’entre eux seraient susceptibles de tirer une balle.
Ces explications semblent évidement farfelues, surtout dans le contexte de cette manifestation, basée en partie sur la haine de la police. D’autant qu’un policier aurait entendu la jeune femme, reconnaissable à ses cheveux bleus, crier ACAB durant la manifestation, avant qu’elle ne brandisse sa pancarte. « Pourquoi avoir choisi de se masquer le visage, si c’était pour porter un message pacifiste ? » s’interroge une source policière.
L’ennui c’est que le parquet n’était pas en mesure de prouver que cette interprétation défendue était fausse sur la base des éléments de la procédure.
Selon une source policière, le parquet a donc préféré ne pas prendre le risque d’un procès politique, qui aurait servi de tribune à l’extrême gauche, et qui aurait pu se conclure par la relaxe, et donc de ne pas retenir cette poursuite, mais seulement la dissimulation du visage dans l’espace public.
La jeune femme a donc fait l’objet d’une composition pénale, et doit faire 30h de TIG, ce qui lui a été signifié par un simple officier de police judiciaire.
Contacté à plusieurs reprises, le procureur de la République de Besançon n’a pas donné suite.
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5 Réponses à “Justice partisane : démocratie en danger !”
Derriere la justice, c’est l’etat et l’on voit clairement qu’ils ont pris parti CONTRE le peuple.
Ce n’est pas que cette institution qu’il faut changer, mais l’etat avec.
C’est une justice pourrie qui a pris parti pour les delinquants, contre les honnetes gens.
Dans une veritable justice, ce genre de juge irait en prison ou serait condamné.
Nous avons affaire a des crapules qui ce devoilent et qui occupent une partie de la justice, avec l’accord total de l’etat.
Ca me rappelle un rapp eur qui disait : pendez les blancs, ecartelez les, violez leur femmes …
La goche a jugé que ce n’est pas une incitation a la haine…
On a affaire a des fous !
Voici une lettre de l’institut de la justice qui devoile les curiosités de la justice :
Cher lectrice, cher lecteur,
Je vous préviens, cette affaire est tout simplement hallucinante.
Vous pouvez légitimement penser que si vous êtes attaqué par des voyous en France, la Justice vous donne 2 choix :
– soit vous laissez faire, et peut-être mourir.
– soit vous défendre et alors finir en prison.
Nous en avons encore eu une confirmation cette semaine…
« J’ai tiré en l’air, puis au sol. »
Le 2 septembre dernier, en soirée, un grand festival avait lieu à Mayotte.
Patrick, 50 ans, a profité des festivités et rentre chez lui à moto en début de soirée.
Mais en chemin, il rencontre un groupe de jeunes délinquants, comme il en existe tant à Mayotte.
Selon le journal Ouest-France, ils le désarçonnent de sa moto, puis le poursuivent à pied jusqu’à une clôture en fer. Acculé, l’homme saisit un pistolet de son jean.
Il tire en l’air, puis au sol. Étant inscrit comme tireur sportif, il a le droit de posséder une arme et il sait viser…
« J’ai essayé de sauver ma vie, il était hors de question que je reste là, à me faire lyncher. » a-t-il déclaré, selon le média Mayotte la 1ère.
Par chance, les tirs parviennent à mettre en fuite les 15 à 20 agresseurs.
Choqué, l’homme enfourche alors sa moto et rentre chez lui.
Sur le chemin, d’ailleurs, il se fera à nouveau (!) attaquer et détrousser par un autre groupe de voyous…
Une soirée dont il aurait pu se passer.
Les 2 blessés ont un profil très particulier…
Le lendemain, dans la presse, Patrick découvre qu’il y aurait 2 blessés parmi les voyous.
Rien de trop grave : une blessure à la fesse et une autre à la main.
D’ailleurs, les deux blessés sont connus de la police. Un d’entre eux est même recherché et inscrit au fichier des personnes dangereuses !
Il a d’ailleurs pris la fuite après son traitement à l’hôpital.
De son côté, l’autre blessé a déclaré qu’il était à « un manzaraka (un mariage traditionnel) quand un blanc en scooter a tiré en roulant »…
Il aurait d’ailleurs été touché « à la fesse » selon l’hôpital… mais « à l’épaule » selon lui !
Bref, une des « victimes » ne se souvient pas où elle a été touchée et l’autre a pris la fuite de peur de la police : la situation tourne franchement au ridicule…
Mais, Patrick est un homme honnête qui estime n’avoir rien à se reprocher.
Il se rend donc tout de même de lui-même à la police. Alors qu’il n’aurait probablement jamais été retrouvé autrement.
Il va amèrement regretter sa décision…
Mis en examen pour tentative d’assassinat
Patrick se rend donc au commissariat de Mamoudzou, le chef-lieu de Mayotte.
Et ce jour-là, à 50 ans, il s’engouffre, sans le savoir, dans un tunnel sans lumière…
Lorsque qu’il se dénonce, la police arrête immédiatement Patrick.
Le procureur de Mayotte le place en garde à vue puis le met en examen pour tentative d’assassinat.
C’est le pire crime en droit français et Patrick encourt alors la réclusion criminelle à perpétuité…
On marche sur la tête !!!
On pourrait croire à une erreur, mais il y a pire, Patrick est ensuite placé en détention provisoire ! Pendant plusieurs jours !
Puis, enfin, le tribunal vient tout juste de juger Patrick, finalement poursuivi pour « violences avec arme »…
Le tribunal de Mamoudzou a condamné Patrick à 30 mois de prison, dont 12 ferme. Comment va–il pouvoir faire pour garder son travail ?
Cette décision révulse tout bon sens. Pour être honnête, en écrivant ces lignes, je sens mes doigts se crisper.
Quel choix la Justice laissait-elle à Patrick ? Se laisser tuer ou être jeté en prison ?
Quel choix la Justice vous laisse-t-elle si vous êtes attaqué ?
Mayotte ?
Vous pourriez me dire : « oui mais Mayotte, c’est compliqué, on sait qu’il ne faut pas y prendre de risques… »
Mais je vous répondrais : justement c’est encore pire ! À Mayotte, bien plus qu’en métropole, la légitime défense est fondamentale pour survivre !
Mayotte connaît une situation sécuritaire catastrophique :
– il y a 2 fois plus de vols qu’en métropole
– 4 fois plus de cambriolages
– Et c’est le département français le plus touché en termes d’agressions…
Si la Justice n’accorde pas la légitime défense aux citoyens à Mayotte, elle l’accordera encore moins en métropole !
Vous n’avez pas le droit de vous défendre
Cette décision est loin d’être isolée.
Depuis des années, l’institution judiciaire française persécute les victimes qui ont osé se défendre.
Comme Gilbert Lori, un bijoutier à Lyon, membre du collectif de victimes de l’Institut pour la Justice, qui est accusé d’avoir tiré sur des braqueurs. Il est poursuivi par la Justice depuis 10 ans maintenant et a eu interdiction de quitter le territoire pendant plusieurs années…
Imaginez : à 64 ans, il n’avait pas le droit de voyager pour profiter de sa retraite !
Comme Jean-Louis Leroux, agriculteur dans la Marne, qui a tiré sur un voleur de carburant en 2020 et qui a été placé plusieurs jours en détention provisoire… Encore aujourd’hui, aux dernières nouvelles, il a interdiction de rentrer chez lui !
Ou comme Monsieur D., un homme de 86 ans, habitant seul dans le Sud de la France, qui a poignardé un cambrioleur de 39 ans pour se défendre, puis qui a été persécuté par la Justice pendant 2 longues années…
Pendant ce temps, il a eu interdiction de vivre chez lui et a dû louer un petit appartement à 100m de chez lui.
La réalité est que la justice française a tellement inversé les rôles de victime et de coupable, qu’elle en arrive systématiquement à des décisions ubuesques.
Pourtant, défendre sa vie est la première des libertés fondamentales !!
Faites-vous entendre… pour une fois !
En France, vous n’êtes plus maître de votre destin : ce sont les malfrats qui vous entourent qui décident si vous vivez ou non.
Et la Justice persiste à se ranger de leur côté.
Si un homme tue un de vos proches (ce qui peut tous nous arriver, comme cela a failli arriver à Patrick), vous pouvez être quasiment certain qu’il passera moins de 15 ans derrière les barreaux.
Cette idée est insupportable. Mais c’est une réalité.
Alors, que faire ?
Vous pouvez vous résigner et abandonner toute résistance ! Je respecte ce choix.
La situation est tellement grave, qu’il pourrait sembler normal de baisser les bras et de faire profil bas.
Mais je vous propose autre chose.
La France a connu des situations plus dramatiques, et elle s’en est toujours sortie. Je pense à nos ancêtres qui ont survécu à des invasions étrangères ou à des guerres civiles sanglantes.
Aujourd’hui, il est vrai que la Justice française est en complète déconfiture… Que nos rues sont des coupe-gorges.
Et que la société dans son ensemble est au bord de l’effondrement…
Mais ce n’est pas insurmontable : les Français restent un grand peuple, qui a refusé la soumission tout au long de son histoire.
Nous sommes des millions de Français à en être conscients. Il suffirait d’unir nos forces.
Alors oui, l’espoir existe.
Aujourd’hui vous avez (encore) le pouvoir de changer les choses. Nous devons saisir cette chance.
L’Institut pour la Justice mène le combat depuis 2007. Et c’est grâce à votre soutien que nous avons obtenu des victoires concrètes :
– Plus de 30 amendements parlementaires « IPJ » proposés au Parlement ;
– Le port d’armes pour les policiers en civil et les policiers municipaux, malgré une grande réticence de la classe politique ;
– La fin des réductions automatiques de peines pour les terroristes ;
Et l’Institut pour la Justice a de grands projets.
Notre équipe compte aujourd’hui 5 personnes. Nous souhaitons recruter 2 autres salariés qui seront affectés directement à l’Assemblée nationale et au Sénat, pour multiplier notre impact législatif…
Aujourd’hui, l’Institut pour la Justice lance son grand « Référendum pour la Justice 2023 ». Je vous invite personnellement à le remplir dès maintenant, et ce, avec la plus grande attention.
Votre réponse sera analysée et permettra de donner un poids considérable à nos propositions auprès des députés.
Le « Référendum pour la Justice 2023 » constitue notre référence pour l’année à venir. Nous le dégainons auprès de tous les parlementaires.
Il nous permettra de ne pas « tirer à côté » sur un grand nombre de sujets. C’est pour cela que je vous demande de remplir le Référendum pour la Justice 2023 maintenant.
Un immense merci d’avance.
Avec tout mon dévouement,
Axelle Theillier
Présidente de l’Institut pour la Justice
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La justice a toujours été partisane, la phrase qui me déprime est « je fais confiance à la justice de mon pays ». Quelle erreur !!
Pour prendre un exemple récent, les mêmes qui condamnaient les résistants ont condamnés les collabos, ceux qui envoyaient les Girondins au rasoir national n’ont pas hésité à faire subir le même sort aux Montagnards.
Justice partisane : démocratie en danger !
Justice partisane : Français en danger !